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La Courbe
ancienne commune française du département de l'Orne De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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La Courbe est une ancienne commune française du département de l'Orne et de la région Normandie, devenue le une commune déléguée au sein de la commune nouvelle d'Écouché-les-Vallées.
Elle est peuplée de 63 habitants[Note 1].
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Géographie
Toponymie
De l'oïl courbe, pour désigner un méandre. La Courbe est sur un méandre de l'Orne[1].
La localité de La Courbe doit son nom aux sinuosités que la rivière a creusées dans le plateau schisteux du Massif armoricain. À cet endroit, les deux boucles pratiquement refermées d'un méandre, forment deux presqu'îles reliées au plateau par des isthmes étroits.
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Histoire
Second âge du fer dit de la Tène
Époque contemporaine
Le , La Courbe intègre avec cinq autres communes la commune d'Écouché-les-Vallées[4] créée sous le régime juridique des communes nouvelles instauré par la loi no 2010-1563 du de réforme des collectivités territoriales. Les communes de Batilly, La Courbe, Écouché, Loucé, Saint-Ouen-sur-Maire et Serans deviennent des communes déléguées et Écouché est le chef-lieu de la commune nouvelle.
Politique et administration
Démographie
Résumé
Contexte
En 2021, la commune comptait 63 habitants. Depuis 2004, les enquêtes de recensement dans les communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans (en 2006, 2011, 2016, etc. pour La Courbe[7]) et les chiffres de population municipale légale des autres années sont des estimations[Note 2].
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Économie
Lieux et monuments
- Les camps dit « camp du Haut du Château » et « camp du Bas de la Courbe» sont deux sites archéologiques inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [10] ,[11].
- Château Gontier, dans un méandre de l'Orne. Ruines d'un château fort possession de la famille de Bellême qui fut pris par le duc Robert de Normandie puis par le roi Henri Ier d'Angleterre[12].
- Situé sur le point haut du village, le château bâtie, vers 1091, par Robert II de Bellême pour concourir à la défense d'une motte castrale aménagée à l'extrémité ouest du talus, réutilise un rempart vitrifié de l'âge du fer[13]. La première courbe renferme l'église, une motte et des lignes de retranchements ; la seconde une basse-cour rectangulaire avec remparts de 11 à 12 pieds d'élévation et le donjon de grès ; la troisième des retranchements de défense du gué[12].
- Pour Guy Hallé, au moins trois remparts de terre se succèdent sur le site[13].
- Un rempart de terre édifié directement sur la roche en place datant probablement du néolithique.
- Un rempart de pierres sèches de la fin de l'âge du fer, vitrifié, qui délimite un petit camp de deux hectares. Au IIe siècle, à l'époque gallo romaine, il a été rechargé en limon et pierrailles.
- Un mur de moellons au Moyen Âge pouvant être attribuable au château fort[13].
- Logis de la Queurie. Le manoir du XVe siècle de plan quadrangulaire est flanqué d'une tour hexagonale à usage d'escalier[12].
- Menhir de la Pierre Tournoire.
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Activité et manifestations
Personnalités liées à la commune
Voir aussi
Bibliographie
- Pierre Giraud et Cyril Marcigny, L’âge du Fer en Basse-Normandie-Gestes funéraires en Gaule au Second-Âge du Fer, vol. I,II, Besançon, Presses universitaires de Franche-Comté, , 693 p. (ISBN 978-2-84867-314-1, lire en ligne), « Les sites fortifiés de hauteur de La Tène finale en Basse-Normandie », p. 73-94.
Articles connexes
Liens externes
- Ressources relatives à la géographie :
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Notes et références
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