Selon Pierre de Nogent, prieur de Saint-Pry, qui écrit en 1317, deux forgerons fondent à Béthune, en Artois, la confrérie des Charitables de Saint-Éloi, vouée au service des funérailles et au secours des frères malades ou dans le besoin[1].
Alphonse II, roi d'Aragon, fonde l'hôpital du Saint-Rédempteur à Teruel, pour le rachat des captifs, et il le confie aux frères de Montjoie[2].
Fl. Jean, médecin, dont l'anniversaire sera célébré à l'abbaye Saint-Remi de Reims[11].
Mort d'Oussama Ibn Mounqidh (né vers 1095), historien et voyageur syrien, auteur du Kitâb al-I`tibâr, récit autobiographique qui donne de précieuses informations sur les médecines franque et arabe du temps[12].
«La Charité de Béthune: Du mythe à aujourd'hui: Exemple d'une confrérie multiséculaire», Archives du Pas-de-Calais, [lire en ligne(page consultée le 4 mai 2020)].
Frans Ciappara, «La Chrétienté et l'Islam au XVIIIesiècle: Une frontière encore floue», dans François Moureau (dir.), Captifs en Méditerranée (XVIe – XVIIIesiècles): Histoires, récits et légendes, Paris, Presses universitaires de Paris-Sorbonne, coll.«Imago mundi» (no15), , 279p. (ISBN978-2-84050-583-9, lire en ligne), p.30.
François Comte, «Topographie hospitalière et médicale à Angers (XIe-XVIIIesiècle)», dans Jacques-Guy Petit (dir.) et Jean-Paul Saint-André (dir.), Médecine et hôpitaux en Anjou: Du Moyen Âge à nos jours, Rennes, Presses universitaires de Rennes, coll.«Histoire», , 336p. (ISBN978-2-7535-0828-6, lire en ligne), «Tableau 1» (lire).
Nicolas-Michel Troche, «Notice sur l'ancien hôpital de Sainte-Catherine, primitivement de Sainte-Opportune, rue Saint-Denis, no72, à Paris», Revue archéologique, vol.19, no2, , p.432-439 (lire en ligne).
(en) Elizabeth M. Hallam, Aspects of the Monastic Patronage of the English and French Royal Houses (c.1130-1270), vol.1 (thèse pour l'obtention du grade de docteur en histoire), Université de Londres, (lire en ligne), p.122.
Jérôme Lamy, «[compte rendu, référence: John Waller, Les Danseurs fous de Strasbourg: Une épidémie de transe collective en 1518, Strasbourg, La Nuée bleue, , 219p.]», Cahiers d'histoire, no134 «L'État, objet d'histoire», , §2 [en ligne] (lire en ligne).
Anne Walpurger, «Une source: Le Kitab al-I’tibâr d'Ousâma Ibn Munqidh», Les Clés du Moyen-Orient, 8 septembre 2014 [lire en ligne(page consultée le 23 novembre 2018)].