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Louis-Émile Vanderburch

écrivain et dramaturge français De Wikipédia, l'encyclopédie libre

Louis-Émile Vanderburch
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Louis-Émile Vanderburch, ou Vander-Burch, dit Émile Vander, né le [1] à Paris et mort le à Rueil[2], est un écrivain, vaudevilliste et dramaturge français.

Faits en bref Naissance, Décès ...
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Biographie

Résumé
Contexte
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Hôtel de ville de La Chapelle-Saint-Mesmin

Les premières années

Issu d'une vieille famille de la noblesse flamande[3], Louis-Émile Vanderburch, cousin de la famille Didot, célèbre famille d'imprimeurs, est le petit-fils du peintre Dominique Joseph Vanderburch (1722-1785). Son père, Edouard Vanderburch, ami de Anne-Louis Girodet, de Claude Joseph Vernet et Carle Vernet[4], peintre attaché à la maison de Bourbon, épouse Louise Marie-Joseph Christine Bisch[5], professeure de harpe, fille de Jean Bisch, musicien et auteur d'ouvrages de pédagogie musicale[6]. De cette union, naissent trois enfants: Hippolyte[7], Flore et Louis-Emile. La naissance de ce dernier a lieu au Palais du Louvre à Paris, lieu de résidence des Bourbon. Enfant précoce, tandis que son père tombe gravement malade, il entreprend ses études à l'Institution Ruinet[8], rue de la Harpe. Durant sa scolarité, il côtoie Germain et Casimir Delavigne, respectivement futurs dramaturge et poète. Le décès prématuré de son père en 1804[9] contraint sa famille à quitter le palais du Louvre et Louis-Emile à abandonner ses études. En 1805, il se présente à un concours général organisé à l'Hôtel de ville de Paris et présidé par Jean-Antoine Chaptal, ministre du gouvernement, et obtient une bourse entière pour lui permettre de poursuivre ses études au lycée à Orléans, établissement rouvert depuis l'année précédente. Il côtoie, parmi ses camarades de classes : Éloy Ernest Forestier de Boinvilliers, Abel Aubert du Petit-Thouars et Laurent Cotelle[10].

En 1813, il quitte le lycée et s'en retourne vivre chez sa mère à Paris. Il y occupe diverses activités professionnelles alimentaires tout en se mettant à écrire. Il est appelé sous les drapeaux le [11] et s'engage dans l'armée de Vendée. Il est démobilisé à l'issue des Cent-Jours. Peu après, il est chargé par le Duc Decazes d'organiser les écoles normales d'instituteurs de Bourges et de Nevers.

Sa première oeuvre Un brelan de gascons, jouée le à Paris, connait un certain succès.

En 1817, il épouse mademoiselle Marie-Emilie Biètre-Gervais (née en 1795)[12],[13] et s'installe à Paris où il dispense des leçons d'histoire et de français. Après le décès de son épouse à La Chapelle Saint-Mesmin en 1841, il se remariera en 1860 avec Thérèse Gaessler (1819-1885), comédienne connue plus tard sous le nom de Mme Vanderburch[2].

En octobre 1818[14], il est nommé directeur de l'école de l'enseignement mutuel de Bourges où il office au moins jusqu'en août 1819[15].

Ses premiers succès

Vanderburch dirige ensuite une compagnie de théâtre de marionnettes[16] tout en continuant de se consacrer à la littérature et plus particulièrement au théâtre. Jusqu'à sa mort, il écrit plus d'une centaine de pièces, dont plusieurs obtiennent un énorme succès. Il tentera de s'affirmer en début de carrière, avec quelques drames mais qui resteront sans lendemain. Il se cantonnera en définitive au vaudeville et à la comédie, avec quelques incursions dans la féérie ou l'opéra-comique, genres dans lesquels sa verve semble intarissable. Ses principaux collaborateurs pour l'écriture ont pour noms: Jean-François Bayard, Pierre-Jean de Béranger, Nicolas Brazier, Léon-Lévy Brunswick, Clairville, Marc-Antoine-Madeleine Désaugiers, Théophile Marion Dumersan, Charles Dupeuty, Mélesville, Auguste Pittaud de Forges, Victorien Sardou, Paul Siraudin, Eugène Scribe, Emmanuel Théaulon, Henri Vernoy de Saint-Georges, Ferdinand de Villeneuve...

