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Tramway de Lyon
réseau de transport public de la ville de Lyon De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Le tramway de Lyon est un réseau de tramway qui dessert la ville française de Lyon et une partie de son agglomération. Il est constitué de huit lignes dont sept urbaines qui sont propriété de SYTRAL Mobilités et sont exploitées sous la marque commerciale TCL. La huitième assurant la liaison avec l'aéroport était propriété du Conseil général du Rhône jusqu'au , elle est depuis le propriété de SYTRAL Mobilités. Elle était exploitée par la société Rhônexpress SAS via Transdev Rail Rhône jusqu'au [1].
Depuis le , après 32 années de gestion exclusive du réseau TCL assurée par la société Keolis, l'exploitation de ce réseau de tramway est assurée par l'exploitant RATP Dev, filiale de la RATP pour une durée de 10 ans[2]. L'ancien exploitant Keolis Lyon conserve l'exploitation du réseau de bus pour une durée de 6 ans [3].
Le premier réseau de tramways, mis en service en 1880, a été fermé en 1956. Malgré la politique du « tout voiture » des années 1970, le métro de Lyon voit le jour en 1978. Dès 1989 apparaît l'idée de réimplanter le tramway à Lyon. Après de nombreuses levées de bouclier, un nouveau réseau prend forme, avec l'inauguration en décembre 2000 et la mise en service, le 2 janvier 2001, des nouvelles lignes T1 et T2, puis les lignes T3 en 2006, T4 en 2009, Rhônexpress en 2010, T5 en 2012, T6 en 2019 et T7 en 2021.
Il s'agit du deuxième réseau de France, derrière celui de la région parisienne, par la longueur cumulée des lignes exploitées, la longueur physique du réseau et la fréquentation.
Depuis juin 2020[4], le parc compte un nombre total de 107 rames, dont 34 rames de 43 mètres de long.
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Histoire
Résumé
Contexte
Ancien réseau (1880–1958)
En 1879, est créée la compagnie des Omnibus et tramways de Lyon (OTL). Le premier tramway, alors à traction animale, circule sur la ligne 5 entre Bellecour et Vaise le . Le réseau initial cumule alors plus de 43 kilomètres de lignes.
L'électrification du réseau commence en 1893. En 1906, elle recourt à la houille blanche de la société La Volta lyonnaise, de Georges Coutagne, qui exploite une usine électrique à Pomblière Saint-Marcel, près de Moûtiers en Tarentaise. Ce choix a permis de diminuer le coût de revient et la création de la première ligne à haute tension française, par le réseau de la Société grenobloise de force et lumière, sur une distance de 180 km, encore jamais atteinte en Europe, sur deux fils en laiton d'un diamètre de six millimètres[réf. nécessaire].

Plusieurs autres compagnies sont créées et obtiennent la concession de lignes, mais sont peu à peu absorbées par l'OTL : ainsi la Société Anonyme du Tramway d'Écully en 1899 ou la Compagnie Fourvière Ouest Lyonnais en 1911.
À l'apogée du réseau en 1930, les 34 lignes de tramways de Lyon transportent près de 160 millions de voyageurs par an[5].
Mais dès 1923, la municipalité de Lyon choisit d'investir dans les électrobus (autobus à traction électrique par accumulation), pour concurrencer l'OTL et ses tramways. En 1929, trois lignes d'électrobus municipaux sont en fonctionnement[6]. De plus, l'OTL subit un procès interminable engagé par les transporteurs privés en 1925, même si l'OTL gagne en cassation, en 1936, sa filiale Travaux et Transports est ruinée[7]. Malgré le succès du "train bleu" (tramway de Lyon à Neuville) en 1932, l'OTL est en difficulté et la place du tramway ne fait que décliner. La ligne de Mornant est remplacée par des autocars en 1934, celles de Sainte Foy et Francheville passent en trolleybus[8]... La Seconde Guerre mondiale est paradoxalement une période d'accalmie pour les tramways lyonnais, car les matériels routiers sont réquisitionnés et des lignes de tramways sont remises en service[9]. Mais à Lyon, pendant la période de la reconstruction et à l'instar de nombreuses autres villes françaises, le tramway est vivement concurrencé par le trolleybus et l'autobus. À partir de 1946, Lyon devient la "ville du trolleybus"[10]. Le 30 janvier 1956, le dernier tramway urbain est supprimé, et le 30 juin 1957, le "Train bleu du Val de Saône" disparait également[11].

