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Liste des œuvres de Diego Vélasquez

liste des tableaux de Diego Vélasquez De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Liste des tableaux de Diego Vélasquez.

Historique des catalogues des œuvres

Résumé
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Les premières listes d’œuvres de Vélasquez apparaissent tôt avec les catalogues de Francisco Pacheco, du vivant du peintre puis d'Antonio Palomino - son premier biographe avec son ouvrage Museo pictórico y escala óptica - de nombreuses listes partielles furent établies au gré des inventaires, à la mort de Vélasquez, lors des déménagements des collections royales ou après l'incendie de l'alcazar royal durant la nuit de noël 1734.

La guerre d'indépendance espagnole entraîna le pillage et l'éclatement des collections royales. Le mouvement impressionnistes, qui considérait Vélasquez comme l'un de ses précurseurs, généra un grand engouement pour le peintre, tant artistique que financier. Ces turbulences de l'histoire générèrent un chaos considérable dans les collections de l’artiste au XIXe siècle, s'ajoutant à une méconnaissance et des confusions profondes entre ses œuvres propres, les copies, les répliques de son atelier, et les attributions erronées. Aussi, de 1821 à 1850, 147 œuvres de Vélasquez furent vendues à Paris, desquelles seule La Dame à l'éventail, conservée à Londres, est aujourd’hui reconnue comme authentique par les spécialistes[1].

A contrario, certaines échappèrent à tout inventaires et ne furent redécouvertes que tardivement. C'est le cas pour la toile Don Pedro de Barberana y Aparregui : la première mention de la toile est une certificat de vente en Europe pour les États-Unis en 1950[2]. Son attribution à Vélasquez date de 1972 par José Lopez-rey, attribution immédiatement et unanimement reconnue, José Gudiol identifiant le personnage représenté en la personne de Pedo de Barberana (Briones, 1579- idem 1649)[3].

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Œuvres exécutées totalement ou partiellement par Velázquez

Résumé
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On estime qu’il existe entre cent-vingt et cent-vingt cinq œuvres de Vélasquez conservées, une très petite quantité au regard des quarante années de production. Si on ajoute les œuvres référencées mais perdues, on estime qu’il dut peindre environ cent-soixante toiles[4].

Étape sévillane (jusqu’en 1622)

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Madrid (1622-1629)

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Premier voyage en Italie (1629-1630)

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Madrid (1631-1648)

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Second voyage en Italie (1649-1651)

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Madrid (1651-1660)

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Œuvres d'attribution incertaine

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Dessins

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Œuvres perdues

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On estime qu’il existe entre cent-vingt et cent-vingt cinq œuvres de Vélasquez conservées, une très petite quantité au regard des quarante années de production. Si on ajoute les œuvres référencées mais perdues, on estime qu’il dut peindre environ cent-soixante toiles. Pendant les vingt premières années de sa vie, il peignit environ 120 œuvres à raison de six par an, alors que dans ses vingt dernières années, il ne peignit que quarante toiles à raison de deux par an[4]. Palomino explique que cette réduction se produisit à cause des multiples activités de la cour qui lui prenaient son temps[130]. Pour Jonathan Brown, 35 à 40 toiles seraient perdues ou de localisations incertaines, même si d'autres articles avancent le chiffre précis de 14 œuvres exactement[131]

On compte notamment un Portrait du chapelain de Philippe IV, un Portrait du portier Ochoa (connu par une ancienne copie), un du Torero Cardenas, un de la belle-sœur du pape Innocent X, un de son bibliothécaire et un son barbier. Pour le conservateur du Louvre Guillaume Kientz, Les Trois Musiciens conservés à Berlin serait une copie d'atelier réalisée à partir d'un original perdu, tout comme les portraits de don Juan Francisco de Pimentel (que certains associent au Portrait de Chevalier, Detroit Institute of Arts) et celui du Prince de Galles, mentionné par Pacheco en 1623 et dont une copie est conservée au Prado. Trois autres toiles (Apollon et Marsyas, Vénus et Adonis et Cupidon et Psyché) ont vraisemblablement disparu dans l'incendie du palais de l'Alcazar, en 1734. Reste une peinture représentant l’Expulsion des morisques de Valence (de 3,35 mètres sur 2,74). Certains veulent voir dans le Portrait de prêtre (musée du Capitole, Rome) une ébauche d'un « fameux » autoportrait de la période romaine dont Pacheco fait deux fois l'éloge[132]. Enfin, il est probable que deux autres nus féminins aient été perdus. Tous deux de la période romaine, ils auraient été réalisés en même temps que Vénus à son miroir (Prado, Madrid). L'un s'est retrouvé dans l'inventaire du peintre à sa mort[133].

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Références

Bibliographie

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