Sous Louis-Philippe, il est membre de la Garde nationale en tant que simple chasseur.

C'est sur une idée de l'acteur Hugues Bouffé[17], en 1835, année où sa verve se situe au creux d'une vague, qu'il co-écrit à Orléans, avec Jean-François Bayard[18], Le gamin de Paris qui sera son plus grand succès théâtral parisien[19] et qui lui vaudra une reconnaissance internationale[20]. En 1836, grâce aux recettes exceptionnelles engrangées par les représentations de cette pièce, divisées à parts égales avec Bayard, il fait l'acquisition du petit-château de La Chapelle Saint-Mesmin (Loiret), qui héberge l'actuelle mairie de cette commune de 10 000 habitants, où il résidera jusqu'en 1853 et écrira la plupart de ses oeuvres[21],[22].

Escrimeur de talent, il lui arrive, lorsqu'il se trouve à Orléans, de croiser le fer avec le romancier Pierre Alexis de Ponson du Terrail, l'homme politique Louis Marie de Lahaye de Cormenin et Edmond Pagnerre, le rédacteur en chef du Journal du Loiret[23].

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Hippolyte Monpou, dessin d'un auteur anonyme

En , Vanderburch invite à La Chapelle son ami le compositeur Hippolyte Monpou[24] afin que celui-ci retrouve des forces en allant vivre à la campagne; mais il est trop tard; quand il arrive au Petit-Château (La Chapelle-Saint-Mesmin), son état devient si grave, qu'on doit en toute hâte le ramener à Orléans, pour réclamer les secours de l'art. Mais c'est en vain; quelques jours après, le , Monpou meurt à l'âge de 37 ans[25].

En 1845, il fait l'objet d'un article du Journal du Loiret, pour avoir fait oeuvre de charité[26].

En , Vanderburch est fait chevalier de la Légion d'honneur, grâce au soutien de son ami le maréchal Thomas Robert Bugeaud.

En , la célèbre comédienne Virginie Déjazet, comme d'autres artistes avant elle : Léontine Fay et Elisa Adam-Boisgontier, viendra passer plusieurs jours de repos dans la résidence chapelloise de Vanderburch[27].

La même année, il sollicite l'appui du cardinal archevêque de Cambrai pour obtenir un poste de bibliothécaire auprès d'Alfred de Falloux, ministre du gouvernement français[28].

Pendant l'été 1852, Vanderburch invite l'acteur Hugues Bouffé à venir passer quelques jours se reposer dans sa demeure chapelloise. Au cours de cette période, la troupe d'artistes du théâtre d'Orléans, se déplaça à La Chapelle pour venir y répéter la pièce Michel Perrin avec Bouffé avant d'aller se produire pour trois soirées à Orléans[29].

Les dernières années

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Émile Vanderburch à 41 ans, buste de Jean-Pierre Dantan, musée Carnavalet, Paris

En , il déménage à Rueil-Malmaison (à l'époque Rueil dans l'ancien département de Seine-et-Oise) et signera certains de ses écrits : Émile Vander-Burch, le paysan de Seine-et-Oise.

En août 1854, à l'occasion d'une critique théâtrale rédigée par Jules Janin à la suite de la représentation au théâtre de La Gaité du mélodrame Le sanglier des Ardennes, parue dans le Journal des débats politiques et littéraires, on apprend que le célèbre vaudevilliste est d'origine noble[30]. Cette assertion sera reprise quelques semaines plus tard dans le Journal du Loiret[31], puis contredite par Vanderburch lui-même dans un article du Journal du Loiret du 5 septembre 1854. Il n'est pas baron, il est comte[32].

À partir du , par arrêté impérial, il bénéficie d'une rente annuelle de 1 000 francs, pension qu'il touchera jusqu'à son décès[33].

