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Séries éliminatoires de la Coupe Stanley 2016
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Les séries éliminatoires de la Coupe Stanley 2016 sont la partie finale de la saison de hockey sur glace de la Ligue nationale de hockey et font suite à la saison régulière 2015-2016. Les premiers matchs ont lieu le [1].
Pour l'association de l'Est, le premier tour des séries oppose les Panthers de la Floride aux Islanders de New York, le Lightning de Tampa Bay aux Red Wings de Détroit, les Capitals de Washington aux Flyers de Philadelphie et les Penguins de Pittsburgh aux Rangers de New York. Les Islanders créent la surprise en éliminant en six matchs les Panthers, meilleure équipe de la division Atlantique ; la deuxième équipe de même division, Tampa Bay, élimine Détroit en 5 rencontres. Du côté de la division Metropolitaine, les deux meilleures équipes de la saison régulière se qualifient : Washington en battant Philadelphie en six matchs, et Pittsburgh en venant à bout des Rangers de New York après cinq rencontres.
Les séries de l'association de l'Ouest voient les confrontations des Stars de Dallas au Wild du Minnesota, des Blues de Saint-Louis aux Blackhawks de Chicago, des Ducks d'Anaheim aux Predators de Nashville et enfin des Kings de Los Angeles aux Sharks de San José.
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Contexte et déroulement des séries
Depuis la saison 2013-2014, les trois meilleures équipes de chaque division sont qualifiées ainsi que les équipes classées aux 7e et 8e places de chaque association, sans distinction de division. La meilleure équipe de chaque association rencontre la 8e et la première équipe de l'autre division rencontre la 7e. Les équipes classées aux 2e et 3e places de chaque division se rencontrent dans la partie de tableau où se situe le champion de leur division. Toutes les séries sont jouées au meilleur des sept matchs[Note 1]. Les deux premiers matchs sont joués chez l'équipe la mieux classée à l'issue de la saison puis les deux suivants sont joués chez l'autre équipe. Si une cinquième, une sixième voire une septième rencontre sont nécessaires, elles sont jouées alternativement chez les deux équipes en commençant par la mieux classée[2].
Cette année, pour la première fois depuis 1970 et seulement la deuxième fois de l'histoire, il n'y a aucune équipe canadienne en séries éliminatoires[3].
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Tableau récapitulatif
Quarts de finale d'association | Demi-finales d'association | Finales d'association | Finale de la Coupe Stanley | |||||||||||||||||||
A1 | Floride | 2 | ||||||||||||||||||||
ER | Islanders de New York | 4 | ||||||||||||||||||||
ER | Islanders de New York | 1 | ||||||||||||||||||||
A2 | Tampa Bay | 4 | ||||||||||||||||||||
A2 | Tampa Bay | 4 | ||||||||||||||||||||
A3 | Détroit | 1 | ||||||||||||||||||||
A2 | Tampa Bay | 3 | ||||||||||||||||||||
M2 | Pittsburgh | 4 | ||||||||||||||||||||
M1 | Washington | 4 | ||||||||||||||||||||
ER | Philadelphie | 2 | ||||||||||||||||||||
M1 | Washington | 2 | ||||||||||||||||||||
M2 | Pittsburgh | 4 | ||||||||||||||||||||
M2 | Pittsburgh | 4 | ||||||||||||||||||||
M3 | Rangers de New York | 1 | ||||||||||||||||||||
M2 | Pittsburgh | 4 | ||||||||||||||||||||
P3 | San José | 2 | ||||||||||||||||||||
C1 | Dallas | 4 | ||||||||||||||||||||
ER | Minnesota | 2 | ||||||||||||||||||||
C1 | Dallas | 3 | ||||||||||||||||||||
C2 | Saint-Louis | 4 | ||||||||||||||||||||
C2 | Saint-Louis | 4 | ||||||||||||||||||||
C3 | Chicago | 3 | ||||||||||||||||||||
C2 | Saint-Louis | 2 | ||||||||||||||||||||
P3 | San José | 4 | ||||||||||||||||||||