Retour du tramway
Le retour du tramway dans l’agglomération lyonnaise fut concrétisé par la mise en service des deux premières lignes le 2 janvier 2001. Ce retour marquait l’aboutissement de près de vingt années de l’histoire des transports en commun lyonnais durant lesquelles le tramway fut épisodiquement évoqué avant d’effectuer son retour[12]. Après la mise en service des trois lignes de métro entre 1978 et 1984. Ainsi en 1983-1984, le STCRL étudia les possibilités de construction d'un tramway moderne en le comparant à un métro sur un axe est-ouest. Il fut rapidement abandonné au profit de la réalisation d’une quatrième ligne de métro, la ligne D[12].
Projet Hippocampe
Au cours de la campagne municipale de 1989, certains élus proposèrent le principe d’un réseau de surface en site propre, complétant le métro : à l’époque, les surcoûts du projet Maggaly alimentaient la chronique politique, enterrant de fait toute extension du métro. Ainsi fut lancé Hippocampe, est un projet de tramway sous Michel Noir[13]. Ce projet signifiait la résurrection du tramway à Lyon en complément de plusieurs prolongements de métro. Cette ligne devait relier Gerland à la station Foch de la ligne A, par un itinéraire de Saint-Fons, le plateau des Minguettes, la gare de Vénissieux, le boulevard des États-Unis, la gare de la Part-Dieu, le domaine universitaire de La Doua et le parc de la Tête d'or[12].
Constitution du nouveau réseau
Après 40 ans d'oubli, ponctués par une décadence puis une reprise des transports en commun, dont l'élément le plus notable est la création du métro, la décision de principe de créer un nouveau réseau de tramways intervient en 1996, en complément du métro. Ce projet est lancé à l'initiative du maire Raymond Barre, qui fait inscrire un nouveau réseau tram dans le Plan des Déplacements Urbains.
La solution tram, moins chère que le métro (construction et équipement), pourra assurer un débit suffisant sur certaines lignes. Pour cela, les lignes seront en site propre ou disposeront de priorités sur le reste de la circulation.
Deux lignes, T1 et T2, sont mises en service le .
Extensions successives
La ligne T2 a été prolongée à Saint-Priest-bel air le , la ligne T1 a été prolongée à Montrochet le . La ligne T3, inaugurée le 27 novembre 2006 (projet LEA), a été mise en service le sur l'emprise du Chemin de Fer de l'Est Lyonnais (CFEL) entre Gare Part dieu - Villette et Meyzieu - ZI. La ligne T4, inaugurée le 20 avril 2009, relie Jet d'eau - Mendes France à Hôpital Feyzin - Vénissieux, via Vénissieux et le plateau des Minguettes. La ligne T5 a été inaugurée le , et dessert quotidiennement Eurexpo depuis le 5 octobre 2020. La ligne T6 est mise en service commercial le . C'est la première ligne rocade du réseau de Lyon.
Depuis , le Parc OL est desservi quotidiennement par la création d'une ligne T7, exploitée avec une fréquence de 15 minutes en heures de pointe. Les tramways, qui partent de La Soie pour rejoindre le Parc OL en s’arrêtant à chaque station intermédiaire, offrent, sur ce tronçon, 25 % de capacité supplémentaire aux voyageurs. Initialement prévue le 2 novembre 2020, la mise en service du T7 a été reportée à la suite de la crise sanitaire de la Covid-19, pour finalement être effective au . La ligne est la première et la seule à ne pas du tout desservir la ville de Lyon.
La ligne T2 est prolongée à Hôtel de Région - Montrochet le , afin de mieux desservir le quartier de Confluence et de dé-saturer la ligne T1 entre Montrochet et Perrache.
Début 2025, deux nouvelles stations ont été ajoutées sur les lignes T3 et T7 à Décines et à Meyzieu[14]. Le , la station Chassieu ZAC du Chêne a été ouverte sur le T5.
