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Vincenzo Bellini

compositeur italien De Wikipédia, l'encyclopédie libre

Vincenzo Bellini
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Vincenzo Bellini est un compositeur italien romantique, né le à Catane[1] (royaume de Sicile), et mort le à Puteaux[1] (France). Compositeur de musiques de chambre et de musiques sacrées, Bellini a laissé malgré sa courte carrière des opéras parmi les plus joués du répertoire lyrique, dont I Capuleti e i Montecchi (1830) , La sonnambula (1831), Norma (1831) et I puritani (1835)[2].

Faits en bref Nom de naissance, Naissance ...

Contemporain de Donizetti et de Rossini, il précède Verdi par une composition caractérisée par l'expression de la mélancolie et de sentiments tendres.

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Biographie

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Études

Élevé à Naples, au conservatoire de San Sebastiano, il a pour maîtres de composition Giovanni Furno[1], Giacomo Tritto[1] et Niccolò Antonio Zingarelli[1],[2].

Début

Il n'a pas encore terminé ses études lorsqu'il fait représenter sur la scène du conservatoire Adelson e Salvini, un petit opéra, que jouent trois de ses disciples. La fortune semble, dès ses débuts, le prendre en main, il se voit presque aussitôt chargé d'écrire pour le Teatro San Carlo (le premier de Naples) Bianca e Gernando, joué en 1826 par Giovanni Battista Rubini, Luigi Lablache et la soprano Adelaide Tosi. L'ouvrage est si bien reçu que Bellini est immédiatement invité à composer, pour la Scala de Milan, Il pirata en 1827[2], qui obtient un succès éclatant.

Bellini compose ensuite La straniera L'étrangère »), Zaira et I Capuleti ed i Montecchi Les Capulet et les Montaigu »). Sa renommée est établie lorsqu'il revient à Milan donner son premier chef-d'œuvre : La sonnambula, qui fait résonner son nom aux quatre coins de l'Europe grâce à son air Ah! non credea mirarti.

Les années 1830

À la fin de cette même année 1831, et de nouveau à Milan, il fait représenter Norma, son œuvre la plus connue. En 1833, Bellini donne à Venise Beatrice di Tenda, qui est un semi-échec. Sur l'initiative de Rossini, il est alors chargé de composer un opéra nouveau pour le Théâtre-Italien de Paris. Il vient donc en France au printemps 1833, s'installe aux Bains chinois, tout en séjournant à Puteaux, dans la maison d'un ami. Il compose I puritani (Les Puritains), qui est représenté en 1835[2] et fait un triomphe.

Mort

Le compositeur meurt quelques jours plus tard d'une dysenterie[3], seulement âgé de 33 ans à Puteaux. Inhumé au cimetière du Père-Lachaise (division 11), il est exhumé, 40 ans après sa mort, et ses restes sont transportés à Catane, sa ville natale, où il est enterré dans la cathédrale Sainte-Agathe. Le cercueil ayant servi à transporter sa dépouille est exposé au Musée Bellini situé dans la maison où il vécut à Catane. Le mausolée du Père-Lachaise, réalisé par Carlo Marochetti, est resté tel qu'il était aux premières obsèques.

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Hommages

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Bellini est décoré de la Légion d'honneur par Louis-Philippe Ier aux Tuileries, au printemps 1835. Pour l'anecdote, sa médaille, à son retour à Catane, est venue orner la statue de Sainte Agathe dans la cathédrale.

Gaetano Donizetti compose, sur proposition de Giovanni Ricordi, une cantate à la mémoire de Bellini sur des vers d’Andrea Maffei et en octobre 1835, il propose un Requiem à la mémoire de Bellini, qui sera créé en 1870 à Santa Maria Maggiore de Bergame. Le compositeur donnera aussi une Sinfonia pour orchestre sur des thèmes de Vincenzo Bellini.

Le Teatro Massimo Vincenzo Bellini (litt. en français : Grand Théâtre Vincenzo-Bellini)[4], la principale salle d'opéra de sa ville natale, a été nommé ainsi en hommage à l'un des plus célèbres enfants de la cité sicilienne. Il a été inauguré le avec une représentation de son opéra Norma.

Une espèce de champignon ; Suillus bellinii, a également été nommé en son honneur[5].

