Jean Desanlis

Jean Desanlis, né le 5 septembre 1925 à Montloué (Aisne) et mort le 5 février 2023 à Paimpol^[1],[2], est un homme politique français.

Jean Desanlis
Fonctions
Député français
23 juin 1988 – 21 avril 1997 (8 ans, 9 mois et 29 jours)
Élection	12 juin 1988
Réélection	28 mars 1993
Circonscription	3e de Loir-et-Cher
Législature	IXe, Xe et XIe (Cinquième République)
Groupe politique	UDF (1988-1993) UDFC (1993-1997)
Prédécesseur	Proportionnelle par département
Successeur	Maurice Leroy
2 avril 1986 – 14 mai 1988 (2 ans, 1 mois et 12 jours)
Élection	16 mars 1986
Circonscription	Loir-et-Cher
Législature	VIIIe (Cinquième République)
Groupe politique	UDF
13 avril 1972 – 1er avril 1986 (13 ans, 11 mois et 19 jours)
Élection	30 juin 1968
Réélection	11 mars 1973 19 mars 1978 21 juin 1981
Circonscription	3e de Loir-et-Cher
Législature	IVe, Ve, VIe et VIIe (Cinquième République)
Groupe politique	PDM (1972-1973) UC (1973-1978) UDF (1978-1981)
Prédécesseur	Paul Cormier
Successeur	Proportionnelle par département
Conseiller général de Loir-et-Cher
1973 – 2001 (28 ans)
Circonscription	Canton de Saint-Amand-Longpré
Prédécesseur	Auguste Grellet
Successeur	Serge Lepage
Biographie
Nom de naissance	Jean Paul Henri Jules Desanlis
Date de naissance	5 septembre 1925
Lieu de naissance	Montloué
Date de décès	5 février 2023 (à 97 ans)
Lieu de décès	Paimpol
Nationalité	Française
Parti politique	UDF
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Biographie

Sorti de l'École nationale vétérinaire d'Alfort en 1950, Jean Desanlis exerce d'abord sa profession à Montoire puis s'installe à Vendôme en juin 1951.

Il est élu au conseil municipal de Vendôme en mars 1959, sous le mandat de Gérard Yvon, puis il devient maire-adjoint en 1974, Robert Lasneau étant maire, et sera réélu en 1983.

Aux élections cantonales de septembre 1973, il est élu conseiller général du canton de Saint-Amand-Longpré, puis réélu en 1982. Il devient vice-président du conseil général en 1976^[3]. Parallèlement, sous l'étiquette de l'Union centriste puis de l'UDF, il est député de Loir-et-Cher (3^e circonscription) le 2 avril 1973 puis réélu sans interruption jusqu'au 21 avril 1997.

Il est signataire de l'« appel des 43 » en faveur d'une candidature de Valéry Giscard d'Estaing à l'élection présidentielle de 1974^[4].