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Rue de Moscou (Le Touquet-Paris-Plage)
rue du Touquet-Paris-Plage, en France De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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La rue de Moscou est une voie du Touquet-Paris-Plage dans le département du Pas-de-Calais.
Cette voie, nommée « rue de Moscou » à l'origine, avait été rebaptisée « rue de Cucq » par Armand Durand, faisant fonction de maire, après que les Allemands lui avaient demandé la modification du nom, lors de l'Occupation en .
Elle comprend plusieurs villas remarquables (inventaire des monuments historiques, inventaire général du patrimoine culturel) ou intéressantes par leur intérêt architectural ou historique.
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Localisation
La rue de Moscou est la première rue parallèle à l'ouest du boulevard Daloz, à l'Est de l'ensemble de voies défini par le géomètre Raymond Lens.
Côté impair
Résumé
Contexte
Intersection avec l'avenue Louis-Hubert
- Salle Gérard Bascoulergue
au 1, rue de Moscou. - Plaque à l'entrée de la salle Gérard Bascoulergue.
- parking public
- no 1 (lot 399) - salle des sports Gérard Bascoulergue du nom de l'adjoint au maire de 1995 à 2000[1]. Au no 1, un parking souterrain de 195 places est en copropriété[2].
- (lot 314) constructions de plusieurs petits immeubles en 2018-2019, intégrant l'ancienne villa, dont l'entrée est située 53, rue Joseph-Duboc.
Intersection avec la rue Joseph-Duboc
- no 11 (lot 64) - (entrée au 60, rue Joseph Duboc) : villa Jean de la Lune[3] construite au début du XXe siècle. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[4],[DVF 1].
- no 13 (lot 359) - villa Vague bleue.
- allée pour accès aux no 15 (lot 55) et 15bis (lot 56)
- no 17 (lot 365) (entrée 63, rue d'Étaples) résidence La Colomberaie[3] construite à l'emplacement de la villa La Picardie.
Intersection avec la rue d'Étaples
- no 19 (lot 152) - (entrée après 72 rue d'Étaples) résidence Véronèse construite en 1999. Cet immeuble en copropriété comprend 11 appartements[5].
- no 21 (lot 413) - rénovation en 2024, à la vente en 2025 (ex hôtel Itsara Suites & Spa)
- no 21 bis (lot 411) - Allée menant à un petit immeuble en copropriété de cinq appartements[6].
- no 23 (lot 149) - villa Mon Goût.
- no 25 (lot 146) et no 27 (lot 147) - (entrée au 61, rue Léon-Garet) deux villas jumelles symétriques, rénovées en 2022 avec le concours de la Fondation du patrimoine et dont les noms Marie-Noëlle et Colombine ont disparu.
Intersection avec la rue Léon-Garet
- 29, rue de Moscou.
- Plaque A. Bienaimé
au 29, rue de Moscou. - 33, rue de Moscou.
- Plaque Buisset
au 33, rue de Moscou. - Plaque Roger
au 33, rue de Moscou.
- no 29 (lot 168) - villa Mars[3] faisant partie de l'ensemble de trois villas Vénus-Saturne-Mars dû à l'architecte Anatole Bienaimé. Elles ont été construites à la fin du XIXe siècle selon les plans de ce dernier. Ces villas sont recensées à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[7].
- nos 31-33 (lot 169) - École publique[8] Antoine de Saint-Exupéry[3]. Le bâtiment de 1908 est dû à l'architecte Fernand Buisset et à l'entrepreneur Roger. L'école est inaugurée le . En 1930, elle est agrandie par une surélévation d'un étage côté rue de Moscou et la création d'une extension sur la rue de Bruxelles[9].
Intersection avec la rue de Bruxelles
- 35, rue de Moscou.
- Plaque Berger
au 35, rue de Moscou. - 37, rue de Moscou.
- 41 et 43, rue de Moscou.
- Plaques Goffaux et R Choppin
aux 41 et 43, rue de Moscou. - Plaque Raoul Choppin, architecte de Berck
aux 41 et 43, rue de Moscou.
- no 35 (lot 196) - villa Sonia[3],[DVF 2] (entrepreneur Berger), rénovation en 2024.
- no 37 (lot 194) - ancien Garage de la Forêt, immeuble de trois niveaux.
- nos 39-41-43 - construction coupée en trois villas (plaque « R. Choppin / Architecte / Berck-Plage » et plaque « Goffaux / entrepreneur / Paris-Plage ») :
- nos 45-47 (lot 201) - Immeuble Pavillon de Flore - Commerces au rez-de-chaussée : La Boutique de Mélanie, Florence Koojman (jusque 2024, rien en 2025).