Extensions abandonnées
Plusieurs projets d'extension du réseau de tramways, à travers la création de nouvelles lignes ou le prolongement de lignes existantes, ont été étudiés puis reportés ou abandonnés :
- Prolongement de la ligne T3 jusqu'à Crémieu : à l'étude en 2013 et refusée en 2014 par les élus du syndicat mixte de la Boucle du Rhône en Dauphiné qui lui préféraient la solution bus à haut niveau de service pour cette ligne[15], mais soutenue par le collectif associatif Parfer Lyon-Crémieu[16]. Aujourd'hui, ce projet de réouverture est porté par la région Auvergne-Rhône-Alpes à travers une solution de type tramway et une mise en service à l'horizon 2032[17].
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Réseau actuel
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Contexte
Aperçu général
Le réseau de tramway est exploité par Keolis Lyon sous le nom Transports en commun lyonnais, sauf pour Rhônexpress géré par CFTA Rhône et indépendant du réseau TCL. Il est composé de six lignes constituant un réseau de 61,8 km de lignes physiques pour 76,7 kilomètres de lignes commerciales. Les tramways bénéficient d'un système de priorité aux carrefours comportant des feux.
Les différentes informations ci-dessous sont retrouvables a partir des sources suivantes :
Le réseau, composé en janvier 2025 de huit lignes en incluant Rhônexpress, totalise pour l'instant 106 stations :
Rhônexpress

La liaison Rhônexpress reliant Gare Part-Dieu - Villette à l'aéroport de Lyon-Saint-Exupéry a été mise en service le 9 août 2010. Le Conseil général du Rhône a concédé le 8 janvier 2007 cette ligne pour 30 ans à Rhônexpress, un consortium qui inclut Vinci (28,2 %, mandataire), Veolia Transport (28,2 %), Vossloh Infrastructure Service (4,2 %), Cegelec Centre Est (2,8 %) et la Caisse des dépôts et consignations[26]. Par délibération du 21 février 2020, le SYTRAL a acté la résiliation du contrat de concession avec la société "Rhônexpress SAS"[27].Les élus du Sytral votent la résiliation du contrat passé avec l'opérateur Vinci pour « motif d'intérêt général ». Les élus estiment que le prix du ticket est trop élevé. À l'issue du préavis, la gestion est reprise par les TCL[28].
Ce tramway express utilise l'infrastructure de la ligne T3 réalisée par le Sytral sur la plate forme de l'ancien Chemin de fer de l'Est de Lyon (CFEL), et prolongée de Meyzieu à l'aéroport international Saint-Exupéry. Les 22 km de la liaison (dont 7 km de ligne express construite) sont parcourus en moins de 30 minutes[29] par le nouveau matériel roulant, intermédiaire entre tramway et tram-train, avec seulement deux arrêts intermédiaires entre ses deux terminus. Les six rames Tango[30] sont fournies par le constructeur suisse Stadler.
Fréquentation
La fréquentation du tramway de Lyon est en augmentation presque ininterrompue depuis sa mise en service. Les chiffres de fréquentation annuelle comptabilisés et présentés dans le tableau ci-dessous n'intègrent pas ceux de Rhônexpress.
En 2010, le tramway a comptabilisé environ 244 000 voyages par jour[34], ce qui représentait plus de 15 % des voyages enregistrés par le réseau TCL[35]. En 2017, il a comptabilisé plus de 350 000 voyages par jour, ce qui représentait plus de 20 % des voyages sur le réseau TCL.
En 2023, le tramway transporte 328 000 voy/j[36]
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Infrastructure
Résumé
Contexte
Voies


Les voies sont constituées de rails à écartement standard, soit 1 435 mm. Il y a deux types de voies pour le tramway de Lyon : les voies sur béton, et les voies sur ballast. Concernant ces dernières, seules les lignes T3, T7 et Rhônexpress en sont équipées[37].
Lignes aériennes de contact, alimentation électrique
Le tramway de Lyon fonctionne à l'électricité. L'alimentation des rames se fait au moyen d'une ligne aérienne de contact alimentée par des sous-stations. Celles-ci sont reliées au réseau Enedis et produisent, via des transformateurs et redresseurs, un courant continu sous tension de 750 volts. La captation du courant par les rames se fait au moyen d'un pantographe situé en toiture des tramways. Celle-ci est divisée en section indépendantes pouvant être alimentées séparément en cas de besoin (dysfonctionnement, incident, travaux...)[37].