P1 | Anaheim | 3 | ||||||||||||||||||||
ER | Nashville | 4 | ||||||||||||||||||||
ER | Nashville | 3 | ||||||||||||||||||||
P3 | San José | 4 | ||||||||||||||||||||
P2 | Los Angeles | 1 | ||||||||||||||||||||
P3 | San José | 4 | ||||||||||||||||||||
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Détails des matchs
Résumé
Contexte
Quarts de finale d'association
Floride contre Islanders de New York
14 avril | Floride | 4-5 (2-2, 1-1, 1-2) |
New York | BB&T Center 17 422 spectateurs |
15 avril | Floride | 3-1 (1-0, 1-0, 1-1) |
New York | BB&T Center 18 373 spectateurs |
17 avril | New York | 4-3 (pr) (0-1, 3-2, 0-0, 1-0) |
Floride | Barclays Center 15 795 spectateurs |
20 avril | New York | 1-2 (0-0, 1-1, 0-1) |
Floride | Barclays Center 15 795 spectateurs |
22 avril | Floride | 1-2 (2 pr) (0-1, 0-0, 1-0, 0-0, 0-1) |
New York | BB&T Center 20 247 spectateurs |
24 avril | New York | 2-1 (2 pr) (0-1, 0-0, 1-0, 0-0, 1-0) |
Floride | Barclays Center 15 795 spectateurs |
Tampa Bay contre Détroit
Comme lors des séries 2015, le Lightning se classe deuxième de la division Atlantique juste devant les Red Wings avec 97 points pour l'équipe de Tampa Bay et 93 pour les joueurs de Détroit[4]. Ces derniers se qualifient pour la 25e fois consécutive pour les séries éliminatoires ; c'est la troisième plus longue suite de qualification pour les séries de l'histoire de la LNH après les Bruins de Boston qui jouent 29 séries consécutives entre 1968 et 1996 et les Blackhawks de Chicago avec 28 qualifications entre 1970 et 1997. Depuis le début de cette série, les Red Wings ont remporté quatre Coupes Stanley[5]. C'est la deuxième opposition entre les deux formations après celle de 2015 qui tourne à l'avantage de Tampa Bay en 7 matchs[6].
13 avril | Tampa Bay | 3-2 (1-0, 1-2, 1-0) |
Détroit | Amalie Arena 19 092 spectateurs |
15 avril | Tampa Bay | 5-2 (1-0, 1-1, 3-1) |
Détroit | Amalie Arena 19 092 spectateurs |
17 avril | Détroit | 2-0 (0-0, 2-0, 0-0) |
Tampa Bay | Joe Louis Arena 20 027 spectateurs |
19 avril | Détroit | 2-3 (0-1, 2-1, 0-1) |
Tampa Bay | Joe Louis Arena 20 027 spectateurs |
21 avril | Tampa Bay | 1-0 (0-0, 0-0, 1-0) |
Détroit | Amalie Arena 19 092 spectateurs |
Washington contre Philadelphie
14 avril | Washington | 2-0 (0-0, 1-0, 1-0) |
Philadelphie | Verizon Center 18 506 spectateurs |
16 avril | Washington | 4-1 (1-0, 2-1, 1-0) |
Philadelphie | Verizon Center 18 506 spectateurs |
18 avril | Philadelphie | 1-6 (1-1, 0-1, 0-4) |
Washington | Wells Fargo Center 19 678 spectateurs |
20 avril | Philadelphie | 2-1 (1-0, 1-0, 0-1) |
Washington | Wells Fargo Center 19 692 spectateurs |
22 avril | Washington | 0-2 (0-0, 0-1, 0-1) |
Philadelphie | Verizon Center 18 506 spectateurs |
24 avril | Philadelphie | 0-1 (0-0, 0-1, 0-0) |
Washington | Wells Fargo Center 19 925 spectateurs |
Pittsburgh contre Rangers de New York
Pour la troisième fois en trois séries, les Penguins et les Rangers se retrouvent lors des séries éliminatoires. Lors des deux éditions précédentes, les Rangers sont sortis vainqueurs des confrontations avec une victoire en sept rencontres en 2014 au deuxième tour et une autre en cinq matchs en 2015, au premier tour. Les Penguins comptent prendre leur revanche sur New York lors de cette série ; ils ont en effet un bilan légèrement meilleur sur la saison avec 104 points contre 101 pour les Rangers[4],[7]. Ils comptent également sur la présence de leur capitaine, Sidney Crosby, troisième meilleur pointeur de la saison avec un total de 85 points[8]. Les Rangers eux comptent sur leurs vétérans Henrik Lundqvist, dans les buts, ou encore Eric Staal arrivé en fin de saison en provenance des Hurricanes de la Caroline[7].