Intersection avec la rue Saint-Jean
- 51, rue de Moscou.
- Plaque Saxer
au 51, rue de Moscou. - Viilla Pomme d'Api
au 65bis, rue de Moscou. - Gravure Quételart
au 65bis, rue de Moscou.
- no 49 (lot 85) - Commerce au rez-de-chaussée : Vanessabruno (magasin Balbi dans les années 1970).
- no 51 (lot 84) - villa (plaque « L. Saxer / architecte / Le Touquet »), Alba Fleurs gravé dans la pierre en haut de la façade du commerce au rez-de-chaussée : Sylvie Thiriez (jusque 2023), rien en 2024, Paloca en 2025.
- no 53 (lot 83)- Commerce au rez-de-chaussée : agence immobilière L'Adresse
- no 59 (lot 82) - Commerces au rez-de-chaussée : Ets Mélières jusque 2023 (c'était leur emplacement historique), La Maison du Tapissier, agence immobilière Les Quatre Saisons[10].
- no 61 (lot 81) - villa Granny[3]
- no 63 (lot 80) et 63bis (lot 73) - projet de démolition en 2022, abandonné.
- no 65 (lot 72) - villa L'Isba[3]
- no 65 bis (lot 70) - villa Pomme d'Api[3], construite en 1923 sur les plans de l’architecte Louis Quételart pour lui-même : ce fut sa première habitation et agence. Il quittera cette villa en 1925 pour la villa Les Mutins. Cette villa (façades et toiture) est inscrite à l'inventaire des monuments historiques depuis le [11] ;
Intersection avec la rue Saint-Louis
- 73, rue de Moscou.
- no 67 (lot 123) - (entrée au 68, rue Saint-Louis) villa Rigoletto[3]. Devant la maison, on lit le nom Rigoletto mais en haut du pignon côté rue Saint-Louis, sur un fronton destiné à cet effet, le nom de la villa est gravé depuis l'origine en grosses lettres : Rigolletto (avec deux « l »).
- no 69 (lot 124) - garages la ville.
- no 71 (lot 133) - villa construite en 1914.
- no 73 (lot 134) - Hôtel Jules, anciennement « Hôtel de la Forêt ».
Intersection avec la rue Raymond-Lens
- 77 rue de Moscou.
- Extension des locaux de la GLDF
au 77, rue de Moscou. - Plaque du cercle Morinie
au 77, rue de Moscou. - 89, rue de Moscou.
- no 75 (lot 219) - (entrée au 56, rue Raymond-Lens) petit immeuble de deux niveaux, années 1960-1970 (carrelage à petits carreaux).
- no 77 (lot 220) - villa Nos Loisirs[3], siège de l'association CDU de la Côte d'Opale, locaux de la loge Morinie de la Grande Loge de France (GLDF)[12],[13] depuis 1938[14]. Cette villa a été transformée en 5 appartements en copropriété[15].
- no 79 (lot 221) - villa Çam' Suffit[3]
- no 81 - allée menant au no 81 (lot 227) (villa Madeleine) et à une construction recouverte de bois (lot 228).
- no 83 (lot 229) - construction en 2022-2023 sur les plans de l'architecte Alain Demarquette.
- no 85 (lot 230) - villa Mon Refuge[3]
- no 87 (lot 231) - villa Clair Abri[3]
- no 89 (lot 232) - (entrée 47, rue Saint-Amand) immeuble Azur Eden[3], construit en 1926[16]. La façade est très dégradée depuis le début des années 2020.
Intersection avec la rue Saint-Amand
- no 91 (lot 261) - villa
- no 95 (lot 402) - résidence de 6 niveaux.
- no 97 (lot 257) - immeuble La Paix (ancien hôtel) aménagé en 1978-1979 en copropriété de 10 appartements[17].
Intersection avec la rue de la Paix
- nos 99-109 (lots 332-331-356-357) - Résidence Queen Victoria[3], construite en 2009 sur les plans de Frédéric Quételard[18] - Commerce au rez-de-chaussée : Generali. Cet immeuble est constitué de cinq bâtiments :
- A - entrée 64, rue de la Paix,
- B et C - entrée 62, rue de la Paix,
- D - entrée 99, rue de Moscou,
- E - entrée 101, rue de Moscou.
- no 111 (lot 394) - (entrée au 43, rue Jean-Monnet) villa.
Intersection avec la rue Jean-Monnet
(à partir de cette intersection, la rue est renommée rue Andreï-Sakharov)
- no 113 (lot 129) - (entrée 46, rue Jean-Monnet) villa Chelsea[3].
