La commune est composée des hameaux de Wisterzée, Sart-Messire-Guillaume, La Roche, Mérivaux, Suzeril, Faux, Limauges, Beaurieux, Franquenies, Le Chenoy, Tangissart, Le Ruchaux.
Elle est arrosée par la Dyle, la Thyle et l'Orne.
Au , la population totale de cette commune est de 10 854 habitants[2].
sur les hauts sablonneux de «la Quenique», subsistent les traces (pour les plus anciennes), de tumulus funéraires des tribus dites «du Michelsberg» (3 000 ans av. J.-C.)
L'Arbre de la justice
le lieu-dit «l'Arbre de la Justice», situé à 160 m d'altitude au sud-est du territoire, rappelle que le sire Antoine de Terremonde avait droit de haute justice
Saint Étienne
vers 1200, des moines, envoyés par Bernard de Clairvaux en Brabant, viennent s'établir dans la vallée de la Thyle. À Court, la première église est consacrée à saint Étienne.
La roue, représentation de l'industrie
de nombreuses chutes d'eau ont été à la base d'activités métallurgiques, dont le point d'orgue fut l'usine Henricot. (gravure de la forge).
La commune possède des armoiries qui lui ont été octroyées le 3 mars 1914.
Blasonnement:Ecartelé: au 1 d'argent à un mont de sinople, mouvant de la pointe, au 2 d'or au saint Etienne habillé d'azur, la figure et les rnains de carnation, issant de la pointe, au 3 d'argent à un arbre de sinople, terrassé du même, au 4 de sable à une roue d'engrenage d'or.
Ce hall servait à l'entreposage des déchets métalliques.
Le bâtiment rénové est devenu un hall polyvalent pour des activités de type événementiel ou culturel et a été inauguré officiellement en décembre 2001.
15 mai 1940 - Le village est attaqué par les troupes allemandes et défendu par des soldats français (1er RI et 43e RI principalement). Échec des Allemands qui se replient. Il y a 43 officiers, sous-officiers et soldats français tués dans cette bataille. Le village est évacué le lendemain par les troupes françaises.
la libération du village en 1944
Manifeste pour une fusion des communes de Court-Saint-Étienne et de Céroux Mousty (1975)
Les tremblements de terre de 1992 (épicentre Verviers), du 12 juillet 2008 à 19h47 qui se situait à 2,1 sur l'échelle de Richter et du 13 juillet 2008 à 3,2 (épicentre juste derrière Clabots)
Inondations du Centre (crues de l'Orne, de la Thyle et de la Dyle) par suite de pluies très abondantes dans la nuit du 3 au 4 août 2008 et le 14 juillet 2021.
natifs ou résidents d'un moment par ordre chronologique de naissance
Jacques-François Dusausoy (1756-1824) curé durant 30 ans[7], protecteur des trésors de l'église durant la révolution française
Les Médaillés de Sainte-Hélène: au moins dix natifs de Court-Saint-Étienne sont connus[8] pour avoir combattu dans les troupes napoléoniennes et avoir survécu jusqu’en 1857, année où est attribuée la médaille de Sainte-Hélène.
Joachim Libouton (1801-1873): premier bourgmestre et bienfaiteur du Home pour personnes de grand âge.
La fusion des communes votée en 1975 a été effective au 1er janvier 1977. Les résultats électoraux antérieurs des communes non-fusionnées ne sont donc pas directement comparables.
Répartition des sièges
Davantage d’informations Année, Parti socialiste ...
Jean Germain, Guide des gentilés: les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p.22.
Source: UCL-GEDAP Évolution historique de la population à long terme: Court-Saint-Étienne 1831-2011 comparé au Royaume 1831-2011 consulté sur le site Citysecommune.gedap.be le 13 janvier 2013 (Département de démographie UCL et IWEPS).
