Top Qs
Chronologie
Chat
Contexte
Gouvernement Djerad I
De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Remove ads
Le gouvernement Djerad I est le gouvernement algérien en fonction du au .
Remove ads
Formation
Le gouvernement est formé à la suite de l'élection de Abdelmadjid Tebboune comme président de la République et à la nomination de Abdelaziz Djerad comme Premier ministre.
Le , le président Abdelmadjid Tebboune nomme Belaïd Mohand-Oussaïd ministre conseiller à la Communication et porte-parole officiel de la présidence de la République[1].
Le gouvernement entre en fonction le [2].
Remove ads
Composition
Résumé
Contexte
Le , le ministre conseiller à la communication et porte-parole officiel de la Présidence de la République, Belaïd Mohand-Oussaïd dévoile la liste des ministres de ce gouvernement[3],[4].
- Premier ministre : Abdelaziz Djerad
- Ministre de la Défense nationale : Abdelmadjid Tebboune
- Ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire : Kamel Beldjoud
- Ministre des Affaires étrangères : Sabri Boukadoum
- Ministre de la Justice, garde des Sceaux : Belkacem Zeghmati
- Ministre des Finances : Abderrahmane Raouya
- Ministre de l'Énergie : Mohamed Arkab
- Ministre des Moudjahidine et des Ayants droit : Tayeb Zitouni
- Ministre des Affaires religieuses et des Wakfs : Youcef Belmehdi
- Ministre de l'Éducation nationale : Mohamed Oujaout
- Ministre de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique : Chems Eddine Chitour
- Ministre de la Formation et de l’Enseignement professionnels : Hoyem Benfreha
- Ministre de la Culture : Malika Bendouda
- Ministre de la Poste et des Télécommunications : Brahim Boumzar
- Ministre de la Jeunesse et des Sports : Sid Ali Khaldi
- Ministre de la Solidarité nationale, de la Famille et de la Condition de la femme : Kaoutar Krikou
- Ministre de l'Industrie et des Mines : Ferhat Aït Ali
- Ministre de l'Agriculture et du Développement rural : Chérif Omari
- Ministre de l'Habitat, de l’Urbanisme et de la Ville : Kamel Nasri
- Ministre du Commerce : Kamel Rezig
- Ministre de la Communication, porte-parole du gouvernement : Ammar Belhimer
- Ministre des Travaux publics et des Transports : Farouk Chiali
- Ministre des Ressources en eau : Arezki Berraki
- Ministre du Tourisme, de l’Artisanat et du Travail familial : Hacène Mermouri
- Ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière : Abderrahmane Benbouzid
- Ministre du Travail, de l'Emploi et de la Sécurité sociale : Ahmed Chawki Fouad Acheuk Youcef
- Ministre des Relations avec le Parlement : Basma Azouar
- Ministre de l’Environnement et des Énergies renouvelables : Nassira Benharrats
- Ministre de la Pêche et des Productions halieutiques : Sid Ahmed Ferroukhi
- Ministre de la Micro-entreprise, des Start-up et de l'Économie de la connaissance : Yassine Djeridene
- Ministres délégués :
- Ministre délégué aux Statistiques et à la Prospective : Bachir Messaitfa
- Ministre délégué à l'Agriculture saharienne : Fouad Chehat
- Ministre délégué au Commerce extérieur : Aïssa Bekkai
- Ministre délégué à l'Industrie pharmaceutique : Lotfi Benbahmad
- Ministre délégué à de l'Environnement saharien : Hamza Al Sid Cheikh
- Ministre délégué chargé des Incubateurs : Nassim Dhiafat
- Ministre délégué chargé des Start-up : Yacine Oualid
- Secrétaires d'État :
- Secrétaire d'État chargé de la Production culturelle : Salim Dada
- Secrétaire d'État chargé de l'Industrie cinématographique : Youcef Sehairi
- Secrétaire d'État chargé du Sport d'élite : Noureddine Morceli
- Secrétaire d'État chargé de la Communauté et des Compétences à l'étranger : Rachid Bladehane
Remove ads
Trombinoscope
Premier ministre
Ministres
Ministres délégués
Secrétaires d’État
Remove ads
Analyses
Résumé
Contexte
La composition du gouvernement est annoncée le par Mohand-Oussaïd à la télévision, une première[5]. Celui-ci comprend cinq ministres sortants, notamment régaliens, ainsi que 6 ministres sous Bouteflika, un ministre âgé de 26 ans chargé des starts ups, une première également, et la suppression du poste de vice-ministre de la Défense[6],[7]. La société civile, notamment des universitaires, investit largement la composition du gouvernement avec 10 postes ; une députée du Front El Moustakbal, qui avait critiqué ouvertement l'ancien Premier ministre Ahmed Ouyahia en lui indiquant que le peuple était contre la candidature d'Abdelaziz Bouteflika en , fait partie de ce gouvernement[8]. Les anciens ministres sous Bouteflika qui font partie de ce gouvernement ont souvent été limogés et marginalisés par celui-ci et sont en quelque sorte réhabilités dans ce gouvernement comme Farouk Chiali chargé des Transports et des Travaux publics, dont le limogeage fut attribué à Ali Haddad à l'époque[9]. Cinq femmes sont nommées[10] ; parmi elles, Bessma Azouar, ministre des Relations avec le Parlement, porte un voile islamique, un fait inédit dans le pays[11],[10],[12].
Remove ads
Notes et références
Wikiwand - on
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Remove ads