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Sandra, princesse rebelle

mini-série française (1995) De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Sandra, princesse rebelle est une mini-série française en 8 épisodes de 90 minutes, créée par Pascal Bancou et José Luis de Vilallonga et diffusée entre le et le [2] sur le réseau TF1. Il s'agit d'une histoire romanesque imaginée par Claude de Givray[1].

Faits en bref Type de série, Genre ...

Elle fait partie de la saga de l'été, la première de la chaîne à ne pas être réalisée par Jean Sagols et à mettre en scène une actrice belge encore inconnue, Marie Verdi[3].

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Synopsis

Dans les années 1990, Sandra Francœur, sage-femme dans une maternité à Paris, qui mène une vie tranquille avec son mari, Pierre, et de son fils, Stéphane, apprend qu'elle est la fille du couple royal, Michel et Natacha Arkadine, assassiné en 1968 lors du renversement de la monarchie des Kroënies. Vu le manque d'engagement de son mari, elle décide de prendre son destin de princesse en main. Pour cela, elle doit d'abord s'accorder la confiance de son peuple.

Elle demande alors des subventions à l'État français pour pouvoir subvenir aux problèmes de son royaume. Elle tombe amoureuse d'Ivan, mais son rang de princesse suscite les plus viles jalousies : un certain Zoltan Kouros, un richissime banquier originaire des Kroënies, veut lui faire épouser son frère, Simon, sinon elle ne reverra jamais son fils…

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Distribution

 Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section proviennent du générique de fin de l'œuvre audiovisuelle présentée ici.

Acteurs principaux

Acteurs secondaires

Acteurs récurrents

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Épisodes

Les épisodes sont diffusés sur TF1, entre le et le [2].

  1. La Princesse secrète
  2. La Décision
  3. Retour au pays
  4. Premières Armes
  5. L'Œil du cyclone
  6. La Lutte
  7. La Nuit obscure
  8. Délivrance

Production

Résumé
Contexte

Genèse et développement

Sandra, princesse rebelle est une histoire romanesque imaginée par Claude de Givray[1], responsable de la fiction française du TF1, qui a invité les scénaristes, Pascal Bancou, Sylvie Coquart, Bernard Granger et Mireille Lanteri, à « ne pas hésiter à se faire plaisir, voire à délirer un peu »[3].

Tournage

Le tournage, ayant pour une durée de six mois[1], commence à Paris, puis au Portugal et à Prague, en République tchèque, pour le monastère de Strahov et non loin du château, où il prend fin en [5].

Musique

La musique de la mini-série est composée par Serge Franklin. La chanson du générique Princesse rebelle est interprétée par Demis Roussos[6].

Liste de pistes[7]
  1. Princesse rebelle (2:36)
  2. Messe du couronnement (3:10)
  3. Valse du palais (2:55)
  4. La nuit obscure (2:58)
  5. Hymne : Quid volo deus amat (0:48)
  6. La terre natale (2:05)
  7. Réception des ambassades (2:31)
  8. Le chant de la rivière (1:40)
  9. La porte ensanglantée (1:51)
  10. Turkish Marquet (2:06)
  11. Face à face (3:21)
  12. La cicatrice (1:56)
  13. Beverly Blues (1:29)
  14. La fin d'un amour (2:15)
  15. Rapt (1:54)
  16. La vérité (2:37)
  17. Izmir Airport (2:59)
  18. Un tueur passe (2:23)
  19. Suicide (2:27)
  20. Zoltan Kouros (1:35)
  21. Danse des fous (1:57)

Fiche technique

 Sauf indication contraire ou complémentaire, les informations mentionnées dans cette section proviennent du générique de fin de l'œuvre audiovisuelle présentée ici.

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Accueil

Audiences

Selon Médiamétrie, le premier épisode, diffusé le vendredi , à 20 h 50, compte 5,8 millions de téléspectateurs et représente comme un échec pour TF1 bien que la série Maigret, sur France 2, ait rassemblé quelque 100 000 de plus[3].

Critiques

Nadine Burcharles, du magazine de presse Télé 7 jours, partage « ce pur divertissement, réalisé avec les moyens nécessaires et porté par une brillante distribution, se révèle très amusant quand on s'y laisse prendre[9]. ».

Sylvie Kerviel, journaliste de Le Monde, révèle bien « une poignée d'acteurs Andréa Ferréol, Jean-Claude Brialy, Jean-Pierre Kalfon, aimés du grand public ; des décors plages du littoral adriatique et châteaux de Bohême à faire rêver les midinettes ; une histoire enfin, invraisemblable mais cohérente (…). « Sandra » ou les aventures de Cendrillon égarée à Dallas. (…) Les scénaristes ont-ils trop « déliré » ? Les histoires de princesse ne font-elles plus rêver ?[3] ».

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Notes et références

Voir aussi

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