Le prix Busiris est un prix parodique remis par le blogueur maître Eolas à plusieurs personnalités politiques, en récompense d'«une affirmation juridiquement aberrante, si possible contradictoire, teintée de mauvaise foi et mue par l'opportunité politique plus que par le respect du droit»[1].
Faits en bref Description, Organisateur ...
Prix Busiris
Description
Récompense «une affirmation juridiquement aberrante, si possible contradictoire, teintée de mauvaise foi et mue par l'opportunité politique plus que par le respect du droit»[1]
Le nom du prix renvoie au personnage de Busiris, spécialiste du droit de la guerre dans la pièce La guerre de Troie n'aura pas lieu de Jean Giraudoux, qui après avoir démontré à la demande de Démokos que la manœuvre des navires grecs lors de leur arrivée était une insulte à Troie, et ne pouvait être réparée que par la guerre, démontre aussitôt le contraire quand Hector menace de l'emprisonner (acte II, scène 5), et cela en tenant des arguments tout aussi convaincants.
Daniel Schneidermann dans une tribune publiée le par Libération s'interroge sur un possible «effet Eolas» lorsque celui-ci décerne au CSA un «prix Busiris»[2].
Le prix Busiris dispose depuis d'un site web dédié.
«spécialiste de l'économie numérique et des nouvelles technologies»
Action intentée par TF1 contre Dailymotion: «la LCEN est une “belle architecture”, une “très bonne loi”, mais qui par un tour mystérieux (on devine la perversité naturelle des juges) génère une jurisprudence anarchique et confuse, et qu'il est donc urgent de la modifier pour reposer le problème de l'hébergeur irresponsable qui ne doit plus l'être tout à fait, alors que c'était pourtant le cœur de la loi.»
Procédure d'expulsion entamée du fait de la mort de l'enfant français d'une femme camerounaise arrivée irrégulièrement: Dysfonctionnement de l'administration
Député de la première circonscription des Alpes-Maritimes
Concernant le blocage de sites pédopornographiques prévu à l'article 4 de la Loppsi, affirme qu'il n'est pas nécessaire de mobiliser un juge pour un délit.
Démenti de l’idée selon laquelle le projet de loi «Renseignement» serait attentatoire aux libertés, tout en concédant l’atteinte à la vie privée occasionnée par ce texte.