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Emmanuel Temple
personnalité politique française De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Emmanuel Temple, dit Temple-Boyer, né le à Montpellier (Hérault) et mort le dans sa ville natale, est un homme politique français.
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Biographie
Aviateur pendant la Première Guerre mondiale, il exerce la profession d’avocat au barreau de Montpellier. Radical, il est élu député de l’Aveyron à la chambre des députés en 1936, il siège au groupe de la fédération républicaine.
Le , il vote les pleins pouvoirs au maréchal Pétain[1].
Pendant la guerre, il appartient au Conseil national, organe consultatif du régime de Vichy. Il exerce les fonctions de préfet d’Alger et de gouverneur général de l’Algérie. Il participe à la campagne d'Italie et au débarquement de Provence. À la Libération, il est réélu député en 1946 mais cette fois-ci au titre des Républicains indépendants. Il préside le groupe parlementaire de ce parti à l'Assemblée nationale.
Il est réélu député CNI en 1956 mais échoue lors d’élections ultérieures.
Il est le père de Frédéric Jacques Temple.
Au début des années 1930, il est président du club professionnel de football de Montpellier[réf. souhaitée].
Il est inhumé au cimetière Saint-Lazare de Montpellier.
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Fonctions gouvernementales
- Ministre des Anciens Combattants et des Victimes de guerre du gouvernement René Pleven (2) (du au )
- Ministre des Anciens Combattants et des Victimes de guerre du gouvernement Edgar Faure (1) (du au )
- Ministre des Anciens Combattants et des Victimes de guerre du gouvernement Antoine Pinay (du au )
- Ministre des Anciens Combattants et des Victimes de guerre du gouvernement Pierre Mendès France (du au )
- Ministre de la Défense nationale et des Forces armées (par Intérim) du gouvernement Pierre Mendès France (du au )
- Ministre de la Défense nationale et des Forces armées du gouvernement Pierre Mendès France (du au )
- Ministre de la Justice du gouvernement Pierre Mendès France (du au )
Comme ministre de la Défense, il est appelé, le , à mettre six bataillons à disposition pour mater l’insurrection en Algérie et propose en vain au conseil des ministres qui se réunit le , « d’entreprendre la construction de deux sous-marins à moteur nucléaire »[2].
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Décoration
Notes et références
Voir aussi
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