- no 115 (lot 131) - résidence Le Troubadour[3] construite en 1931. Cet immeuble en copropriété comprend 6 appartements[19]. Commerces au rez-de-chaussée : cabinet de kinésithérapeutes.
- no 117 (lot 132) -
- no 117 bis (lot 336) - Construction de 1928, accessible derrière le no 117,[DVF 2]
- no 117 ter (lot 335) - accessible derrière le no 117.
- no 119 (lot 134) - touquettoise ancienne grise.
- no 121 (lots 136 et 137) - résidence La Maison bleue[3]. Cet immeuble en copropriété comprend 12 appartements[20].
- no 123 (lot 138) - résidence L'Écureuil. Cet immeuble en copropriété comprend 4 appartements[21].
Intersection avec la rue des Oyats
- no 125 (lot 161) - villa Entre-Nous[3],[DVF 3].
- no 127 (lot 162) - villa Les Sternes[3]
- nos 129-129 bis-129 ter - même construction coupée en trois :
- no 131 (lot 167) - villa
- no 131 bis (lot 168) - villa Les Muscaris[3]
- no 133 (lot 358) - villa (arrière à vendre en 2025).
- no 135 (lot 170) - (entrée au 57, rue de Montreuil) villa Vert Cottage[3]
Intersection avec la rue de Montreuil
- no 137 (lot 195) - (entrée au 52, rue de Montreuil) villa.
- no 139 (lot 196) - villa Mon Bien-être[3].
- no 141 (lot 321) - résidence Le Parc[3]. Cet immeuble en copropriété comprend 28 appartements[22].
- no 143 (lot 280) - terrain non bâti jusque 2024, permis de construire d'une villa le sur les plans de l'architecte Demarquette.
- no 147 (lot 203) - (autre entrée au 55, rue Dorothée) résidence Pomone[3]. Cet immeuble en copropriété comprend 6 appartements[23].
Intersection avec la rue Dorothée
- La rue de Moscou vue de la rue Dorothée en 1917.
- 149, rue de Moscou
(rue Andreï-Sakharov). - 149, rue de Moscou
(rue Andreï-Sakharov).
- no 149 (lot 106) - villa La Musardière[3], construite en 1905. Gravure dans la pierre « L. Degallaix / entrepreneur / Roubaix »
- no 151 (lot 213) - allée permettant l'accès derrière le 149.
- no 153 (lot 111) - villa Le Rouergue[3].
- no 155 (lot 240) - villa Frileuse[3].
- no 157 (lot 113) - villa 3 J[3].
Intersection avec la rue du Sémaphore
- no 159 (lot 128) (entrée au 28, rue du Sémaphore) - villa ancienne repeinte en 2023.
- no 159 bis (lot 129) - villa.
- no 161 (lot 130) - villa avec cadran solaire sur le pignon côté avenue de l'Atlantique.
Intersection avec l'avenue de l'Atlantique
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Côté pair
Intersection avec l'avenue de Quentovic
- no 2 (lots 18 et 410) - Immeubles construits en 2018-2019. Commerce au rez-de-chaussée : Casino.
Intersection avec la rue Joseph Duboc
- no 16 (lot 65) - (entrée au 56, rue Joseph-Duboc) résidence Les Alcyons[3] (plaque « Charbonnier / Entrepreneur / Berck-Plage » ). Cet immeuble en copropriété comprend 4 appartements[24].
- no 18 (lot 66) - villa Marinette.
- no 20 (lot 67) - villa, permis de construire du 4 juillet 2025.
- no 22 (lot 68) - villa Tout arrive.
- no 24 (lot 345) - (entrée au 55, rue d'Étaples) résidence Le Wembley[3].
Intersection avec la rue d'Étaples
- no 26 (lot 134) - (entrée au 68, rue d'Étaples) villa Les Sapins[3] (plaque « E. Berger / entrepreneur / Paris-Plage » et plaque « A. Bienaimé» / Architecte / Amiens). À la fin des années 1950, Edmond Flahaut y tenait un magasin de fruits et primeurs. La liquidation judiciaire a été prononcée le [25].
- no 28 (lot 135) et 30 (lot 136) - même construction - au no 30 : villa Fortunio[3].
- no 32 (lot 137) - villa Elles sont trois[3].
- no 34 (lot 138) - villa L'Espiègle[3].
- no 36 (lots 139 et 140) - accès à la résidence L'Étourderie[3].