Le 30 octobre 1860, il se marie[34] officiellement avec Thérèse Gaessler à Rueil, comédienne plus connue sous le nom de Mme Vanderburch[35], mariage au cours duquel Émile reconnaît légitimement sa fille Marie-Rosalie.

La même année, au théâtre du Gymnase, il vient assister à l'un des premiers succès théâtraux de son jeune protégé Victorien Sardou : Les pattes de mouche avec lequel il avait coécrit l'année précédente, grâce à l'intervention de Virginie Déjazet[36], la pièce Les premières armes de Figaro.

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Virginie Déjazet en 1854, photographe anonyme

En 1861, sa pièce Les trois gamins est représentée au château des Tuileries, par la troupe de Virginie Déjazet, devant Napoléon III[37]. Victorien Sardou ne fera pas preuve d'une grande reconnaissance envers son ancien mentor, cette année-là, la jugeant exécrable[38].

La Bibliothèque nationale de France[39] répertorie un total de 160 œuvres théâtrales, lyriques mais également littéraires et documentaires. Parmi ce fonds, on trouve également trois pages de brouillon intitulées « Pour les mémoires d'un homme de plume » résumant les époques principales de sa vie qu'il avait certainement destinées à nourrir une possible autobiographie[40].

Également, il édita deux ouvrages en collaboration avec François-Adolphe Loève-Veimars et Auguste Romieu sous le pseudonyme collectif de Madame la Vicomtesse de Chamilly.

Il décède le à son domicile au 124, rue de Paris[41],[42] à Rueil-Malmaison.

Il était père de trois enfants : Charles et Emma, issus de son premier mariage avec Marie-Émilie Biètre, et Marie-Rosalie Vanderburch-Gaessler[43] (née en 1843[44]), issue de son union avec Thèrèse Gaessler. Marie-Rosalie épousera l'acteur Henri Couder (1833-1867) en 1863[45].

Son fils Charles lui rend hommage dès dans un petit opuscule intitulé Biographie d'un homme de lettres.

L'acteur Hugues Bouffé le considérait comme « un vrai puits de science »[46].

Il fut proche de nombreux artistes et d'intellectuels de son époque: Léontine Fay, François Arago, Louis Comte, Virginie Dejazet, Victor Hugo, Victorien Sardou, Eugène Scribe, Théophile Gautier, Pierre-Jean David d'Angers, Horace Vernet, Jean-Auguste-Dominique Ingres, Hippolyte Monpou...

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Œuvres

Théâtre

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L'acteur Bouffé dans le rôle de Joseph, Le gamin de Paris - dessin de Draner