La ligne Rhônexpress emploie également une ligne aérienne avec suspension par caténaire.
Conduite et signalisation
Le tramway de Lyon circule sous le régime de la marche à vue. Les rames ne sont donc pas maintenues espacées par la signalisation, qui est celle relevant des tramways, ce qui peut provoquer un « rattrapage » en cas d'arrêt prolongé d'une rame.
Il existe deux types de signalisations qui s'entrecroisent : la signalisation ferroviaire qui régule uniquement le tramway dans les zones de manœuvre, en gérant l'espacement et les itinéraires incompatibles, ainsi que la signalisation routière chargée de l'intégration de la circulation des rames au sein du trafic général. Seule la signalisation ferroviaire est gérée et contrôlée à distance par le Poste de Commande des Tramways (PCT)[38], la signalisation routière dépend quant à elle du Grand Lyon.
Aménagement des stations
Les stations sont conçues par l'architecte lyonnais Bruno Dumetier en collaboration avec Jean-Michel Wilmotte, le concepteur du mobilier de la ville de Lyon[39]. Elles sont équipées d'aubettes dont l'extrémité se termine par un mat en acier arborant le logo du réseau de tramway. Sur le mobilier sont indiqués le nom de la station, les correspondances ainsi que les lieux d’intérêt à proximité.
Elles disposent un système d'information voyageurs indiquant les deux prochains passages de rames ainsi que des informations sur les incidents éventuels de circulation sur le réseau. Chaque station est équipée d'un distributeur automatique de titres de transport et propose un plan du réseau et du quartier. Les stations sont également munies d'un dispositif de vidéosurveillance et conçues pour être accessibles aux personnes à mobilité réduite.
Les panneaux publicitaires sont gérés par la société Clear Channel.
- Détail de l'aménagement de la station Archives départementales sur la ligne T4.
- Détail de l'aménagement de la station Dauphiné - Lacassagne sur la ligne T3.
- Détail de l'aménagement de la station Musée des Confluences sur la ligne T1.
Dépôts
Le dépôt des lignes T1, T2, T5 et T6 se situe au Centre de maintenance des tramways de Saint-Priest, situé à côté de la station Porte des Alpes sur la ligne T2 à Saint-Priest.
Le dépôt des lignes T3, T4 et T7 se situe à Meyzieu peu avant la station Meyzieu Z.I. sur les lignes T3 et Rhônexpress.
Le dépôt de la ligne Rhônexpress est également à Meyzieu, peu après la station Meyzieu Z.I. et à proximité immédiate de la station Meyzieu - Les Panettes de la ligne T3.
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Matériel roulant
Résumé
Contexte
Alstom Citadis

Le parc roulant des lignes T1 à T7 est composé de 73 rames Alstom Citadis 302 et de 34 rames Alstom Citadis 402, ces dernières mises progressivement en service de 2012 à fin 2013[40] puis en 2016 et en 2019-2020.
Dix des Citadis 402 ont remplacé sur la ligne T3 les rames Citadis 302, qui sont parties en renfort sur d'autres lignes. Les rames Citadis 402 no 874 à 892 sont en service sur les lignes T3 et T4.
La livraison de 15 nouvelles rames (no 893 à no 907) a commencé en décembre 2019 et s'est terminée en janvier 2021. Ces nouvelles rames sont des Citadis 402 possédant des cabines type Citadis 405. Elles répondent aux nouvelles normes urbaines du STRMTG et inaugurent un nouveau design extérieur.
En 2007, le Sytral commande trois nouvelles rames Citadis 302 afin de renforcer la capacité des lignes alors en service. Cette commande permet à Alstom de franchir la barre symbolique du millier de tramways Citadis vendus dans le monde. À cette occasion, une rame de tramway (numéro 844) du réseau TCL revêt un pelliculage spécial aux couleurs de l'évènement[41].
