Firmin Baes est le fils du peintre décorateur Henri Baes (1850-1920), professeur à l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles, et d'Héloïse Boly. Il avait deux sœurs, Alice et Irma. Cette dernière épousa le peintre Frans van Holder (1881-1919).
Il épouse à Saint-Gilles[1] en 1902 Marie Jeanne Nélis dont il aura trois enfants:
* Suzanne Baes, née en 1903 qui épousera Raymond Léon Delfosse, dont descendance,
* Marguerite Baes, né en 1904 et qui est morte en 1906,
* Georgette Baes, née en 1906, morte en 1930, qui épousa en 1924 à Bruxelles Georges Moens de Fernig (1899 - 1978).
Il est élève de Léon Frédéric à l'Académie royale des beaux-arts de Bruxelles. Il peint des scènes de genre, fut aussi un talentueux portraitiste et utilise principalement le pastel. Alex Salkin écrit: «on est souvent confondu par son habileté dans la composition et par la mise en page» et Eugène De Seyn: «Firmin Baes est un virtuose du pastel, abusant parfois de cette virtuosité».
Saint-Gilles, acte de mariage n° 142 du 17 avril 1902. Contrat de mariage passé pardevant le notaire Lallemand à Saint-Gilles le 19 mars 1902. Firmin Pierre Joseph Baes, né le 19 avril 1874 à Saint-Josse-ten-Noode, Brabant, résidant à Saint-Gilles, chaussée de Charleroi n° 123, artiste peintre, est le fils d'Henri Baes, résidant à Saint-Gilles, peintre décorateur, et d'Eloïse Dieudonnée Marie Boly, résidant à Saint-Gilles, sans profession. Marie Jeanne Antoinette Nélis, né le 13 août 1875 à Pepinster, province de Liège, résidant à Saint-Gilles, chaussée Charleroi n° 9, sans profession, est la fille d'Antoine Joseph Nélis, résidant à Saint-Gilles, négociant en vins, et de Marie Catherine Doudlet, résidant à Saint-Gilles, sans profession. Les témoins étaient Emile Boly, cousin du marié, 34 ans, résidant à Bruxelles, décorateur, Martin Nélis, oncle de la mariée, 47 ans, résidant à Dolhain, industriel, Pierre Baes, oncle du marié, 63 ans, résidant à Bruxelles, doreur sur bois, Auguste Doudlet, oncle de la mariée, 48 ans, résidant à Bruxelles, hôtelier.