Le premier match de la série a lieu le sur la patinoire des Penguins. Les deux équipes tirent une douzaine de fois au cours de la première période mais juste avant la fin du tiers-temps, Lundqvist se prend le bout de la crosse de son coéquipier, Marc Staal, dans l'œil. Après un arrêt du match, le portier des Rangers revient sur la glace pour finir la période mais Patric Hornqvist en profite pour ouvrir la marque pour les locaux à 18 secondes de la première pause. Antti Raanta remplace Lundqvist dans les buts dès le début de la deuxième période et il réussit à faire six arrêts au cours de cette période de jeu. Cependant, les Penguins prennent deux buts d'avance grâce à Crosby lancé en échappée juste avant la fin du tiers. À la troisième minute de la troisième période, Derek Stepan inscrit le premier but de la soirée pour les Rangers en supériorité numérique contre Jeff Zatkoff. Deux minutes plus tard, les Penguins reprennent deux buts d'avance en infériorité numérique avant que Hornqvist n'inscrive son deuxième but de la soirée. Dix minutes avant la fin du match, Stepan double la mise pour New York mais avec moins de trois minutes restant dans le match, Alain Vigneault décide de sortir son gardien pour mettre un sixième joueur. Crosby en profite pour récupérer le palet qu'il transmet à Hornqvist pour une victoire finale 5-2 des locaux[9].
13 avril | Pittsburgh | 5-2 (1-0, 1-0, 3-2) |
New York | Consol Energy Center 18 588 spectateurs |
16 avril | Pittsburgh | 2-4 (0-0, 1-3, 1-1) |
New York | Consol Energy Center 18 614 spectateurs |
19 avril | New York | 1-3 (0-0, 1-1, 0-2) |
Pittsburgh | Madison Square Garden 18 006 spectateurs |
21 avril | New York | 0-5 (0-3, 0-1, 0-1) |
Pittsburgh | Madison Square Garden 18 006 spectateurs |
23 avril | Pittsburgh | 6-3 (2-2, 4-0, 0-1) |
New York | Consol Energy Center 18 607 spectateurs |
Dallas contre Minnesota
14 avril | Dallas | 4-0 (0-0, 2-0, 2-0) |
Minnesota | American Airlines Center 18 532 spectateurs |
16 avril | Dallas | 2-1 (0-0, 1-0, 1-1) |
Minnesota | American Airlines Center 18 988 spectateurs |
18 avril | Minnesota | 5-3 (1-2, 2-0, 2-1) |
Dallas | Xcel Energy Center 19 038 spectateurs |
20 avril | Minnesota | 2-3 (0-0, 2-3, 0-0) |
Dallas | Xcel Energy Center 19 080 spectateurs |
22 avril | Dallas | 4-5 (pr) (1-2, 0-0, 3-2, 0-1) |
Minnesota | American Airlines Center 18 889 spectateurs |
24 avril | Minnesota | 4-5 (0-3, 0-1, 4-1) |
Dallas | Xcel Energy Center 19 310 spectateurs |
Saint-Louis contre Chicago
Le premier match de la série a lieu le dans le Scottrade Center de Saint-Louis. Ce sont les visiteurs qui s'illustrent le plus lors de la première période avec 11 tirs dirigés vers Brian Elliott contre seulement 4 arrêts sur autant de tirs de Corey Crawford. Les actions de jeu s'équilibrent en deuxième période avec une dizaine de tirs de chaque côté et les gardiens continuent à garder leurs filets inviolés. La troisième période ne voit que 2 tirs des Blues contre 8 des Blackhawks mais le temps réglementaire se termine sans aucun but inscrit par les deux équipes. Elles jouent donc une prolongation et après environ de 10 minutes de jeu, David Backes parvient enfin à tromper Crawford alors qu'Elliott termine la rencontre avec 35 arrêts pour le premier blanchissage en série de sa carrière[10].
