«Son emploi de la technique du monotype [...] est unique dans le monde de la BD.»[1].
Tom Tirabosco est à l'initiative avec la Swiss Comics Artists Association, dont il est membre, de la création de l'École Supérieure de bande dessinée et d'illustration de Genève[4],[5]. Il y est enseignant[1].
Il travaille régulièrement avec la Tribune de Genève[6]. Il y a dessiné, dans le supplément week-end du jeudi, sur la dernière page, une case avec Le Canard entre et ). Il a aussi réalisé de nombreux dessins pour le magazine Via, publication des CFF qui sort 10 fois l'an[réf.nécessaire]. Il fournit également des dessins publiés dans La Revue durable[7] ainsi que dans le quotidien Le Temps[6]. Il réalise également des affiches culturelles et politiques[6].
Engagement environnemental
Tom Tirabosco anime des camps du WWF à la fin des années 1980[3].
Dans Femme sauvage, il met en scène une héroïne en colère qui fuit un monde en déroute pour rejoindre les «rebelles» d'Extinction Rebellion. Dans une interview au Temps, il se réfère pour expliquer son œuvre à l'effondrement de la biodiversité mis en relief par le récent rapport de l'IPBES et à l'effondrement des équilibres politiques et sociaux[8]. Il soutient et s’est rendu à la ZAD du Mormont en 2021[7].
Tom Tirabosco participe avec d'autres créateurs suisses à créer une charte du climat pour les artistes, afin qu'ils s'engagent et intègrent l'impact écologique dans leurs œuvres[8].