Top Qs
Chronologie
Chat
Contexte

Rochefourchat

commune française du département de la Drôme De Wikipédia, l'encyclopédie libre

Rochefourchatmap
Remove ads

Rochefourchat est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Faits en bref Administration, Pays ...

Son unique habitante est dénommée la Rochefourchatienne[1]. Jusqu'en 2024, elle fut présentée comme la seule commune de France habitée par une seule personne. Cette dernière occupe la fonction de maire adjointe[2] mais deux habitants, propriétaires de résidence secondaire vont s’installer au village de manière définitive[3].

Remove ads

Géographie

Résumé
Contexte

Localisation

Rochefourchat est situé à 4,5 kilomètres de Saint-Nazaire-le-Désert, village le plus proche. Valence est à environ 75 kilomètres au nord-ouest, par la route.

Communes limitrophes

Relief et géologie

Sites particuliers[4] :

  • Col de Bauras (887 m)
  • Col des Faurines (949 m)
  • Col Jeannin (1 024 m)
  • Col Puzaou (1 439 m)
  • Combe du Four
  • Montagne de Couspeau
  • Pas de la Mort
  • Serre Calliaud
  • Serre de Chavou
  • Serre de la Blache
  • Serre de la Draye
  • Serre Delègue
  • Serre de Minuit
  • Serre du Coucou
  • Serre Musat
  • Serre Rouby

Géologie

La commune est située sur le flanc oriental de la grande crête anticlinale de Couspeau.

Hydrographie

La commune est arrosée par les cours d'eau suivants[4] :

  • la Coulance (aussi appelée la Courance) ;
  • Ravin de Chaune ;
  • Ravin des Boutarys ;
  • Ruisseau de la Combe.

La commune de Rochefourchat est la seule de la vallée qui ne jouxte pas la Roanne. Au sud, ses eaux rejoignent la rivière à travers la commune de Saint-Nazaire-le-Désert. Au nord, elles alimentent la profonde vallée de son affluent, la Coulance[5].

La commune est traversée par le ruisseau de Pémya, qui rejoint Saint-Nazaire-le-Désert[6].

En 1891, un ruisseau nommé Rochefourchat est mentionné. C'est un affluent de la Roanne qui, ayant sa source sur la commune de son nom, traverse celle de Saint-Nazaire-le-Désert et a 4,8 kilomètres de cours. À l'époque, sa largeur moyenne est de dix mètres, sa pente de 560 m, son débit ordinaire de 0,10 m3, extraordinaire de 53 m3[7]

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 059 mm, avec 8,5 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Saint-Nazaire-le-Désert », sur la commune de Saint-Nazaire-le-Désert à km à vol d'oiseau[10], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 011,8 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Remove ads

Urbanisme

Résumé
Contexte

Typologie

Au , Rochefourchat est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (96,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (96,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (79,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (17,2 %), zones agricoles hétérogènes (3,7 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Thumb
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine

En plus du « village », la commune est composée des deux hameaux : l'Aribat et Gauze.

Quartiers, hameaux et lieux-dits

Site Géoportail (carte IGN)[4] :

  • Alexis
  • Bègue
  • Boichou
  • Bonnet
  • Brachet
  • Cabret
  • Chapelle de Notre-Dame
  • Chaune
  • Cloroyer
  • Faussard
  • Forêt Domaniale de la Roanne
  • Gauze
  • Jacques Eymieux
  • Labrune
  • la Grand Plaine
  • l'Aribat
  • la Tune
  • la Violette
  • le Devès
  • le Moulin
  • les Blaches
  • les Chapelans
  • les Pradaux
  • Moury
  • Quinze Cannes

Logement

En 2008, la commune comptait une résidence principale et six résidences secondaires[19].

Projets d'aménagement

Voies de communication et transports

Thumb
Panneau indiquant la direction de Rochefourchat au nord de Saint-Nazaire-le-Désert.

La commune est desservie par la route départementale D 596[4].

