Elle a connu un succès de librairie d'ampleur exceptionnelle avec Mon oncle et mon curé[2] (1889) qui a été couronné par l'Académie française (Prix Montyon en 1890) et constamment réédité jusqu'en 1977. Ce roman a été adapté au cinéma en 1938. Trente-cinq autres romans suivront.
Alice Cherbonnel est née d'un père normand et d'une mère angevine[3]. Lucie Félix-Faure Goyau écrit à son sujet: « Jean de La Brète est de la race des fines conteuses de France, et notre pays peut se glorifier d'en avoir toute une lignée: les unes glorieuses; comme les Sévigné, les La Fayette, les Caylus, pour ne parler que du grand siècle; les autres, plus modestes, plus effacées, inconnues ou presque, mais retenant cette alacrité d'esprit, qui leur est comme un trait de famille. »
Plon-Et-Nourrit et Cie, 307 p. Paru sous forme de roman-feuilleton dans Le Temps du au . Réédition: 1933, Petit écho de la mode, collection Stella no34, 159 p.
Jean de La Brète a également préfacé l'édition de 1908 du roman En passant (1908) de Inès Yvon (pseudonyme: Y. d'Isné, écrivain et directrice de la revue Vaillante Jeunesse (1905-1940)[4].
1935: Mon oncle et mon curé, comédie en 3 actes de Lucien Dabril, d'après le roman de Jean de La Brète. Paris, Cercle les Jeunes des Ternes, .
1939: La Source enchantée, comédie en 4 actes de Lucien Dabril, d'après le roman de Jean de La Brète. Rennes, créé par la compagnie Le Manteau d'Arlequin, .