A Paris, la rue Bellini, située dans le 16ᵉ arrondissement, dans le quartier de la Muette, débute au 21, rue Scheffer et se termine au 30, avenue Paul-Doumer. Cette voie mesure 73 mètres de long et 7 mètres de large. Initialement ouverte en 1823 sous le nom de « rue de la Planchette », elle a été renommée « rue Bellini » par un décret du 24 août 1864.

Le Cimetière du Père-Lachaise accueille un cénotaphe Bellini , division 11. Conçu par l'architecte Guillaume Abel Blouet et le sculpteur Carlo Marochetti, le monument présente un médaillon de Bellini, une lyre entourée de palmes, les noms de ses neuf opéras et les villes où ses œuvres ont été jouées de son vivant. À l'origine, une statue de femme ailée ornait le monument, mais elle a disparu à la fin du XIXᵉ siècle. Un buste en marbre de Bellini, réalisé en 1865 par le sculpteur Hippolyte Ferrat, est conservé au Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris. Le Musée Carnavalet, dédié à l'histoire de Paris, possède un buste en plâtre de Bellini sculpté en 1835 par Jean-Pierre Dantan, dit Dantan Jeune

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Redécouverte

Les années 1950 et 1960 marquent le début de la redécouverte de l'œuvre de Bellini. Si Maria Callas interprète dès 1949 Norma, rôle qui la suivra toute sa carrière, elle réhabilitera aussi La Sonnambula en 1955 à Cologne[6], Il Pirata en 1958 à la Scala et I Puritani[7]. Début 1960, Joan Sutherland interprètera Beatrice di Tenda permettant donc sa redécouverte[8]. En 1966, le rôle de Roméo dans I Capuleti e i Montecchi est retranscrit pour un ténor, contribuant donc à la diffusion de la renommée de l'opéra[9].

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Le Teatro massimo Bellini.

Style

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Bellini est considéré comme l'un des plus grands « mélodistes lyriques », ayant influencé Chopin. Sa personnalité musicale peut difficilement se laisser enfermer dans un schéma historico-stylistique. Tout en demeurant fidèle aux concepts musicaux hérités des grands compositeurs qui l'ont précédé, Bellini est un tenant de la primauté du chant. Toutefois, en son temps, Stendhal souligne, dès La straniera, la rupture stylistique avec la tentative rossinienne de renouveler les formes de l'opéra baroque, Bellini participant, à la suite de Cherubini et Spontini, à la promotion d'un style « classique ». Doué d'un prodigieux génie mélodique, il consacre sa vie à la composition et brille dans l'art de créer des mélodies d'une parfaite limpidité. Certains critiques lui reprochent une « légèreté » dans l'accompagnement. Il construit ses harmonies et orchestrations de manière simple, mais il excelle dans l'expression des sentiments tendres et mélancoliques.

Il apporte, à Milan puis à Paris, l'aura de la culture méditerranéenne antique que l'Europe a idéalisée dans le classicisme. Ce renouveau enthousiasme tellement Wagner qu'il choisit la Sicile pour situer son opéra Das Liebesverbot, oder Die Novize von Palermo, adoptant la clarté du langage lyrique de Bellini.

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Cinéma

Iconographie

Une médaille posthume à l'effigie de Bellini, gravée par Filippo Speranza, est frappée par la ville de Catane en 1876, pour remercier la Ville de Paris de la restitution de la dépouille du musicien à sa ville natale. Un exemplaire en or de cette médaille est conservé au musée Carnavalet (ND 0011).

Œuvre

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Vincenzo Bellini est l'auteur d'environ 60 œuvres musicales.

Opéras

Les opéras ci-après sont en deux actes, sauf Adelson e Salvini et I puritani, en trois actes.

Davantage d’informations Titre original, Titre français ...

Musique vocale de chambre

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Monument à Bellini sur la Piazza Stesicoro à Catane.

Les compositions ci-après sont, sauf indication contraire, pour une voix et piano.

