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Élections régionales de 1992 en Île-de-France
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Les élections régionales en Île-de-France se déroulent le pour élire les 209 conseillers régionaux siégant au conseil régional d'Île-de-France[1]. La liste UPF (RPR et UDF) d'Union de la droite arrive en tête mais sa tête de liste, Alain Juppé (également tête de liste à Paris) renonce à briguer la présidence du conseil régional. Il soutient Michel Giraud (RPR) qui avait déjà présidé le conseil de 1976 à 1988 et qui est élu[2]. L'UPF échoue à obtenir une majorité absolue au conseil du fait, notamment, du très haut score atteint par le Front national et, dans une moindre mesure, des listes écologistes (Les Verts et Génération écologie). Le Parti socialiste est sévèrement battu et dépassé par le total des voix écologistes dans plusieurs villes de forte tradition socialiste (Noisy-le-Grand, Les Pavillons-sous-Bois, Cergy, Savigny-le-Temple ou Torcy par exemple)[3].
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Mode de scrutin
Les conseillers régionaux sont élus au scrutin de liste à la représentation proportionnelle suivant la règle de la plus forte moyenne, en un seul tour.
Chaque département forme une circonscription : les sièges sont répartis entre les listes ayant obtenu plus de 5 % des suffrages exprimés.
Ils sont attribués selon l'ordre de présentation sur la liste.
Contexte régional
Élections régionales de 1986
Conseil régional sortant
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Candidats
Listes présentées et validées en Ile-de-France
Têtes de liste départementale
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Listes et candidats
Sondages
Conseil régional élu
Élection du président du conseil régional
Le , Michel Giraud (RPR) est élu président du conseil régional à la majorité relative au troisième tour de scrutin par 86 voix sur 198[4].
Répartition des sièges
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Résultats détaillés
Résumé
Contexte
Région entière
Départementaux
Paris
La liste Union pour la France, menée dans le département par Alain Juppé, enregistre un bon score (45,21 %) et arrive largement en tête dans tous les arrondissements, en particulier ceux de l'Ouest parisien (avec notamment un score de 65,13 % dans le XVIe arrondissement). Cependant la liste unique de l'UPF obtient un score plus faible que celui obtenu par les listes parisiennes du RPR et de l'UDF aux élections précédentes[note 3]. La liste PS–MRG menée par Pierre Joxe, alors ministre de la Défense du Gouvernement Cresson est largement distancée et n'atteint la barre des 20 % des voix que dans 3 arrondissements (IIIe, XIe et XIIIe) tout en étant devancé par la liste du Front national dans 4 arrondissements (VIIe, VIIIe, XVIe et XVIIe)[1].
- Score par arrondissement
- Score de la liste UPF
- Score de la liste PS–MRG
- Score de la liste FN
Seine-et-Marne
Yvelines
Essonne
Hauts-de-Seine
Seine-Saint-Denis
Val-de-Marne
Val-d'Oise
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Notes et références
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