Risques naturels et technologiques

Risques sismiques

Autres risques

Remove ads

Toponymie

Résumé
Contexte

Attestations

  • 1178 : Rocha Forcha (cartulaire de Die, 5)[20].
  • 1178 : Rocha forcha[21].
  • 1178 : mention du mandement : mandamentum de Rocha Forcha (cartulaire de Die)[20].
  • 1214 : Rocha Forchau (cartulaire de Die, 9)[20].
  • 1214 : Rocha forchaa (DR)[21].
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella Ruppis Forchate (pouillé de Die)[20].
  • XIVe siècle : mention du prieuré : prioratus de Ruppis Furcata (cartulaire de Die)[20].
  • 1389 : de Rupe Furcata (Long, notaire à Grignan[20] et VTF 510[21]).
  • 1449 : mention de la paroisse : cura de Ruppe furcata (pouillé hist.)[20].
  • 1516 : mention du prieuré : prioratus Ruppis Fourcatae (rôle de décimes)[20].
  • 1619 : Roche Fourcha (rôle de décimes)[20].
  • 1628 : mention de la paroisse et de l'église Saint-Pierre : la cure de Saint-Pierre de Rochefourchat (archives de la Drôme, E 2371)[20].
  • 1632 : Rochefourchat[21].
  • 1891 : Rochefourchat, commune du canton de la Motte-Chalancon[20].

Étymologie

Il s'agit d'un composé toponymique nord occitan, basés sur les appellatifs ròcha « roche » et forcha(d)a « divisé en deux branches », avec un -t adventice[21].

Histoire

Résumé
Contexte

Du Moyen Âge à la Révolution

La seigneurie : Rochefourchat, au point de vue féodal, était une terre (ou seigneurie) qui relevait en fief des évêques de Die. Les Morges la possèdent en 1334. Par la suite, elle passe aux Brottin (milieu du XVe siècle) puis, par mariage, aux Monteynard (1564) et enfin aux Rey de Noinville (1738), derniers seigneurs[20].

Ce fief dépendait pour deux tiers de la couronne française et pour un tiers du Comtat Venaissin. Cette originalité causait une opposition des hommages prêtés par les seigneurs. La domination était indivise mais les sujets (ou justiciables) de chaque seigneur étaient distincts et divisés en Dauphinois et Comtadins, de sorte que la personnalité décidait de la compétence civile et criminelle. Ces diverses questions furent réglées dans une transaction intervenue en 1630 entre les trois co-seigneurs qui possédaient alors le fief[22].

Avant 1790, Rochefourchat était une communauté de l'élection de Montélimar, de la subdélégation de Crest et du bailliage de Die. Elle formait une paroisse du diocèse de Die dont l'église, dédiée à saint Pierre, était celle d'un prieuré de l'ordre de Saint-Benoît (filiation de Cruas) dont les dîmes appartenaient au prieur et dont la cure était de la collation de l'évêque diocésain. Le mandement de Rochefourchat avait la même étendue que la commune de ce nom[20].

De la Révolution à nos jours

En 1790, la commune est comprise dans le canton de Saint-Nazaire-le-Désert. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de La Motte-Chalancon[20].

En 1796, Pierre Jossaud, négociant à Saillans, acheta les domaines de la Grange et de l'Aribat comme biens nationaux[5].

Lors du coup d'État du , la résistance drômoise fut l'une des plus fermes et des combats importants se déroulèrent à Crest[réf. nécessaire].

Durant la Seconde Guerre mondiale, la Drôme occupée fut placée sous administration italienne du au puis sous occupation allemande du au [23].

La décroissance démographique, entamée après 1806, continue jusqu'au XXIe siècle.

Remove ads

Politique et administration

Résumé
Contexte

Elections municipales

Le maire, Jean-Baptiste de Martigny, est élu en 2008 à 100 % des voix par les huit inscrits sur les listes électorales, sans campagne électorale ni opposition, et réélu depuis. Il est avocat d’affaires à Paris. Sur les huit inscrits, une seule personne vit toute l’année à Rochefourchat[24].

Tendances politiques et résultats

Élections présidentielles, résultats des deuxièmes tours :

Le résultat de l'élection présidentielle de 2017 dans cette commune est présenté dans le tableau suivant[28].

Davantage d’informations Candidat Parti politique, Voix ...

Le résultat de l'élection présidentielle de 2022 dans cette commune est présenté dans le tableau suivant[29]

Davantage d’informations Candidat Parti politique, Voix ...

