Top Qs
Chronologie
Chat
Contexte
Langue de Castille
De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Remove ads
La Langue de Castille était, avec celles de Provence, d'Italie, d'Angleterre, d'Aragon, de France, d'Allemagne, d'Auvergne, l'une des huit langues (ou provinces) des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, existant après 1462.

Historique
La langue d'Espagne créée en 1301 fut scindée en deux en 1462 avec la création de la langue de Castille et de celle d'Aragon.
Grand prieuré de Castille et León
Résumé
Contexte
Le grand prieuré de Castille et Leon, créé en 1149, comprend 37 commanderies[1].
Liste des prieurs
Les commanderies
Dans le royaume de León on dénombre 24 sites qui ont eu à un moment donné le statut de commanderie: Alcolea, Bodonal, Bóveda, Calasparra[N 1], Fuentelapeña, Morentaña[N 2], Pacos[N 3], Paradinas, Peñalen, Camarón (es)[N 4], Castronuño[N 5], Ciudad Rodrigo, Fregenal, Talavera, Tocina, Trevejo[N 6], Vadillo, Vera, Portomarín, Quiroga, Salamanca, Cañizalet Villa Escusa, Villar del Pozo, Yébenes. De même en Castille où les commanderies connues pour la période médiévale se trouvaient à: Almazán, Wamba, Burgos et Buradón , Camera, Carecinos, Cubillas[N 7], Lora (baillie), Fresno, León, Fuente Viesgo[N 8], Reinoso[N 9], Rubiales[N 10], Vallejo[N 11], Villela[N 12], Viso[5].
La création de la langue de Castille et le passage à l'époque moderne entraînent une restructuration (dite remembrement) de ces commanderies et le regroupement de certaines d'entre elles à laquelle il faut ajouter l'absorption des biens de l'ordre canonial régulier du Saint-Sépulcre en 1489 :
Remove ads
Grand prieuré de Portugal
Résumé
Contexte
Le grand prieuré de Portugal, créé en 1232, comprenait 21 commanderies[1] avant sa disparition. Au XVIe siècle on en dénombrait 29[17].
Liste des prieurs
Liste des commanderies
Au gré des acquisitions, cessions et remembrements, le nombre de commanderies a évolué au fil des siècles.
Sont connus comme ayant été le chef-lieu d'une commanderie ou alors comme membre de l'une d'entre elles[18] : Abreiro (pt), Águas Santas et Sezures (pt) (municipalité de Maia), Aldeia Velha (Sabugal), Algozo, Moura Morta (pt), Faia (pt), Veade (pt) et Miranda do Douro, Ansemil, baillie de Leca (pt), Santa Maria de Barrô (pt), Beja, Sernancelhe, Chavão (pt), Corveira (pt), Covilhã, Elvas et Montoito (pt), São Tiago de Fontes et São Sebastião de Fornelos (pt), Santa Maria de Fregina [sic] [Fregim (pt)] et Santo Adrião de Sátão [sic] [Santão], Santa Maria Madalena de Freixial [sic] [Freixiel (pt)], Frossos et Rossos, Oleiros, Oliveira do Hospital, São Miguel de Poiares (pt), Rio Meão, Santa Eulália da Ordem (pt), São Brás (Lisbonne)[N 14], São João de Alporão de Santarém (pt), São Cristóvão et Almas[N 15], Távora (pt), Torres Vedras, Trancoso, Vera Cruz (pt) et Portel[N 16], Vila Cova a Coelheira et Vilarinho dos Frades (pt).
Ci-dessous la liste des commanderies en 1734 d'après les registres de comptes du bailli Frei Rodrigo Manuel Gorjão[20]:
Remove ads
Notes
- Localisation à vérifier car il y avait une commanderie d'origine templière à Calasparra (royaume de Murcie) alors que ce toponyme ne parait pas connu dans celui de León. Cette commanderie était dite d'Archena et de Calasparra, cf. (es) Carlos Barquero Goñi, « La orden militar de San Juan en el reino de Murcia durante la edad media (siglos XIII-XV) », Miscelánea Medieval Murciana, no 37, (lire en ligne).
- Pazos de Arenteiro (Boborás, Province d'Ourense). Dont l'église de San Julián de Astureses (es) qui en dépendait.
- Ancienne possession de la commanderie templière de Castelotte érigée en commanderie par les Hospitaliers[3]. Contrairement à ce que mentionne Juan Francisco Baltar Rodríguez, elle ne se trouvait pas dans le royaume de León mais dans celui d'Aragon.
- Commanderie hospitalière de San Martín de Trevejo, ne pas confondre avec Trevejo (es) plus au sud et son château (es) qui a peut-être appartenu à l'ordre du Temple (1168) et qui devient une commanderie de l'ordre de Santiago.
- La commanderie de Cubillas se trouvaient près de Toro (Zamora).
- L'auteur a sans doute voulu mentionner Puente Viesgo où la présence d'une commanderie n'est pas avérée. Confusion avec Puente de Órbigo ou Puente Fitero[4].
- Don par Alphonse VIII en 1181 du barrio de San Pedro jouxtant Reinoso de Cerrato.
- La commanderie de Benavente & Rubiales. Dehesa de Rubiales se trouvait au nord-est de Benavente sur la commune de Valdescorriel. Cette commanderie possédait également Carbajales de la Encomienda (es) et son église en ruine, ancienne possession de l'ordre du Temple.
- La commanderie de Villela se trouvait sur la paroisse de san Millán, commune de Vega de Ruiponce.
- Les commanderies de San Juan de Arramele et de Santa Catalina (commune de Saint-Sébastien) appartenant initialement au prieuré de Navarre forment une baillie. Pourtant celle-ci parait dépendre du prieuré de Castille au début de l'époque moderne. Après la création de la langue d'Aragon, ce litige entre les hospitaliers de Castille et ceux de Navarre n'est toujours pas résolu (1478)[7]. On retrouve finalement San Juan de Ramel au sein du grand prieuré de Navarre parmi les membres de la commanderie d'Induráin (XVIe siècle)[8].
- La commanderie de São Brás se trouvait à l'emplacement de l'église Santa Luzia e São Brás, largo Santa Luzia, quartier et paroisse de Santa Maria Maior (Lisbonne), anciennement paroisse de Santiago (Lisbonne).
- Identification à confirmer car ce ne peut pas être São Cristóvão de Nogueira (pt) qui était une commanderie de l'ordre du Christ. À la demande du roi João III de Portugal, le pape Clément VII érige en commanderie São Cristóvão de Nogueira le 05 juillet 1527 et cette commanderie perdura jusqu'en 1834. Aucune autre information qui permette d'identifier la commanderie Hospitalière de São Cristóvão et Almas.
- Barreiros est une paroisse disparue. En 1367, « a freguesia de Barreiros como as de Gueifães, Gondim e Leça são do Hospital » appartenaient déjà aux Hospitaliers de la commanderie de Leça. 41° 13′ 57″ N, 8° 38′ 01″ O
- Cette commanderie n'a peut-être pas fourni de revenus cette année-là ou elle avait le statut de chambre magistrale, auquel cas ses revenus n'étaient pas reversés au prieuré puisque revenant de droit au grand maître de l'ordre.
- Ce qui est normal puisque son statut de chambre magistrale la détachait du prieuré, elle appartenait au grand maître.
Remove ads
Références
Bibliographie
Annexes
Wikiwand - on
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Remove ads