13 avril | Saint-Louis | 1-0 (pr) (0-0, 0-0, 0-0, 1-0) |
Chicago | Scottrade Center 19 241 spectateurs |
15 avril | Saint-Louis | 2-3 (0-0, 1-1, 1-2) |
Chicago | Scottrade Center 19 846 spectateurs |
17 avril | Chicago | 2-3 (1-1, 1-0, 0-2) |
Saint-Louis | United Center 22 207 spectateurs |
19 avril | Chicago | 3-4 (0-1, 2-1, 1-2) |
Saint-Louis | United Center 22 212 spectateurs |
21 avril | Saint-Louis | 3-4 (2 pr) (0-0, 1-3, 2-0, 0-0, 0-1) |
Chicago | Scottrade Center 19 956 spectateurs |
23 avril | Chicago | 6-3 (1-3, 3-0, 2-0) |
Saint-Louis | United Center 22 260 spectateurs |
25 avril | Saint-Louis | 3-2 (2-1, 0-1, 1-0) |
Chicago | Scottrade Center 19 935 spectateurs |
Anaheim contre Nashville
15 avril | Anaheim | 2-3 (1-1, 1-1, 0-1) |
Nashville | Honda Center 17 236 spectateurs |
17 avril | Anaheim | 2-3 (1-1, 0-2, 1-0) |
Nashville | Honda Center 17 174 spectateurs |
19 avril | Nashville | 0-3 (0-1, 0-2, 0-0) |
Anaheim | Bridgestone Arena 17 204 spectateurs |
21 avril | Nashville | 1-4 (0-1, 1-2, 0-1) |
Anaheim | Bridgestone Arena 17 232 spectateurs |
23 avril | Anaheim | 5-2 (0-0, 2-1, 3-1) |
Nashville | Honda Center 17 360 spectateurs |
25 avril | Nashville | 3-1 (0-0, 2-1, 1-0) |
Anaheim | Bridgestone Arena 17 113 spectateurs |
27 avril | Anaheim | 1-2 (0-2, 0-0, 1-0) |
Nashville | Honda Center 17 407 spectateurs |
Los Angeles contre San José
14 avril | Los Angeles | 3-4 (1-1, 2-2, 0-1) |
San José | Staples Center 18 230 spectateurs |
16 avril | Los Angeles | 1-2 (0-1, 0-1, 1-0) |
San José | Staples Center 18 514 spectateurs |
18 avril | San José | 1-2 (pr) (1-1, 0-0, 0-0, 0-1) |
Los Angeles | SAP Center 17 562 spectateurs |
20 avril | San José | 3-2 (0-0, 2-0, 1-2) |
Los Angeles | SAP Center 17 562 spectateurs |
22 avril | Los Angeles | 3-6 (0-2, 3-1, 0-3) |
San José | Staples Center 18 543 spectateurs |
Demi-finales d'association
Tampa Bay contre Islanders de New York
27 avril | Tampa Bay | 3-5 (1-3, 0-1, 2-1) |
New York | Amalie Arena 19 092 spectateurs |
30 avril | Tampa Bay | 4-1 (2-1, 1-0, 1-0) |
New York | Amalie Arena 19 092 spectateurs |
3 mai | New York | 4-5 (pr) (1-1, 1-1, 2-2, 0-1) |
Tampa Bay | Barclays Center 15 795 spectateurs |
6 mai | New York | 1-2 (pr) (1-0, 0-0, 0-1, 0-1) |
Tampa Bay | Barclays Center 15 795 spectateurs |
8 mai | Tampa Bay | 4-0 (2-0, 1-0, 1-0) |
New York | Amalie Arena 19 092 spectateurs |
Washington contre Pittsburgh
28 avril | Washington | 4-3 (pr) (1-0, 1-2, 1-1, 1-0) |
Pittsburgh | Verizon Center 18 506 spectateurs |
30 avril | Washington | 1-2 (0-0, 0-1, 1-1) |
Pittsburgh | Verizon Center 18 506 spectateurs |
2 mai | Pittsburgh | 3-2 (2-0, 1-0, 0-2) |
Washington | Consol Energy Center 18 601 spectateurs |
4 mai | Pittsburgh | 3-2 (pr) (1-1, 1-1, 0-0, 1-0) |
Washington | Consol Energy Center 18 614 spectateurs |