  • La farfalletta, canzoncina (petite chanson) (1813)
  • Dolente immagine, sur des vers de Giulio Genoino (?)
  • Non t'accostare all'urna, d'attribution incertaine, sur des vers de Jacopo Vittorelli
  • Quando verrà quel dì (1828?)
  • Venticiel che l'ali d'oro
  • Sei ariette da camera dedicate a Marianna Pollini (six ariettes de chambre dédiées à Marianna Pollini) (1829) :
    • Malinconia, ninfa gentile, sur des vers d'Ippolito Pindemonte
    • Vanne, o rosa fortunata
    • Bella Nice, che d'amore
    • Almen se non poss'io, sur des vers de Pietro Metastasio
    • Per pietà, bell'idol mio, sur des vers de Pietro Metastasio
    • Ma rendi pur contento, sur des vers de Pietro Metastasio
  • Guarda che bianca luna, sur des vers de Jacopo Vittorelli (1832)
  • Vaga luna che inargenti, arietta (1833)
  • Soirées musicales
  • L'abbandono (1833-34)
  • L'allegro marinaro, ballata (Ballade)
  • La ricordanza, sur des vers de Carlo Pepoli (1834)
  • Odia la pastorella, sur des vers de Pietro Metastasio (1834)
  • O crudel che il mio pianto non vedi (1835?)
  • Rêve d'enfance, sur des vers d'Émilien Pacini
  • Les joyeux matelots
  • Viens, prier enfant, d'attribution incertaine, sur des vers de Bay-Harale
  • Dalla guancia scolorita, canon pour soprano, ténor et piano (1835)
  • Toujours verser des larmes!, sur des vers de Napoléon Crevel de Charlemagne (1835)
  • Chi per quest'ombre dell'umana vita, canon libre à quatre voix, vers de Giovanni Guidiccioni (1835)
  • Le souvenir présent céleste (1835)
  • Il fervido desiderio, arietta

Arias et cantates

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Cour de la maison natale de Bellini à Catane.
  • T'intendo, sì, mio cor, vers de Pietro Metastasio, pour quatre soprani, sans accompagnement
  • No, traditor non curo, aria pour soprano et piano (à l'origine probablement pour soprano et orchestre)
  • Sì, per te gran nume eterno, cavatine pour soprano et orchestre (avant 1825)
  • Gioite, amiche contrade, aria de Cerere, pour soprano et orchestre
  • E nello stringerti a questo core, aria pour voix et orchestre (avant 1825)
  • Torna, vezzosa Fillide, cantate pour soprano et accompagnement
  • Imene, cantate nuptiale pour soprano, deux ténors et orchestre (1824?)
  • Quando incise su quel marmo, scène et aria pour contralto et orchestre, vers de Giulio Genoino (?) (1824?)
  • Giacché tu dei lasciarmi, scène et aria pour voix et piano[12]

Œuvres vocales perdues

  • Scena ed aria di Cerere[13]
  • Mancar mi sento il cor
  • Numi, se giusti siete, sur des vers de Pietro Metastasio
  • Amore, sur des vers de Carlo Pepoli
  • Malinconia, sur des vers de Carlo Pepoli
  • La speranza, sur des vers de Carlo Pepoli
  • Alla luna, sur des vers de Carlo Pepoli (1834-35)

Musique symphonique

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Cénotaphe de Bellini au Cimetière du Père-Lachaise, réalisé par Carlo Marochetti.

(Toutes les œuvres ci-après furent composées avant 1825.)

  • Symphonie en ré majeur n° 1
  • Capriccio, ossia Sinfonia per studio en do mineur
  • Symphonie en si bémol majeur n° 3
  • Symphonie en ré mineur no. 4
  • Symphonie en mi bémol majeur n° 5
  • Symphonie en mi bémol majeur n° 6
  • Symphonie en ré mineur n° 7
  • Symphonie en ré majeur n° 8
  • Concerto pour hautbois et orchestre en mi bémol majeur

Musique pour piano

Musique pour orgue

  • Sonate en sol majeur
  • Toccata (de la symphonie no 5, op. 42)

Musique sacrée

Inscription sur le tombeau de Bellini avec l'incipit de l'aria de La sonnambula :
« Ah! non credea mirarti / Sì presto estinto, o fiore ».
Cathédrale Sainte-Agathe à Catane.
Ah! non credea mirarti par Adelina Patti

(Toutes les compositions d'église de Bellini remontent à la période de ses études, à savoir avant 1825.)