Élections législatives, résultats des deuxièmes tours :

Élections régionales, résultats des deuxièmes tours :

Administration municipale

Liste des maires

Thumb
Bâtiment de la mairie, également utilisé comme gîte.
Davantage d’informations Période, Identité ...

Rattachements administratifs et électoraux

La commune fait partie de la communauté de communes du Diois.

Instances judiciaires

Rochefourchat relève du tribunal judiciaire de Valence, de la cour d'appel de Grenoble, du tribunal pour enfants de Valence, du conseil de prud'hommes de Valence, du tribunal de commerce de Romans-sur-Isère, du tribunal administratif de Grenoble et de la cour administrative d'appel de Lyon[41].

Politique environnementale

Finances locales

En 2010, le budget de la commune était de 18 704 , avec un résultat comptable de 5 172 , résultat qui a été quasiment toujours positif durant les dix dernières années[42].

Jumelages

Le maire refuse tout jumelage afin de protéger l'authenticité de cette commune exceptionnelle[43].

Remove ads

Population et société

Résumé
Contexte

Démographie

Rochefourchat est connue pour être la commune de France la moins peuplée (à l'exception de neuf communes « villages morts pour la France » dépourvues d'habitants[44]).

Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
220178221180159196187179145
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
15914917015015112812511292
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
899464524038363122
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1462321111
Davantage d’informations - ...
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[45] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements

Enseignement

La commune dépend de l'académie de Grenoble.

Compte tenu de la carte scolaire de cette académie pour la rentrée 2011-2012[47], l'école primaire la plus proche est située à Saint-Nazaire-le-Désert[48].

Santé

Manifestations culturelles et festivités

Loisirs

Thumb
Panneaux directionnels de randonnée.
  • Randonnées[49] : GRP Tour de la Vallée de la Roanne[4] :

Sports

Médias

Le territoire de la commune se situe dans l'aire de diffusion de plusieurs médias :

  • Presse écrite
    • Le Dauphiné libéré, quotidien régional qui consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de « La vallée de la Drôme » un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
    • L'Agriculture Drômoise, journal d'informations agricoles et rurales, couvre l'ensemble du département de la Drôme.
    • Drôme Hebdo (ancien Peuple Libre), hebdomadaire chrétien d'informations.
    • Journal du Diois et de la Drôme.
  • Presse audio-visuelle
    • France Bleu est une radio publique diffusée sur son territoire.

Cultes

Il existe une petite église désaffectée dédié à saint Pierre, il y a aussi une chapelle.

Remove ads

Économie

Agriculture

En 1992 : bois, pâturages (ovins)[49].

Tourisme

Revenus de la population et fiscalité

Emploi

Remove ads

Culture locale et patrimoine

Résumé
Contexte
Thumb
Église Saint-Pierre.
Thumb
Chapelle Notre-Dame de l’Aribat.

Lieux et monuments

  • Ruines d'un château au lieu-dit les Châteaux dont il ne reste que quelques traces de voûtes effondrées et de rochers taillés[réf. souhaitée].
  • Maisons anciennes[49].
  • Église rustique (désaffectée)[49] dédiée à saint Pierre : clocher carré, porche de 1880, autel en bois décoré de cœurs, cloches datées de 1807 et 1838 ; le petit cimetière attenant renferme la tombe de Madeleine Farnier, ancêtre de Marcel Pagnol qui descendait de Marguerite Mège de Rochefourchat, mariée en 1634 avec Marius Marchand de Saint-Nazaire[5].
  • Chapelle Notre-Dame[49], dite des-Sept-Douleurs, au hameau de l'Aribat : elle aurait été construite à la suite du vœu d'un berger pris dans la tourmente. Cette église est accessible via le chemin d'accès à l'Aribat, en passant par un pont, doté d'une voûte de huit mètres. C'était autrefois un lieu de pèlerinage le dernier dimanche de mai : l'évêque de Valence y vint en 1940 ; cette église contient un clocheton-porche en pierres de taille réalisé en 1898, et de belles peintures dans l'abside[5].