- nos 38 et 40 : même construction :
Intersection avec la rue Léon-Garet
- no 42 (lot 239) - villa Ma Chaumière, repeinte en 2023.
- nos 44-46-48 - même construction construite en 1910 :
- no 44 (lot 238) - villa Touche à tout.
- no 46 (lot 237) - villa Tintamarre[3].
- no 48 (lot 236) - villa Charivari construite en 1910.
- no 50 (lot 235) - villa La Cerisaie[3] transformée en 12 appartements en copropriété[26].
- no 52 (lot 234) - villa Les Sablons[3] transformée en 8 appartements en copropriété[27].
- no 52 bis (lot 233) - villa Les petits sablons[3] transformée en 6 appartements en copropriété[28]. Le club de gymnastique Corps et Esprit y a son siège.
- no 54 (lot 232) - petit immeuble Jamais 304[3].
Intersection avec la rue de Bruxelles
- no 56 (lot 292) - (entrée au 54, rue de Bruxelles) résidence Pretty Corner[3].
- nos 58 et 60 : construction d'un immeuble de 16 logements (permis de construire du , à la place de :
- no 58 (lot 409) - villa construite en 1904, vendue en 2019, puis démolie en 2022.
- no 60 (lot 210) - ancien emplacement du bar-discothèque Le Garden jusqu'en 2005, démoli en 2020[29].
- nos 62-64-66, même construction coupée en trois :
- no 66 bis (lot 204) - angle (entrée au 73, rue Saint-Jean) - Commerce au rez-de-chaussée : Saint-James. Ce petit immeuble a été construit en 1926. En copropriété, il comprend trois appartements[30].
Intersection avec la rue Saint-Jean
- no 68 (lot 51) - villa Giroflée - Girofla construite en 1901[I 1] (plaque « Goffaux / entrepreneur / Paris-Plage » et plaque « A. Bienaimé / Architecte / Amiens »)[31],[DVF 4]. Commerce au rez-de-chaussée : Vicomte A (agence du Crédit agricole dans les années 1970).
- no 70 (lot 53) - villa Mauritania[3] (plaque « Goffaux / entrepreneur / Paris-Plage » et plaque « Elie Morel / Architecte / Abbeville »).
- no 72 (lot 54) - villa Aquilon[3], façade peinte en jaune. Permis de construire du 01.07.2025.
- no 74 lot 434) - villa Zéphir[3] construite en 1900[I 2].
- nos 76-78-80-82-84 : ensemble ayant subi de nombreuses transformations de façades
- no 76 (lot 63) - villa Picciola[3] construite en 1904[I 2].
- no 78 (lot 64) - villa Poupette[3] construite en 1913[I 3].
- no 80 (lot 65) - villa Patchouli[3] construite en 1894[I 3].
- no 82 (lot 66) - villa, construite en 1904[I 2], rénovation 2022.
- no 84 (lot 67) - villa Sara[3] (anciennement Jean-Pierre) construite en 1904[I 3], rénovation 2022.
- no 86 (lot 69) - villa La Royana, construite à la fin du XIXe siècle par l'entrepreneur Julien Goffaux sur les plans de l'architecte Anatole Bienaimé. Cette villa est recensée à l'inventaire général du patrimoine culturel de la France[32].
Intersection avec la rue Saint-Louis
- no 88 (lot 142) - villa Victoria Lodge (le nom avait été couvert de peinture sur le côté, rue Saint-Louis, mais elle redevient visible en 2024).
- no 88 bis (lot 141) - villa Les Paillettes, construction de 1930, accessible par un passage à gauche du no 88, transformée en 7 appartements en copropriété[33]
- no 90 (lot 140) et 92 (lot 139) - même construction - plaque « E. Berger / entrepreneur / Paris-Plage ».
- nos 94 et 94 bis (lot 441) - villa La Troïka et villa La Pavlova[3].
- no 96 (lot 136) - (entrée au 49, rue Raymond-Lens). Cette villa comprend deux appartements en copropriété[34].
- no 96 bis (lot 135) - immeuble sur trois niveaux.
Intersection avec la rue Raymond-Lens
- no 98 (lot 218) - villa La Crysalide[3] construite en 1920[I 4].
- no 100 (lot 216) - villa La Semeuse[3], jumelle de la suivante.
- no 102 (lot 215) - villa Little Thalie[3], jumelle de la précédente.
- no 104 (lot 209) - résidence Logis62 JF Kennedy[3] construite à l'emplacement du commerce « Les Coopérateurs ».
- no 106 (lot 208) - villa Les Œillets.
- no 108 (lot 207) - villa à l'abandon (confirmation en 2024, en 2025).
