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Dead Man Talking

film franco-belgo-luxembourgeois de Patrick Ridremont, sorti en 2012 De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Dead Man Talking est un film belge[1], luxembourgeois et français, réalisé par Patrick Ridremont et sorti en 2012.

Faits en bref Réalisation, Scénario ...

Patrick Ridremont est également coscénariste et acteur principal du film[2]. À l'écran, il côtoie François Berléand, Virginie Efira, Christian Marin (dont c´est le dernier film), Jean-Luc Couchard et Olivier Leborgne.

Le titre fait référence au film Dead Man Walking (1995), qui traite également de la peine de mort.

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Synopsis

Dans le couloir de la mort d'une prison désaffectée, William Lamers, le dernier détenu, attend l'issue de sa condamnation au poison pour homicides. La loi lui accorde une dernière déclaration mais ne précise aucune limite de durée. Lamers va alors, tel Shéhérazade dans Les Mille et Une Nuits[3], saisir ce vide juridique en entamant un long monologue afin de retarder son exécution. Alors qu'une campagne électorale est lancée, le sort de William Lamers devient un enjeu politique et médiatique.

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Fiche technique

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Distribution

Thumb
L'actrice principale Virginie Efira à la présentation du film à Namur, en .
  • François Berléand : Karl Raven, le directeur de la prison
  • Virginie Efira : Élisabeth Lacroix, la secrétaire du gouverneur
  • Patrick Ridremont : William Lamers, le condamné à mort
  • Christian Marin : l’aumônier Georges
  • Jean-Luc Couchard : Stieg Brodeck, le gouverneur
  • Olivier Leborgne : Robert Gayland, le porte-parole du gouverneur Brodeck
  • Denis Mpunga : Julius Lopez, le gardien
  • Pauline Burlet : Sarah Raven, la fille du directeur
  • Leila Schaus : Florence
  • Jean-Michel Larre : l’exécuteur
  • Daniel Dietenbeck : le gardien silencieux
  • Django Schrevens : le grand frère de William Lamers (flash back)
  • Alain Holtgen : le journaliste

Genèse du film

Patrick Ridremont dit avoir voulu écrire un film sur « Christ moderne » alors qu'il venait d'avoir lui-même 33 ans, soit « l'âge du Christ »[7]. Le réalisateur a alors créé un personnage en détournant les caractéristiques du Christ : « un condamné à mort sur une croix qui se met à raconter des histoires, et plus il en raconte, plus il a de disciples »[7]. Pour Ridremont, il était « impossible de raconter une histoire normale, se déroulant dans le commun des mortels »[7]. Pour écrire le scénario, il s'inspire aussi du personnage de Shéhérazade et du film Monsieur Smith au Sénat[7].

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Accueil

Box-office

  • Drapeau de la Belgique Belgique : 10 891 entrées[8] sur 10 écrans en 7 semaines (68 447 €[9] ou 87 237 $[10]) (fin).
  • Drapeau de la France France : 8 860 entrées[11] (fin).
  • Monde Monde : 19 751 entrées (fin).

Distinctions

Récompenses

Nominations

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Notes et références

Voir aussi

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