Victor Peytral

Victor Peytral, né le 19 octobre 1874 à Marseille et mort le 20 avril 1964 à Draguignan (Var), est un homme politique français.

Victor Peytral
Victor Peytral, sous-secrétaire d'État à l'Intérieur (1917)
Fonctions
Sous-Secrétaire d'État à l'Intérieur
12 septembre 1917 – 16 novembre 1917 (2 mois et 4 jours)
Président	Raymond Poincaré
Président du Conseil	Paul Painlevé
Gouvernement	Painlevé I
Ministre des Travaux publics
14 juin 1924 – 17 avril 1925 (10 mois et 3 jours)
Président	Raymond Poincaré
Gouvernement	Herriot I
Prédécesseur	Yves Le Trocquer
Successeur	Pierre Laval
Sénateur français
11 janvier 1920 – 13 janvier 1930 (10 ans et 2 jours)
Circonscription	Hautes-Alpes
Député français
10 mars 1912 – 7 décembre 1919 (7 ans, 8 mois et 27 jours)
Élection	10 mars 1912
Réélection	10 mai 1914
Circonscription	Hautes-Alpes
Législature	Xe et XIe (Troisième République)
Groupe politique	RRRS (1912-1919) GD (1920-1930)
Prédécesseur	Antoine Blanc
Successeur	Circonscription supprimée
Biographie
Date de naissance	19 octobre 1874
Lieu de naissance	Marseille
Date de décès	20 avril 1964 (à 89 ans)
Lieu de décès	Draguignan
Nationalité	Française
Père	Paul Peytral
Résidence	Hautes-Alpes
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Biographie

Il est le fils de Paul Peytral et d'Elisabeth Claire Marie Massot^[1]. Il est admis au lycée Thiers à Marseille. Il continue ses études au Lycée Janson-de-Sailly. Il effectue des études de droit à Paris^[2].

Carrière politique

En plus de sa carrière de parlementaire, en tant que député radical des Hautes-Alpes, de 1912 à 1919, puis en tant que sénateur des Hautes-Alpes, de 1920 à 1930, Victor Peytral a connu des postes gouvernementaux : Sous-secrétaire d'État à l'Intérieur, du 12 septembre au 16 novembre 1917, dans le premier gouvernement Paul Painlevé, puis Ministre des Travaux Publics, du 14 juin 1924 au 17 avril 1925, dans le premier gouvernement Édouard Herriot

Famille

Son épouse, fille de Ferdinand Tirard, industriel à Nogent-le-Rotrou, est morte en 1907 à Hyères à l'âge de 25 ans^[3].

Décorations

• Chevalier de la Légion d'honneur (1953)^[4].
• Médaille d'honneur des transports routiers, échelon vermeil en 1957 (de droit en tant qu'ancien ministre des Travaux publics)^[5].