Depuis le 7 juin 2021, les rames Citadis 801 à 847 font l'objet d'une rénovation de mi-vie qui se déroule progressivement actuellement. Les rames 806, 808, 816, 818, 820, 823 et 825 ont subi une rénovation intérieure (application des couleurs des rames Citadis 402 et application de la livrée dévoilée en 2019 a l'occasion de l'ouverture du T6). Les girouettes ont été remplacées, les rames ont été mises aux dernières normes et la plupart des composants ont été changés ou rénovés[42].
Stadler Tango

La ligne Rhônexpress est exploitée avec ses propres rames, des Stadler Tango.
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Exploitation
Le tramway, ainsi que le Rhônexpress, les funiculaires et les métros de Lyon sont exploités depuis le 1er janvier 2025 par RATP Dev sous la marque TCL (Transports en commun lyonnais), pour le compte de SYTRAL Mobilités.
Le tramway lyonnais roule à droite comme tous les tramways français, étant soumis à la réglementation édictée par le STRMTG[Note 1].
Le réseau de tramway fonctionne de 4 h 25 à 0 h 35.
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Tarification et financement
Résumé
Contexte
La tarification est identique sur l'ensemble du réseau TCL, qui est accessible avec l'ensemble des tickets et abonnements existants. Un ticket unité permet un trajet simple quelle que soit la distance, avec une ou plusieurs correspondances possibles avec les autres lignes de bus, tramway, funiculaire et de métro pendant une durée maximale de 1 h entre la première et dernière validation. Un ticket validé dans un tramway permet d'emprunter l'ensemble du réseau, quel que soit le mode de transport. Le trajet retour est autorisé avec le même ticket depuis le 1er janvier 2013 dans la limite d'une heure après sa première validation.
L'idée est de rendre peu chers des trajets relativement longs afin de décourager l'usage de l'automobile.
Le financement du fonctionnement des lignes (entretien, matériel et charges de personnel) est assuré par l'exploitant RATP Dev Lyon. Cependant, les tarifs des billets et abonnements dont le montant est limité par décision politique ne couvrent pas les frais réels de transport. Le manque à gagner est compensé par l'autorité organisatrice, SYTRAL Mobilités, qui définit les conditions générales d'exploitation ainsi que la durée et la fréquence des services.
Rhônexpress dispose de sa propre tarification.
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Projets de développement
En travaux
- Prolongement de la ligne T6 des Hôpitaux Est-Pinel à La Doua-Gaston Berger, via le quartier des Gratte-Ciel à Villeurbanne avec une mise en service prévue pour 2026[43]. La concertation préalable à l’enquête publique a eu lieu du 15 mars au 12 avril 2021[44] et les travaux de déviation des réseaux ont démarré en janvier 2023.
- Tramway T9 (Charpennes – La Doua – Vaulx-en-Velin Hôtel de Ville – Vaulx-en-Velin La Soie)[45] dont la concertation préalable s'est déroulée du 23 août au 23 octobre 2021. Les travaux ont débuté en janvier 2024[46].
- Tramway T10 (Gerland – ZAC Technosud – Saint-Fons – Gare de Vénissieux) dont la concertation préalable s'est déroulée du 23 août au 23 octobre 2021. Les travaux de déviation des réseaux ont démarré en juin 2023, et les travaux d'infrastructure en janvier 2024[47].
- Nouveaux centres de maintenance destinés en priorité aux lignes T6 et T10[48].
À l'étude
- Création du tramway T8 (Vaulx-en-Velin La Soie – Gare de Vénissieux), dont la concertation préalable se déroule du au [49],[50],[51].
- Prolongement du tramway T2 sous la forme d'un tramway express pour desservir l'ouest lyonnais jusqu'à Alaï via Perrache, avec une portion en souterrain sous le 5e arrondissement de Lyon, en remplacement de l'ancien projet de métro E[52]. L'ouverture est prévue en 2031[53].
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Notes relatives aux données communiquées
Provenance des données
Les dates d'ouverture des lignes, le matériel roulant et les unités de transport sont issus du site Ferro-Lyon. La durée du parcours et le nombre d'arrêts sont calculés à partir des fiches horaires TCL, de même que les jours de fonctionnement, les moments de la journée (journée, nuit, fêtes) et les particularités. Enfin, l'accessibilité de la ligne et des stations desservies sont issues des plans de ligne TCL.
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Notes et références
Bibliographie
Voir aussi
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