7 mai | Washington | 3-1 (1-1, 2-0, 0-0) |
Pittsburgh | Verizon Center 18 506 spectateurs |
10 mai | Pittsburgh | 4-3 (pr) (1-0, 2-1, 0-2, 1-0) |
Washington | Consol Energy Center 18 650 spectateurs |
Dallas contre Saint-Louis
29 avril | Dallas | 2-1 (0-0, 1-0, 1-1) |
Saint-Louis | American Airlines Center 18 532 spectateurs |
1er mai | Dallas | 3-4 (pr) (1-3, 0-0, 2-0, 0-1) |
Saint-Louis | American Airlines Center 18 889 spectateurs |
3 mai | Saint-Louis | 6-1 (2-1, 3-0, 1-0) |
Dallas | Scottrade Center 19 323 spectateurs |
5 mai | Saint-Louis | 2-3 (pr) (1-0, 1-2, 0-0, 0-1) |
Dallas | Scottrade Center 19 770 spectateurs |
7 mai | Dallas | 1-4 (1-1, 0-2, 0-1) |
Saint-Louis | American Airlines Center 18 754 spectateurs |
9 mai | Saint-Louis | 2-3 (0-3, 1-0, 1-0) |
Dallas | Scottrade Center 19 808 spectateurs |
11 mai | Dallas | 1-6 (0-3, 0-2, 1-1) |
Saint-Louis | American Airlines Center 19 345 spectateurs |
San José contre Nashville
29 avril | San José | 5-2 (0-0, 0-1, 5-1) |
Nashville | SAP Center 17 026 spectateurs |
1er mai | San José | 3-2 (0-0, 1-0, 2-2) |
Nashville | SAP Center 17 562 spectateurs |
3 mai | Nashville | 4-1 (0-1, 2-0, 2-0) |
San José | Bridgestone Arena 17 163 spectateurs |
5 mai | Nashville | 4-3 (3 pr) (2-1, 0-1, 1-1, 0-0, 0-0, 1-0) |
San José | Bridgestone Arena 17 188 spectateurs |
7 mai | San José | 5-1 (2-1, 2-0, 1-0) |
Nashville | SAP Center 17 562 spectateurs |
9 mai | Nashville | 4-3 (pr) (1-2, 1-0, 1-1, 1-0) |
San José | Bridgestone Arena 17 292 spectateurs |
12 mai | San José | 5-0 (2-0, 1-0, 2-0) |
Nashville | SAP Center 17 562 spectateurs |
Finales d'association
Pittsburgh contre Tampa Bay
13 mai | Pittsburgh | 1-3 (0-1, 1-2, 0-0) |
Tampa Bay | Consol Energy Center 18 554 spectateurs |
16 mai | Pittsburgh | 3-2 (pr) (2-2, 0-0, 0-0, 1-0) |
Tampa Bay | Consol Energy Center 18 534 spectateurs |
18 mai | Tampa Bay | 2-4 (0-0, 0-1, 2-3) |
Pittsburgh | Amalie Arena 19 092 spectateurs |
20 mai | Tampa Bay | 4-3 (2-0, 2-0, 0-3) |
Pittsburgh | Amalie Arena 19 092 spectateurs |
22 mai | Pittsburgh | 3-4 (pr) (1-0, 2-2, 0-1, 0-1) |
Tampa Bay | Consol Energy Center 18 648 spectateurs |
24 mai | Tampa Bay | 2-5 (0-1, 0-2, 2-2) |
Pittsburgh | Amalie Arena 19 092 spectateurs |
26 mai | Pittsburgh | 2-1 (0-0, 2-1, 0-0) |
Tampa Bay | Consol Energy Center 18 638 spectateurs |
Saint-Louis contre San José
15 mai | Saint-Louis | 2-1 (1-1, 1-0, 0-0) |
San José | Scottrade Center 19 483 spectateurs |
17 mai | Saint-Louis | 0-4 (0-1, 0-1, 0-2) |
San José | Scottrade Center 19 596 spectateurs |
19 mai | San José | 3-0 (1-0, 1-0, 1-0) |
Saint-Louis | SAP Center 17 562 spectateurs |
21 mai | San José | 3-6 (0-2, 0-2, 3-2) |
Saint-Louis | SAP Center 17 562 spectateurs |
23 mai | Saint-Louis | 3-6 (2-1, 1-2, 0-3) |
San José | Scottrade Center 19 372 spectateurs |