Autres valeurs pour les années 1816, 1840, 1890, 1910 disponibles dans: Eugène De Seyn, Dictionnaire historique et géographique des communes de Belgique, 1924. p. 262
Ces citoyens sont: Jean-François Alexandre °1783; Jean-Joseph Blanche °1793; Jean-Louis Bonnevie °1790; Paul Englebert °1782; Henri-Joseph Falcq °1792; Jean-Antoine Gerard °1791; Antoine Matton °1787; Jean-Joseph Oleffe °1793; Baudouin Sinecha(r)l(es) °1801; Norbert Sinecha(r)l(es) °1790. Source: stehelene.org consulté le 10 janvier 2013. Albert Goblet, médaillé de Ste H. n'est pas natif de Court-St-Étienne!
Accueille en sa résidence du Chenoy une brochette d'artistes et d'intellectuels ainsi que les professeurs et étudiants de l'ULB lors de la fermeture de l'Université durant la 2eguerre. Source: Liberaal Archief en ligne
Yves Hanin, Mutations spatiales et recompositions territoriales Les processus territoriaux dans le cas de Court-Saint-Étienne, Presses univ. de Louvain, 2004, 287p.
Au terme d'un accord interne au Parti socialiste garanti par le sénateur A. Borin, J. Cosse devait démissionner en 93 pour laisser le fauteuil de bourgmestre à son colistier Michel Duboisdenghien. Cet accord ne fut pas respecté. Source: 1/ Catherine Moreau, Rentrée chaude en perspective à Court-Saint-Étienne un autre prof sur le banc mayoral? Le Soir 9 juin 1993 p. 19. 2/ C. Moreau Préaccord entre socialistes et libéraux stéphanois, un paysage politique brumeux Le Soir 16 décembre 1993 p.19 (disponible en ligne)
À la suite des élections d'octobre 2000. Le rejet par le parti libéral mené par Goblet d'un accord qu'il venait de conclure avec les listes IC et Ecolo a déclenché des retournements divers d'alliance et une succession de présentations de Bourgmestre. Finalement le 17 novembre 2001, Janine Franck retrouve sa couleur libérale et soutient depuis la liste C2000 la présentation de M. Goblet comme bourgmestre en échange d'un mandat d'échevin. Sources: 1/ Catherine Moreau , Court-Saint-Étienne 4eprésentation Rolande Vanden Broeck, future bourgmestre? LeSoir 4 juillet 2001, p. 23. 2/Jean Vandendries, Janine Franck rentre au bercail avec une voix «salvatrice» Le Soir 16 nov 2001. p. 21. (disponible en ligne)
par ordre alphabétique
N. Cloquet Le Cimetière Celtique de Court-Saint-Etienne. 32 pages (planches), Nivelles, Ed. Guignardé, 1881
Eugène De Seyn, Dictionnaire historique et géographique des communes de Belgique, 1924
Michel Duboisdensghien, Derrière chez moi 1982
Michel Duboisdensghien. Dans les rues du village. Histoire de Court. Histoire tout court. Ottignies-Louvain-la-Neuve, Quorum, -1992.
Ghislain Geron, Catherine Dhem, Geneviève Rulens (et alii autores) Patrimoine architectural et territoires de Wallonie. Court-Saint-Étienne, Mont-Saint-Guibert et Ottignies Louvain-la-Neuve. (Mardaga et Service Public de Wallonie) 2010, 223 pages.
Eugène Goblet d'Alviella, Petit guide pratique de Court-Saint-Étienne et de ses environs, Bruxelles, Vromant, 1891, in-16°, 36p
Alphonse Goovaerts, Une ancienne description de Court-Saint-Etienne annotée. Bulletin de la Commission Royale d'histoire, 1896 pp.253–266.
Yves Hanin, Mutations spatiales et recompositions territoriales: Les processus territoriaux dans le cas de Court-Saint-Étienne (Belgique), Louvain, Presses universitaires de Louvain, , 282p. (ISBN978-2-930344-72-0, lire en ligne)
M-E Marien. Trouvailles du champ d'urnes et des tombelles hallstattiennes de Court-Saint-Etienne. Bruxelles, 1958, 269 pp., 56 fig. (Musées royaux d'art et d'histoire, Monographies d'Archéologie nationale, 1)
Paul Pilloy, Sancti Curti Stephani. (Tapuscrit sans lieu ni date).
Service de Recherches Historiques et Folkloriques du Brabant. Chapelles du doyenné de Court-Saint-Etienne. Le Folklore Brabançon. Tome XXI n°121 124. 1949.