Mind Game
film sorti en 2004 / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Mind Game?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
Mind Game (マインド・ゲーム, Maindo gēmu?) est un manga écrit et dessiné par Robin Nishi, publié entre 1995 et 1996 dans le magazine Comic Are!, avant d'être adapté en film d'animation expérimental en 2004 par Masaaki Yuasa. En France, le manga est publié par les éditions IMHO en 2014[2] et le film est édité en DVD par Potemkine en 2009[3].
Pour les articles homonymes, voir Mind Games.
Cet article est une ébauche concernant un manga et un anime.
Vous pouvez partager vos connaissances en l’améliorant (comment ?) selon les recommandations des projets correspondants.
Titre original |
マインド・ゲーム Maindo Gēmu |
---|---|
Réalisation | Masaaki Yuasa |
Scénario | Masaaki Yuasa |
Musique | Seiichi Yamamoto |
Acteurs principaux |
Kōji Imada |
Sociétés de production | Studio 4°C |
Pays de production | Japon |
Genre | animation, surréalisme, expérimental |
Durée | 103 minutes[1] |
Sortie | 2004 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Le film marque la première réalisation de Masaaki Yuasa, produit et animé par le Studio 4°C, avec la collaboration des chefs-animateurs Yūichirō Sueyoshi et Masahiko Kubo, ainsi que du directeur artistique Tōru Hishiyama. Il a pour particularité d'être l'un des rares longs-métrages (à l'exception des films à sketches) à utiliser des styles visuels disparates au sein d'une histoire continue. Ainsi, à sa sortie, Yuasa explique au Japan Times : « Plutôt que de raconter [une histoire] sérieusement et linéairement, j'ai opté pour un look un peu sauvage et inégal. Je pense que les fans d'animation japonaise d'aujourd'hui ne demandent pas forcément quelque chose de si soigné. Vous pouvez les bombarder de styles différents et ils peuvent toujours apprécier[4],[5] ».
Le film acquiert un statut de film culte, reçoit de nombreuses récompenses à travers le monde et est salué par plusieurs réalisateurs dont Satoshi Kon[6] et Bill Plympton[7].