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Entre 1899 et 1941, les projets du constructeur Renault reçoivent des codes à une, puis deux et enfin trois lettres. Certains projets n'ont pas été réalisés mais ont quand même reçu un code. De même, les modifications d'un véhicule peuvent amener l'entreprise à changer le code[1].
Pour les automobiles, la liste présente entre parenthèses le nom commercial du véhicule.
Type UE: chenillette de ravitaillement (adopté par l'Armée française sous le nom de «chenillette de ravitaillement d'infanterie modèle 1931 R», puis «modèle 1937 R» pour la chenillette UE2)
Nicolas Tellier, «Bref historique des cars Renault jusqu'en 1949», dans La fabuleuse histoire du S45, Massin, (ISBN9782307348252, lire en ligne), p.4-18
Matthieu Comas et François Vauvillier, «Les CMA, compagnies de munitions de l'Air, et leurs camions», Histoire de guerre, blindés et matériel, no133, , p.56
Jean-Baptiste Petrequin, «Le char monoplace mort en 1919, ressuscité en 1940?», Histoire de guerre, blindés et matériel, no135, , p.29-32
«Renault», dans Répertoire des dates de sortie d'usine pour tous les véhicules de tourisme et véhicules industriels français depuis 1925 (lire en ligne), p.54-81.
François Vauvillier et Jean-Michel Touraine, L'automobile sous l'uniforme 1939-40, Massin, (ISBN2-7072-0197-9).
Michel Grannec, Renault et le matériel ferroviaire, ETAI, , 191p. (ISBN9782726884065).
François Vauvillier, Les automitrailleuses de reconnaissance, t.1: L'AMR 33 Renault: ses précurseurs, ses concurrentes et ses dérivés, Histoire & Collections, coll.«Les matériels de l'armée française», (ISBN2-915239-67-3).
François Vauvillier, «Tous les blindés de l'Armée française», Histoire de guerre, blindés et matériel, no100,.