Patrimoine culturel

Thumb
Plaque Middle of Nowhere symbolisant le rattachement de Rochefourchat au réseau international des centres d'art contemporain fantômes fondés par l'artiste français Laurent Mulot.

Rochefourchat et la chanson populaire

La Fanfaro de Rotchofourchat (La fanfare de Rochefourchat) est une chanson populaire écrite en 1900 par Émile Maillefaud, agent-voyer cantonal de la Motte-Chalancon[5]. Elle vante, sur un mode ironique, les mérites de sa fanfare qui aurait « remporté le premier prix de France »[50].

Selon la tradition locale, cette fanfare n'aurait eu qu'une existence formelle : les hommes du village, équipés de leurs instruments respectifs, se retrouvaient pour « répéter ». Ils ne progressaient guère car leurs répétitions consistaient à se retrouver pour « boire des canons » loin de leurs épouses. Le subterfuge fut un jour éventé et fit bien rire : « C'est une joyeuse troupe qui ne compte pas moins de « quatre-vingt-quatre pistons » et des musiciens qui, ayant gagné chacun un cochon de quatre quintaux à Combovin, font le tour du village, l’animal sous le bras, en jouant un pas redoublé ! ».

Les paroles en version d'origine (occitan - graphie patoisante) et la traduction en français[réf. nécessaire] :

Refrain

La fanfaro de Rotchofourchat
A rempourta lou prumier prix dé Franche
Leï soun lestes coumo dé tchats
A la fanfaro de Rotchefourchat.

Couplet 1

La fanfaro sé coumposavo
Dé quatré vinn quatré pistouns
Et quanto lou pistoun dounavo
Infouncavo Lou barytoun.

Couplet 2

Fayo oyir la coutrébasse
Quand dounavo dinn lou fourbi
Fajio uno tello grimacho
Qué encrenillavo lou arpions

Couplet 3

A Coumbovi coucouriguéroun
Rempourtèrouns leu prumier prix
A chasqué mujicien dounérouns
Quatré ou chinn pairès de perdrix

Couplet 4

Coumo lour mairè règalavo
Dévalérouns tous chou soun pourtau
A chascu dé zélou bélèrouns
Un caïou dè quatré quinntaou

Couplet 5

Quo lou douné un téou couradgé
Un Béou caïou chou lou bras
Fagguérouns lou tour dauou villadgé
In jouguin un pas redoubla.

Refrain

La fanfare de Rochefourchat
A remporté le premier prix de France :
Ils sont lestes comme des chats
A la fanfare de Rochefourchat.

Couplet 1

La fanfare se composait
De quatre-vingt-quatre pistons,
Et quand le piston donnait,
Il enfonçait le baryton.

Couplet 2

Il fallait entendre la contrebasse
Quand il donnait dans l’instrument,
Il faisait une telle grimace
Qu’il en fronçait les sourcils.

Couplet 3

À Combovin ils concoururent,
Ils remportèrent le premier prix.
À chaque musicien, on donna
Quatre ou cinq paires de perdrix.

Couplet 4 :

Comme le maire régalait,
Ils allèrent tous à son portail.
À chaque musicien, il offrit
Un cochon de quatre-cents kilos.

Couplet 5

Cela leur donna un tel courage,
Un beau cochon sous le bras,
Qu’ils firent le tour du village
En jouant d'un pas redoublé.

Patrimoine naturel

Personnalités liées à la commune

Héraldique, logotype et devise

Remove ads

Annexes

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

  • Justin Brun-Durand, Dictionnaire topographique de la France, département de la Drôme : comprenant les noms de lieux anciens et modernes, rédigé sous les auspices de la société d'archéologie et de statistique de la Drôme, publié par ordre du ministre de l'Instruction publique et sous la direction du comité des travaux historiques, Paris, Imprimerie nationale, 1891, in-4°, 502 pages.
  • Jacques Barlet, Jean-Noël Couriol, Annie Friche, Le pays de la Roanne, édité par l'association « Route de la Vallée de la Roanne », collection « Histoire et patrimoine Dromois », éditions la Lombardière 26400 Beaufort-sur-Gervanne.

Articles connexes

Liens externes

Notes et références

Loading related searches...

Wikiwand - on

Seamless Wikipedia browsing. On steroids.

Remove ads