25 mai | San José | 5-2 (1-0, 1-0, 3-2) |
Saint-Louis | SAP Center 17 562 spectateurs |
Finale de la Coupe Stanley

30 mai | Pittsburgh | 3-2 (2-0, 0-2, 1-0) |
San José | Consol Energy Center 18 596 spectateurs |
1er juin | Pittsburgh | 2-1 (pr) (0-0, 1-0, 0-1, 1-0) |
San José | Consol Energy Center 18 655 spectateurs |
4 juin | San José | 3-2 (pr) (1-1, 0-1, 1-0, 1-0) |
Pittsburgh | SAP Center 17 562 spectateurs |
6 juin | San José | 1-3 (0-1, 0-1, 1-1) |
Pittsburgh | SAP Center 17 562 spectateurs |
9 juin | Pittsburgh | 2-4 (2-3, 0-0, 0-1) |
San José | Consol Energy Center 18 680 spectateurs |
12 juin | San José | 1-3 (0-1, 1-1, 0-1) |
Pittsburgh | SAP Center 17 562 spectateurs |
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Effectif champion
Résumé
Contexte
La liste ci-dessous présente l'ensemble des personnalités ayant le droit de faire partie de l'effectif officiel champion de la Coupe Stanley. Pour être listés parmi les vainqueurs de la coupe et avoir leur nom gravé sur celle-ci, les joueurs doivent avoir participé, avec l'équipe gagnante, au minimum à 41 des rencontres de la saison régulière ou une rencontre de la finale des séries éliminatoires. De plus, depuis 1994, des joueurs de la franchise n'ayant pas atteint ces critères peuvent également voir leur nom sur la Coupe sur demande spéciale de la franchise. C'est le cas de Pascal Dupuis qui a pris sa retraite en cours de saison sans avoir disputé les 41 matchs nécessaires ainsi que de Jeff Zatkoff qui a joué 14 matchs de saison régulière et participé aux séries sans jouer la finale. En plus des joueurs, des membres de la franchise ont également leur nom sur la Coupe[11]. Au total, 52 membres de l'équipe ont leur nom gravé sur la Coupe Stanley[12] :
- Joueurs : Sidney Crosby, Nick Bonino, Ian Cole, Matt Cullen, Trevor Daley, Brian Dumoulin, Pascal Dupuis, Eric Fehr, Marc-André Fleury, Carl Hagelin, Patric Hörnqvist, Philip Kessel, Tom Kühnhackl, Chris Kunitz, Kristopher Letang, Ben Lovejoy, Olli Määttä, Ievgueni Malkine, Matthew Murray, Kevin Porter, Bryan Rust, Justin Schultz, Conor Sheary, Jeff Zatkoff.
- Membres de l'organisation : Mario Lemieux, Ron Burkle, William Kassling, David Morehouse, Travis Williams, James Rutherford, Jason Botterill, William Guerin, Jason Karmands, Mark Recchi, Mike Sullivan, Jacques Martin, Richard Tocchet, Mike Bales, Andy Saucier, Dharmesh Vyas, Chris Stewart, Curtis Bell, Patrick Steidle, Andy O'Brien, Alex Trinca, Dana Heinze, Ted Richards, John Taglianetti, Jim Britt, Dan Mac Kinnon, Randy Sexton, Dereck Clancey.
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Statistiques
Meilleurs pointeurs
Meilleurs gardiens
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Notes et références
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