[1] ou 1187: fondation de St. Lawrence's Hospital par Hugues, deuxième du nom, abbé de Saint-Augustin de Cantorbéry, «pour le soulagement des moines lépreux ou de pauvres parents de moines de cette abbaye[2]».
«L'hôpital des pauvres, qui est l'ancêtre de l'hôpital actuel de Fécamp», en Normandie, est mentionné pour la première fois hors les murs de la forteresse[3].
Un hôpital Saint-Nicolas est attesté hors les murs de la ville de Bayonne au Pays basque, près de la porte d'Espagne[4].
(en) «Canterbury», dans William Dugdale, John Caley (éd.) et al., Monasticon Anglicanum: A History of the Abbies and Other Monasteries, Hospitals, Frieries […] in England and Wales [etc.], vol.2, 2epart., Londres, Joseph Harding, (1reéd. 1655-1673), 1156p. (lire en ligne), p.763.
Katrin Brockhaus, «Les Institutions hospitalières à Fécamp au Moyen Âge: Origines et organisation spatiale», dans Yannick Marec (dir.), Accueillir ou soigner?: L'Hôpital et ses alternatives du Moyen Âge à nos jours, Mont-Saint-Aignan, Publications des universités de Rouen et du Havre, coll.«Histoire et patrimoines», , 453p. (ISBN978-2-87775-423-1, lire en ligne), p.28.
Pierre L. Thillaud, Les Maladies et la Médecine en Pays Basque Nord à la fin de l'Ancien Régime (1690-1789), Genève et Paris, Droz et Champion, , 232p. (ISBN978-2-600-03394-7, lire en ligne), chap.4: «L'Infrastructure sanitaire», p.58.
Ernest Wickersheimer et Guy Beaujouan (éd.), Dictionnaire biographique des médecins en France au Moyen Âge, vol.1, Genève, Droz, coll.«Hautes études médiévales et modernes» (no34/1), (1reéd. 1936) (ISBN978-2-600-04664-0, lire en ligne), «Humbert», p.309, «Jean Druda», p.393, «Jean», p.344.