  • Compieta (Complies) (œuvre perdue)
  • Cor mundum crea en fa majeur, pour voix soliste et orgue
  • Credo en do majeur, pour 4 voix et orchestre
  • Cum sanctis
  • De torrente
  • Dixit Dominus pour voix soliste, 4 voix et orchestre
  • Tecum principium
  • Domine Deus
  • Gallus cantavit
  • Gratias agimus en do majeur, pour soprano et orchestre
  • Juravit
  • Kyrie
  • Laudamus te
  • Litanie pastorali in onore della Beata Vergine pour 2 soprani et orgue
  • Magnificat pour 4 voix et orchestre
  • Messa in Re maggiore pour 2 soprani, ténor, basse et orchestre (1818)
  • Messa in Sol maggiore pour 2 soprani, ténor, basse et orchestre
  • Messa in La minore pour soprano, contralto, ténor, basse, 4 voix et orchestre
  • Pange lingua pour 2 voix et orgue
  • Qui sedes
  • Qui tollis
  • Quoniam pour ténor, 4 voix et orchestre
  • Quoniam pour soprano et orchestre
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Tombeau de Bellini,
Cathédrale Sainte-Agathe à Catane.
  • Salve regina en la majeur, pour 4 voix et orchestre
  • Salve regina en fa mineur, pour basse et orgue
  • Tantum ergo en ré majeur pour contralto et orchestre (1823)
  • Tantum ergo en mi majeur, pour voix soliste, chœur et orchestre (1823)
  • Tantum ergo en fa majeur, pour 2 voix et orchestre (1823)
  • Tantum ergo en sol majeur, pour soprano et orchestre (1823)
  • Tantum ergo con Genitori en si bémol majeur, pour soprano et orchestre
  • Tantum ergo con Genitori en mi bémol majeur, pour soprano et orchestre
  • Tantum ergo con Genitori en fa majeur, pour 2 soprani, 4 voix et orchestre
  • Tantum ergo en fa majeur, pour soprano et orchestre
  • Tantum ergo con Genitori en sol majeur, pour chœur et orchestre
  • Te Deum en do majeur, pour 4 voix et orchestre
  • Te Deum en mi bémol majeur, pour 4 voix et orchestre
  • Versetti da cantarsi il Venerdì Santo pour 2 ténors et orchestre
  • Virgam virtutis
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Adaptations et reprises ultérieures

Œuvre en rapport

Iconographies

Bibliographie sélective

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La Piazza Bellini, devant la Porta Capuana à Naples.
  • (it) Vincenzo Bellini, Epistolario, Milan, Mondadori,
    Recueil des lettres de Bellini édité par Luisa Cambi.
  • Gérard Denizeau, Vincenzo Bellini, Paris, Bleu Nuit, 2022, 176 p. (ISBN 978-2-35884-122-1)
  • Jean Thiellay et Jean-Philippe Thiellay, Bellini, Paris, Actes Sud, 2013, 200 p. (ISBN 978-2-330-02377-5)
  • Pierre Brunel, Vincenzo Bellini, Paris, Fayard, , 431 p. (ISBN 2-213-00963-5)
  • Theodore Baker et Nicolas Slonimsky (trad. de l'anglais par Marie-Stella Pâris, préf. Nicolas Slonimsky), Dictionnaire biographique des musiciens Baker's Biographical Dictionary of Musicians »], t. 1 : A-G, Paris, Robert Laffont, coll. « Bouquins », (réimpr. 1905, 1919, 1940, 1958, 1978), 8e éd. (1re éd. 1900), 4728 p. (ISBN 2-221-06510-7), p. 337
  • Chantal Cazaux, Bellini : Norma, Paris, Premières loges, série L'Avant-Scène Opéra, no  236, , 118 p. (ISBN 978-2-84385-235-0)
  • Bellini : Les Puritains, Paris, Premières loges, série L'Avant-Scène Opéra,
  • Jean-François Boukoza, Bellini : La Somnambule, Paris, Premières loges, série L'Avant-Scène Opéra, no  178, , 95 p.
  • Bellini : Les Capulets et les Montaigus, Paris, Premières loges, série L'Avant-Scène Opéra, no  122, , 121 p.
  • (en) Stephen Ace Willier, Vincenzo Bellini : A Research and Information Guide, New York, Routledge, série Music Bibliographies, , 2e éd. (1re éd. 2002), 280 p. (ISBN 978-0-415-99524-5)
  • (it) Francesco Pastura, Bellini secondo la storia, Parme, Guanda, , 713 p.
    Contient un répertoire des œuvres Elenco delle opere : p. 709-712.
  • (it) Maria Rosaria Adamo et Friedrich Lippmann, Vincenzo Bellini, Turin, Edizione RAI Tadiotelevisione Italiana (ERI), (ISBN 88-397-0283-0)
  • (it) Salvatore Enrico Failla, Vincenzo Bellini, Critica-Storia-Tradizione, Catane, Maimone, , 295 p. (ISBN 88-7751-056-0)
  • (de) Friedrich Lippmann, « Bellinis-Opern : Daten und Quellen », Analecta musicologica, Rome, vol. 6, no d'édition, , p. 365-97 (lire en ligne)
  • (en) John Rosselli, The Life of Bellini, Cambridge, Cambridge University Press, , 194 p. (ISBN 0-521-46227-4)
  • (en) David R. B. Kimbell, Vincenzo Bellini : Norma, Cambridge, Cambridge University Press, série Cambridge Opera Handbooks, , 141 p. (ISBN 0-521-48036-1)
  • (en) Simon Maguire, Vincenzo Bellini and the Aesthetics of Early Nineteenth-Century Italian Opera, New York & Londres, Garland, , 204 p. (ISBN 0-8240-2020-0)
  • (en) Leslie Orrey, Bellini, Londres; et New York, J. M. Dent and Sons; et Farrar, Straus and Giroux, , 176 p.
  • (en) Charles Osborne, The bel canto operas of Rossini, Donizetti and Bellini, Portland, Amadeus Press, , 378 p. (ISBN 0-931340-71-3)
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Discographie sélective

