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Force terrestre (Belgique)
force terrestre de Belgique De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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La Force terrestre (en néerlandais Landmacht) est l'une des cinq forces constituant les Forces armées belges[1]. Avant de retrouver son nom d'origine, le , elle s'intitulait Composante terre (en néerlandais Landcomponent)[2].
Son commandant en chef est le général-major Jean-Pol Baugnée depuis le 7 juin 2023.
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Histoire de la Force terrestre
Résumé
Contexte
De l'indépendance à la Première Guerre mondiale
Première Guerre mondiale
Entre-deux-guerres
Seconde Guerre mondiale
Après 1945

Chronologie du commandement
Avant la réforme de l'armée belge survenue en 2002, le commandement de la Force terrestre était réparti entre le chef d'état-major de la Force terrestre (en néerlandais : stafchef van de Landmacht) et le chef du commandement opérationnel de la Force terrestre (en néerlandais : chef van het operationeel commando van de Landmacht). Depuis la réforme, le « patron » unique de l'armée de terre est appelé commandant de la composante terre (en néerlandais : commandant van de landcomponent).
Chefs d'état-major
- ??? – : lieutenant-général Roger Maes[3]
- – 31 décembre 2001 : lieutenant-général Guy Bastien, aide de camp du roi[4]
Chefs du commandement opérationnel
- ??? – : lieutenant-général Guy Bastien, aide de camp du roi[5]
- – : lieutenant-général Joseph Schoups[6]
- – : général-major, puis lieutenant-général Willy Hanset[7]
Commandants de la composante terre
- – : général-major Frédéric Vandingenen, aide de camp du roi[8]
- – : général-major, puis lieutenant-général Oger Pochet[9]
- – : général-major Eddy Testelmans[10]
- – : général-major, puis lieutenant-général Marc Compernol, aide de camp du roi[11]
- – : général-major Hubert De Vos[12]
- – : général-major Jean-Paul Deconinck, aide de camp du roi[13]
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Organisation jusqu'en 2018
Résumé
Contexte
La Composante terre[Quand ?] est composée jusqu'en juillet 2018 de deux brigades; une brigade medium (médiane) - qui devient le une Brigade Motorisée[14] - et une brigade légère. La brigade légère est une capacité parachutable composée, outre le Quartier général (QG) qui en assure le commandement, de trois bataillons, du Special Force Group et des deux centres de formation (Commando & Parachutiste), il est dissout le 3 juillet 2018 pour devenir régiment des opérations spéciales « Special Operations Regiment » (SOR)[15],[16]. La brigade medium est constituée d'un QG, et de quatre bataillons (deux néerlandophones et deux francophones)




- COMOPSLAND : état-major de la Composante Terre (Evere)
- Brigade Motorisée : état-major opérationnel de la brigade Bilingue (Bourg-Léopold)
- Brigade Légère : état-major opérationnel de la brigade Bilingue (Marche-en-Famenne)
Unités du Special Operations Regiment
- 2e bataillon de commandos (Flawinne)
- 3e Bataljon Parachutisten (Tielen)
- Centre d'entraînement de Parachutistes (Schaffen)
- Centre d'entraînement de Commandos (Marche-les-Dames)
- Special Force Group (Heverlee)
Unités de la Brigade Motorisée
Unité de reconnaissance
Unité d'information et de communication
Unité d'artillerie
- Bataljon Artillerie (Brasschaat & Lombardsijde)
Unités du génie
Groupes de système de communication et d'information (CIS)
- 4 Groupe CIS (Marche-en-Famenne)
- 6 Groupe CIS (Peutie) (transféré le 3 juillet 2018 au Special Operations Regiment
- 10 Groep CIS (Bourg-Léopold)
Unités logistiques
- 4 Bataillon Logistique (Marche-en-Famenne)
- 18 Bataljon Logistiek (Bourg-Léopold)
- 29 Bataljon Logistiek (Grobbendonk)
Police militaire
- Military Police Group (Evere)
Camps et centres d'entraînements
- Kamp Beverlo (Bourg-Léopold)
- Camp d'Elsenborn (Butgenbach)
- Camp de Lagland (Arlon)
- Camp de Marche (Marche-en-Famenne)
Autres unités
- SEDEE : Service d'Enlèvement et Destruction d'Engins Explosifs (Oud-Heverlee)
- Movement Control Group (Peutie)
Les Centres de Compétence terre (CC Land)
- Département Manœuvre (Arlon & Bourg-Léopold)
- Département Formation Cavalerie Blindée (Bourg-Léopold)
- Département Formation Artillerie (Brasschaat)
- Département Génie (Amay)
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Matériel
Résumé
Contexte
Armement
Pistolets
- FN Five-seveN : pistolet 5,7 mm
Pistolets-mitrailleurs
- FN P90 : pistolet-mitrailleur 5,7 mm (utilisé par les forces spéciales et les para-commandos, ainsi que la composante médicale)
Fusils d'assaut