- no 110 (lot 206) - anciennement Bar Le Galaxy[35]. Permis de construire du pour un immeuble collectif de 6 logements après démolition.
- no 112 (lot 205) - construction sur un niveau.
- (lot 344) (entrée 45, rue Saint-Amand) construction des années 1960-1970 (petit carrelage) sur deux niveaux.
Intersection avec la rue Saint-Amand
- no 114 (lot 262) - (entrée 50, rue Saint-Amand) villa Plaisance[3] construite en 1990[I 2]. Cette villa a été transformée en trois appartements en copropriété[36].
- no 116 (lot 264) - villa Les Ormes, plaque « Félix Verdier / entrepreneur / Paris-Plage ». Après transformation en 1970, cette villa est en copropriété de 5 appartements[37].
- no 118 (lot 265) - villa ancienne en brique Les Mélèzeq.
- no 120 (lot 266) - (entrée 51, rue de la Paix) résidence Les Optimistes[38] construite en 2019.
Intersection avec la rue de la Paix
- no 122 (lot 318) - Immeuble Debucourt[3] sur cinq niveaux. Cet immeuble en copropriété comprend 9 appartements[39].
- no 124 (lot 319) - Touquettoise Huet[3] surélevée sur quatre niveaux.
- no 126 (lot 320) - villa Chardin[3] sur trois niveaux, construite en 1908[I 2].
- no 128 (lot 321) - villa Fragonard[3] sur trois niveaux.
- nos 130-132 (lots 323 et 324) parking public[40], remplacé par un immeuble[41],[42],[43] construit par Vinci Immobilier, permis de construire du pour 21 logements collectifs, modifié en 2022 et 2023. La livraison est prévue au 2e trimestre 2026[44]L'immeuble est nommé. résidence Alcôve.
- no 136 (lot 328) - (entrée au 41, rue Jean-Monnet) Hôtel Be Cottage (anciennement « Hôtel Moderne »).
Rue Jean-Monnet (à partir de cette intersection, la rue est renommée rue AndreÏ-Sakharov)
- (lot 128) parking public
- no 140 (lot 127) - résidence Saint-Michel[3] de 6 niveaux. Cet immeuble en copropriété comprend 22 appartements[45].
- no 142 (lot 126) - résidence Baïkal[3]. Cet immeuble en copropriété comprend 29 appartements[46].
- nos 146 et 146 bis (lot 125) - petite villa scindée en deux : Les Diablotins[3] et Ma Corbeille.
- no 148 (lot 124) - villa[DVF 3].
- no 150 (lot 123) - (entrée au 47, rue des Oyats) villa Altair[3], jaune.
Intersection avec la rue des Oyats
- (lot 346)
- no 152 (lot 107) - villa Suzanne et Olga[3].
- no 152 bis - villa L'Annexe des Sables
- no 154 (lot 106) - villa Les Bleuets[3] cosntruite en 1904.
- nos 156-158 (lot 284) - résidence Anastasia[3]. Cet immeuble en copropriété comprend 27 appartements[47].
- no 160 (lot 104) - villa Montcalm[3] (plaque « J. Magnin, architecte / Paris-Plage »).
Intersection avec la rue de Montreuil
- no 162 (lot 206) - villa Remembrance[3], rénovation 2021 avec financement de la Fondation du patrimoine
- no 164 (lot 288) - Centre des finances publiques, désaffecté en juillet 2022. Un immeuble (résidence Odyssée) de six logements va être construit, permis de construire du .
- square Jules Pentier (lot 287)
- (lot 204) (entrée au 53, rue Dorothée) résidence Central Parc[3].
Intersection avec la rue Dorothée
- no 174 (lot 260) - (entrée au 46, rue Dorothée) la villa Les Trois valses a été démolie en 2023. Permis de construire d'une villa sur les plans de l'architecte Demarquette.
- no 176 (lot 103) - villa
- no 176 bis (lot 235) villa Doris et 178 (lot 234) : même construction.
- no 178 bis (lot 84) - villa[DVF 3] Alléluia dont le nom n'est plus visible depuis que la façade a été repeinte en 2023.
- no 180 (lot 83) - villa Michedez[3], repeinte en 2034.
- no 182 (lot 82) - villa Riant Séjour[3].
- no 182 bis (lot 81) - (entrée 26 rue du Sémaphore) villa La Riante[3].
- no 184 (entrée 26, rue du Sémaphore) - villa l'Amiante[DVF 2].
- no 186 - villa
Intersection avec l'avenue de l'Atlantique
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Pour approfondir
Bibliographie
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
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