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Welcome to the Machine

chanson de Pink Floyd De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Welcome to the Machine est une chanson du groupe rock progressif britannique Pink Floyd qui apparaît sur l'album Wish You Were Here, en 1975. Elle est réputée pour son utilisation massive des synthétiseurs, de la guitare acoustique et de différents effets audio, dont des personnes discutant à la fin de la chanson. Les paroles dépeignent une vision très sombre de l'industrialisation, la machine du titre.

Faits en bref Face A, Sortie ...

Un clip d'animation de Welcome to the Machine a été réalisé par Gerald Scarfe.

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Enregistrement

"Welcome to the Machine" est construite sur un son de pulsation obtenu à partir d'un synthétiseur EMS VCS3 suivi par répété ensuite une fois en écho. À l'origine, Roger Waters prévoyait de jouer cet écho à la guitare basse. Sur le LP d'origine, la chanson était placée en deuxième position et suivait les cinq premières parties de "Shine On You Crazy Diamond". Ainsi, elle terminait la face A. Sur le pressage du CD, notamment sur les remasters de 1997 et 2000, elle se retrouve en troisième position, suivant "Have a Cigar". Lors de l'enregistrement de la chanson, David Gilmour a reconnu avoir eu des difficultés à chanter l'un vers de la chanson.

« C'était un vers que je ne pouvais pas atteindre, donc nous avons descendu la bande d'un demi ton. »

 David Gilmour

Il a chanté la partie dans de manière légèrement plus grave en enregistrant plus lentement, puis la bande a été ramenée à vitesse normale, remontant ainsi la phrase d'un demi ton.

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Signature rythmique

Analyse des paroles

Clip vidéo

Résumé
Contexte

Le clip de Gerald Scarfe était initialement joué sur l'écran circulaire au-dessus de la scène pour le moment où le groupe joua la chanson lors de leur tournée 1977 In the Flesh. La vidéo fantaisiste commence par ce qui semble être un axolotl mécanique géant rampant sur un terrain rocheux. La scène se déroule dans un paysage urbain industriel désolé composé d'imposantes structures en acier étincelantes. Un cylindre se fissure et suinte de manière inquiétante du sang tandis qu'un cuboïde se déplie et la scène se déroule dans des poutres chargées de cadavres et de rats pourris (l'un d'eux semble émacié). Une vue d'un paysage stérile avec une tour qui s'étend de l'horizon qui se transforme en une forme surnaturelle hurlante, qui s'arrête ensuite de haleter pendant quelques secondes avant de décapiter vicieusement un homme sans méfiance au premier plan. La tête se décompose ensuite très lentement en crâne au coucher du soleil. Enfin, trois bâtiments se dressent jusqu'à ce qu'un océan de sang emporte cette scène. Les vagues se transforment en milliers de mains agitant au rythme de la musique évoquant le public lors d'un concert de rock. Toutes les structures environnantes sont emportées sauf une. Même s'il est tiré par les masses sanglantes, le monolithe reste debout et se synchronise avec le son synthétisé à la fin de la chanson. Il s'envole ensuite au-dessus des nuages, puis s'insère dans un trou à l'intérieur un massif objet ovoïde flottant.

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Personnel

Notes et références

Liens externes

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