- FN FNC : fusil d'assaut 5,56 mm
- FN SCAR L : fusil d'assaut 5,56 mm (remplacera à terme le FNC)
- FN SCAR H : fusil d'assaut lourd 7,62 mm
Mitrailleuses
- FN Minimi : mitrailleuse 5,56 mm / 7,62 mm
- FN Mag : mitrailleuse 7,62 mm
Fusils de précision
- FN Scar-H PR : fusil de précision semi-automatique 7,62 mm
- Accuracy International AX 338 : fusil de précision en .338
- Accuracy International Arctic Warfare : fusil de précision 7,62 mm remplacé progressivement par SCAR HPR
- Barrett M107A2 : fusil de précision anti-matériel 12,7 mm
Mitrailleuse lourde
- 90 mm
Missiles
Armes Anti chars
Artillerie
Véhicules actuels
Véhicules blindés
Special operation regiment
Drones de reconnaissance
Véhicules du programme CaMo
Le partenariat de la capacité motorisé, aussi appelé CaMo, est un partenariat stratégique binational entre la France et la Belgique. Cet accord intergouvernemental est entré en vigueur le 21 juin 2019 avec l'objectif de développer l’interopérabilité de la mobilité terrestre des deux pays et renforcer l’Europe de la Défense.
CaMo inclut la planification d’entraînements conjoints entre les deux armées, ainsi que le rééquipement des unités de manœuvre belges par l’acquisition de blindés (Griffon, Jaguar et canons Caesar) ainsi que du système d’informations du combat Scorpion.
Anciens véhicules
Véhicules à roue
- Minerva Land-Rover (hors service 1986)
- Volkswagen Iltis (2 673 livrés, en service de 1984 à 2018)
- FN AS 24
- camion MAN 630 Koffer 4X4 CC
- Unimog
- camion tracteur semi-remorque Scania
Véhicules de soutien
- FV-103 Spartan (83)
- FV-107 Scimitar (119)
- FV-101 Scorpion
- FV-104 Samaritan
- FV-102 Striker - véhicule anti-chars
- FV-105 Sultan - véhicule de commandement
- FV-106 Samson - véhicule de dépannage
- AIFV
Chars
- Flakpanzer Gepard
- MGM-52 Lance
- Büffel (Bergepanzer 3 ou BPz3) : char de dépannage
- Iguane/Leguan (Panzerschnellbrücke 2) : char lanceur de pont
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Organisation selon la loi du 16 août 1873
Résumé
Contexte
Infanterie
- 14 régiments d'infanterie de ligne (3 bataillons actifs, 1 non actif et 1 compagnie de dépôt dans chaque régiment)
- 3 régiments de chasseurs à pied (idem)
- 1 régiment de grenadiers (idem)
- 1 régiment de carabiniers (4 bataillons actifs, 2 non actifs et 1 compagnie de dépôt)
- 2 compagnies sédentaires
- 1 corps de discipline
- 1 école d'enfants de troupe
N. B. : un bataillon (864 hommes) est constitué de quatre compagnies de 216 hommes
Cavalerie
- 4 régiments de lanciers (4 escadrons actifs et 1 de renfort dans chaque régiment)
- 2 régiments de guides (idem)
- 2 régiments de chasseurs à cheval (idem)
N. B. : un escadron compte environ 130 chevaux
Artillerie
- 4 régiments d'artillerie de campagne (10 batteries dans chaque régiment)
- 3 régiments d'artillerie de forteresse ou artillerie de siège (16 batteries, 1 batterie de réserve et 1 batterie de dépôt dans chaque régiment)
- 1 compagnie de pontonniers
- 1 compagnie d'artificiers
- 1 compagnie d'armuriers
- 1 compagnie d'ouvriers d'artillerie
N. B. : une batterie compte 6 pièces d'artillerie
Génie
- 1 régiment du génie (3 bataillons actifs et 1 bataillon de dépôt)
- 1 compagnie de chemin de fer
- 1 compagnie de télégraphes de campagne
- 1 compagnie de télégraphes de place
- 1 compagnie de pontonniers de place
- 1 compagnie d'ouvriers
Train
- 7 compagnies de train
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Notes et références
Lien externe
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