Résumé
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La discographie ci-après porte en particulier sur les enregistrements historiques, et les productions intégrales (à noter qu'un même enregistrement est souvent produit sous plusieurs labels, ou plusieurs fois sous le même label).

Opéras

Adelson e Salvini
  • Bradley Williams (Salvini), Alicia Nafé (Nelly), Fabio Previati (Lord Adelson), Aurio Tomicich (Bonifacio), coro e orchestra dell'E. A. R. Teatro Bellini, Andrea Licata, (dir.), enregistré au Teatro Bellini de Catane du 23 qu' - réed. Nuova Era Internazionale, 2009 (EAN 4011222327345)
Il pirata
La straniera
Zaira
I Capuleti e i Montecchi
  • Fiorenza Cossotto (Romeo), Antonietta Pastori (it) (Giulietta), Renato Gavarini (Tebaldo), Vittorio Tatozzi (Capellio), Ivo Vinco (Fra Lorenzo), coro e orchestra sinfonica della RAI di Roma, Lorin Maazel (dir.), enregistré en public à Rome le - réed. Cantus Classics, 2008 (EAN 4032250110235)
  • Fiorenza Cossotto (Romeo), Antonietta Pastori (it) (Giulietta), Renato Gavarini (Tebaldo), Vittorio Tatozzi (Capellio), Ivo Vinco (Fra Lorenzo), coro e orchestra sinfonica della RAI di Roma, Lorin Maazel (dir.), enregistré en public à Rome le - réed. Myto, 2008 (EAN 8014399501668)
  • Laurel Hurley (Romeo), Giulietta Simionato (Giulietta), Richard Cassilly (Tebaldo),Ezio Flagello (Capello), David Rae Smith (Fra Lorenzo), chorus and orchestra of the American Opera Society, Arnold Gamson (dir.), enregistré à New York le (EAN 4032250125031) - réed. Cantus Classics, 2009
La Sonnambula
Norma
Beatrice di Tenda
I puritani

Autres œuvres du répertoire

  • Due messe « Catanesi » 1818 (Messa in sol maggiore, Messa in re maggiore) : Cinzia Forte, Paoletta Marrocu (sopranos), Stefano Ferrari (ténor), Lorenzo Regazzo (basse), coro e orchestra Accademia i Filarmonici, Maurizio Ciampi (dir.), enregistré à Pompei en - Sony (ISBN 978-3-86735-033-4)
  • 8 symphonies : orchestra del Teatro Massimo di Palermo, Diego Dini-Ciacci (dir.), enregistré en public - Sony, 2009 (EAN 0886974797326)

Notes et références

Voir aussi

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