Littérature, musique

  • Emile Vanderburch, Épître à la Garde nationale, Paris, Renard, , 15 p.
  • Emile Vanderburch, Les trois héritiers ou le revenant proverbe, Paris, Quoy,
  • Emile Vanderburch et François-Adolphe Loève-Veimars, Résumé de l'histoire du monde jusqu'à nos jours, Paris, L. Janet, , 300 p.
  • Emile Vanderburch, Louis XI et Louis XVIII, Paris, Ponthieu, , 18 p.
  • Emile Vanderburch, Épître à Walter Scott, Paris, A.-G. Brunet, , 15 p.
  • Emile Vanderburch, Le Petit neveu de Berquin : théâtre d'éducation pour le second âge, Paris, A. Imbert,
  • Emile Vanderburch et Auguste Imbert, Voyage autour du Pont-Neuf, et promenade sur le quai aux Fleurs, Paris, A. Imbert, , 192 p.[66]
  • Emile Vanderburch, Résumé de l'histoire de la littérature française, Paris, L. Janet, , 441 p.[67]
  • Emile Vanderburch, L'Épingle noire : épisode de 1816, Vol.4, Paris, Mame et Delaunay-Vallée, [68]
  • Scènes contemporaines laissées par Madame la Vicomtesse de Chamilly, Paris, Urbain Canel, 1828, J. Barbezat, Balzac, 1828, XVIII p. + 334 p.
  • Scènes contemporaines et scènes historiques, laissées par Madame la vicomtesse de Chamilly, Paris, J. Barbezat, 1830, 408 p.
    pseudonyme collectif de Francois Adolphe Loève Veimars, Auguste Romieu et Vanderburch[69]
  • Le tailleur et la fée ou les chansons de Béranger, conte fantastique, avec Ferdinand Langlé, 1832
  • Souvenirs de France, d'Écosse et d'Angleterre pendant les règnes de François I, Henri II, François II, Marie Stuart et Elisabeth, 1832.
  • Les Plébéiennes, chansons populaires et autres, par Pierre-Jean de Béranger, 1833
  • Gasparo, opéra en un acte, paroles Deforges et Vanderburch, musique de Rifaut, théâtre de l'opéra-comique, Paris, 1836[70]
  • Le roi Margot, Bruxelles, Meline, 1836
  • Emile Vanderburch (ill. gravées par Mme Talon d'après les dessins de Bourdet), Le Petit neveu de Berquin, vol. 2 vol. in-12, Paris, Magen et Janet, , 155 p.
  • Emile Vanderburch (ill. Karl Loeillot), Le Curé de Salbris ou le Fénelon du village : histoire contemporaine, Paris, Magen et Janet, , 155 p.
  • Théâtre de la jeunesse comprenant les pièces représentées sur le Théâtre de M. Comte: 2 vol., 363 et 364 p., Paris, Librairie d'Education de Didier, 1841.
  • Les enfants de Paris, moeurs parisiennes... en huit vol., Paris, Ed. W. Coquebert, 1841-1843, dont Zizi, Zozo et Zaza et Le panier à salade, ce dernier couronné par le Prix Montyon de l'Académie française.
  • Le Gamin de Paris à Alger, 1841-1843
  • L'Ange du réveil ! Paroles d' Emile Vanderburch, musique de Théodore Mozin, 1845.
  • Emile Vanderburch, La maison maudite, Paris, date ?
  • Emile Vanderburch, L'amoire de fer, Paris, date ?
  • Emile Vanderburch, Enclume : ou marteau : Vol 1 et 2, Paris, , 338 p.
  • Emile Vanderburch, Klein, sa biographie, Paris, Librairie théâtrale, , 15 p.
  • Emile Vanderburch, Histoire militaire des Français : à l'usage des écoles régimentaires et des écoles communales, Paris, J. Dumaine, , 435 p.[71],[72].
  • Emile Vanderburch, « Jeanne et Marie : Poème », Le Journal du Loiret, , p. 3 (lire en ligne, consulté le ).
  • Emile Vander-Burch, Lettres d'un solognot au Président de la République, Orléans, Gatineau et Pesty, .
  • Emile Vander-Burch et Ch. Brainne (1825-1864), Le mémorial français : Histoire de l'année, vol.1, 1854, Paris, Firmin Didot, , p. 700[73].
  • Emile Vander-Burch et Ch. Brainne, Le mémorial français : Histoire de l'année, vol.2, 1855, Paris, Firmin Didot, (ISSN 1245-608X)
  • Emile Vanderburch, Alfred Esparbié (1820-1876) et Antonio Boni, L'Océan : Oratorio,
  • Emile Vander-Burch, À bas le mariage : boutade d'un vieux paysan de la Mouche à Auguste Perrody et à Mlle Adèle Bastide, le jour de leur mariage, Paris, Boisseau et Augros, , 1 p.

Discours et causeries

  • Emile Vander-Burch, « Discours prononcé à la séance publique de la Société académique des Enfans d'Apollon », Bulletin annuel de la Société académique des Enfans d'Apollon, Paris, (ISSN 2416-6456, lire en ligne, consulté le )
  • Emile Vander-Burch, « Causeries à La Chapelle 1) : Transcrit par Ed. Pagnerre », Le Journal du Loiret, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )

