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En effeuillant la marguerite
film français de Marc Allégret, sorti en 1956 De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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En effeuillant la marguerite est un film français réalisé par Marc Allégret en 1956
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Synopsis
Agnès, la fille du général Dumont, a écrit et fait publier sous ses seules initiales un livre intitulé "En effeuillant la marguerite". Cette satire de sa ville de province y fait scandale et lorsque son père apprend qu'elle en est l'auteur, il décide de l'envoyer en pension. Arrivée à la gare elle s'enfuit en sautant dans un train pour Paris où elle fait la connaissance d'un sémillant journaliste, Daniel. Croyant loger chez son frère, elle s'installe au Musée Balzac et pour rembourser une édition unique qu'elle a vendue, elle s'inscrit dans un concours de strip-tease. Elle parait masquée devant le public, ce qui lui permet de berner le crédule Daniel qui souhaite l'épouser rapidement. Le tout se dénoue à Vichy, dans la bonne humeur et avec l'approbation du général Dumont.
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Fiche technique
- Titre : En effeuillant la marguerite
- Réalisation : Marc Allégret
- Assistants réalisateurs : Paul Feyder, Pierre Boursans
- Scénario : Marc Allégret, Roger Vadim
- Adaptation et Dialogues : Marc Allégret, Roger Vadim
- Photographie : Louis Page
- Opérateur : Raymond Picon-Borel
- Son : Jacques Carrère
- Décors : Alexandre Trauner, Auguste Capelier
- Costumes : Robes de Virginie, Lingerie fournie par Marguerite Sacrez
- Montage : Suzanne de Troeye, assistée de Roger Cacheux
- Script-girl : Suzanne Durrenberger
- Ensemblier : Roger Volper
- Maquillage : Hagop Arakélian
- Photographe de plateau : Walter Limot
- Régisseur : Jean Pieuchot
- Musique : Paul Misraki, chef d'orchestre : Marc Lanjean (éditions Impéria)
- Production : Raymond Eger, Ray Ventura
- Directeur de production : Claude Ganz
- Sociétés de production : Films EGE, Hoche Productions
- Société de distribution : Les Films Corona
- Pays de production :
France
- Affichiste : Clément Hurel
- Tournage du 13 février au dans les studios Photosonor à Courbevoie et les studios Eclair à Épinay-sur-Seine
- Format : Noir et blanc — 35 mm — 1,37:1 — son Mono (Western Electric)
- Genre : Comédie
- Durée : 100 min
- Tirage : Laboratoire Franay L.T.C Saint-Cloud
- Trucage : LAX
- Date de sortie :
- France :
- Visa d'exploitation : 17670
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Distribution
- Brigitte Bardot : Agnès Dumont, la fille du général
- Daniel Gélin : Daniel Roy, le journaliste de France Actualité
- Robert Hirsch : Roger Vital, le photographe de presse
- Darry Cowl : Hubert Dumont, le frère d'Agnès
- Jacques Dumesnil : le général Dumont
- Madeleine Barbulée : Mme Dumont, la femme du général
- Luciana Paluzzi : Sofia, l'amie italienne
- Nadine Tallier : Magali, le premier flirt de Daniel
- Jacques Jouanneau : Édouard, un ami de Daniel
- Henri Garcin : un autre ami de Daniel
- Jean-Loup Philippe : un autre ami de Daniel
- Anne Collette : "Croquemitaine", la secrétaire
- Mac Ronay : le contrôleur du train
- Charles Bouillaud : le bistrot
- Mischa Auer : Alexis, le chauffeur de taxi
- Georges Chamarat : Bacchus, le facteur
- Mauricet : M. Valentin, l'organisateur du concours de strip-tease
- Yves-Marie Maurin : Toto, le petit frère d'Agnès
- Patrick Dewaere : un camarade de jeu de Toto (attaché sur une chaise)
- Françoise Arnoul : elle-même
- Gabrielle Fontan : la professeur de musique
- Charles Bayard : un spectateur à Vichy
- Christian Brocard : un livreur de journaux
- Jean Rupert : M. Dubreuil, le directeur du casino
- Pierre Leproux : le régisseur du casino
- Marc Eyraud : un photographe au casino
- Andres : un journaliste à l'assemblée nationale
- Roger Vincent : le maire sur le quai de la gare
- Jean Degrave : l'huissier de l'assemblée nationale
- Jacques Fervil : le régisseur au premier strip-tease (sous réserve)
- Michel Constantin : un spectateur du strip-tease (sous réserve)
- Catherine Candida : une strip-teaseuse
- Madeleine Ganne
- Monique Vita
- Jacqueline Warin
- Lucien Desagneaux
- Marcel Loche
Autour du film
Résumé
Contexte
Le musée Balzac imaginé par Marc Allégret fait allusion à la Maison de Balzac située dans le 16e arrondissement de Paris[1]. Mais le réalisateur l'a imaginé 5 rue Fabra Paris 16e dans le film, alors que la rue Fabra n'existe pas à Paris. Cette adresse est écrite sur une enveloppe adressée au frère d’Agnès dans le musée, au début et dans la suite du film l'adresse d'Hubert, en fait le musée, sera dit situé au 3 rue Fabra. Dans le film Agnès se croyant chez son frère au musée, portera la robe de chambre de Balzac au grand dam de son frère qui faisait visiter le musée. En fait la robe de chambre avait été utilisée par Rodin pour une sculpture, trempée dans du plâtre, et ne pouvait pas être au musée [2]. D’ailleurs la robe n’aurait sans doute pas convenu à Brigitte Bardot plutôt mince et mesurant 1,68 m, alors que Balzac était de forte corpulence et ne mesurait qu’1,57 m. Mais paradoxalement la robe de chambre que porte Brigitte Bardot et censée avoir appartenu à Balzac, est certes trop ample pour elle, mais également beaucoup trop longue et forme une sorte de traîne, alors qu'elle n'aurait dû ne descendre que jusqu'aux chevilles. Celle de Balzac, une sorte de robe de moine déjà trop longue pour l'écrivain, traînait par terre. Dans le film une sculpture représente Balzac bien plus grand qu'en réalité, aujourd'hui on trouve deux Sculptures de Balzac de grande taille, l'une au boulevard Raspail, l'autre dans le jardin du musée Rodin, celles à la Maison de Balzac sont de petite taille.
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Références
Voir aussi
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