Articles, feuilletons

  • Emile Vanderburch, « Le roi Margot », La Patrie, (lire en ligne, consulté le )
  • Emile Vanderburch, « Feuilleton : Les grands hommes en robe de chambre 1 », L'Aube, , p. 1 à 3 (lire en ligne, consulté le )
  • Emile Vanderburch, « Feuilleton de la presse : Les grands hommes en robe de chambre 2 », La Presse, , p. 1 à 3 (lire en ligne, consulté le )
  • Emile Vanderburch, « L'Artiste en plein vent », L'Écho des feuilletons, recueil de nouvelles, légendes, anecdotes, épisodes, etc. extraits de la presse contemporaine, 1850, 1857 et 1863
  • Emile Vanderburch, « Théâtre d'Orléans : Représentation de la Juive », Le Journal du Loiret, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )
  • Emile Vander-Burch, « Variétés : Lettre d'un Solognot à son voisin de campagne Louis-Napoléon Bonaparte, propriétaire à La Motte-Beuvron et Président de la République française, 1ère partie », Le Journal du Loiret, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )
  • Emile Vander-Burch, « Variétés : Lettre d'un Solognot à son voisin de campagne Louis-Napoléon Bonaparte, propriétaire à La Motte-Beuvron et Président de la République française, 2nde partie », Le Journal du Loiret, , p. 3 (lire en ligne, consulté le )
  • Emile Vander-Burch, « Feuilleton : A M. Ed. Pagnerre, rédacteur en chef du Journal du Loiret », Le Journal du Loiret, , p. 1 (lire en ligne, consulté le )
  • Emile Vander-Burch, « Chronique locale : Le fils de Bernardin de Saint-Pierre », Le Journal du Loiret, , p. 2-3 (lire en ligne, consulté le )
  • Emile Vanderburch, « Feuilleton (1) », Le Journal du Loiret, , p. 1 à 3 (lire en ligne, consulté le )
  • Emile Vanderburch, « Feuilleton (2) », Le Journal du Loiret, , p. 1 à 2 (lire en ligne, consulté le )
  • Emile Vander-Burch, « Chronique locale : La comète de 1858 », Le Journal du Loiret, , p. 2 (lire en ligne, consulté le )

Œuvres posthumes et manuscrits

  • Emile Vanderburch (préf. Barbara T. Cooper), Seliko, ou Le petit nègre, Paris, L'Harmattan, , 140 p.
  • Emile Vanderburch, César et Napoléon : Cote : MS-DOUAY-194, BNF: collection Georges Douay (1840-1919), 1780-1910, 51 p.
  • Emile Vanderburch, Le petit poucet ou le génie bienfaisant : Pièce féérie en un acte, [74]
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Décorations

Distinction

Bibliographie

  • Émile Chevalet, Les 365. Annuaire de la littérature et des auteurs contemporains, 1858[79].
  • Charles Vander-Burch Fils, Biographie d'un homme de lettres, Saint-Étienne, Imprimerie veuve Théolier Ainé et Cie, In-8°, , 19 p. (lire en ligne)
  • Ed. Pagnerre, « Feuilleton : A M. Vanderburch, habitant de La Chapelle Saint-Mesmin », Le Journal du Loiret, , p. 1 et 2 (lire en ligne, consulté le )
  • Louis-Hippolyte Tranchau, Le collège et le lycée d'Orléans (1762-1892) : notes, souvenirs, documents..., Orléans, H. Herluison, , 662 p. (lire en ligne)
  • Christophe Andrivet, « Louis-Emile Vanderburch : Ecrivain et dramaturge, propriétaire du Petit-Château de La Chapelle Saint-Mesmin (actuel Hôtel de Ville) de 1836 à 1853 », Magazine du Groupe d'Histoire Local, La Chapelle Saint-Mesmin, , p. 11 à 26 (ISSN 0981-0706)
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Fonds Vanderburch

Provenant d'un don de Philippe Collin, son arrière-petit neveu, le fonds Émile Vanderburch rassemble à la Bibliothèque nationale de France (Département des arts du spectacle) des papiers personnels, 9 pièces manuscrites inédites, 8 pièces éditées, 4 recueils de poèmes et chansons, 3 œuvres de jeunesse manuscrites, des écrits intimes, de la correspondance, des programmes, des documents concernant son activité théâtrale et des articles de presse.

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Notes et références

Liens externes

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