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Liste des comtes de Meaux
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Les comtes de Meaux régnaient sur le comté de Meaux.
Ce titre de noblesse a été définitivement supprimé en 1125 après l'union des comtés de Meaux et de Troyes, au profit de la Champagne, sous le comte Thibaud II[réf. souhaitée].
Deux familles actuelles de Meaux existent de nos jours mais aucune ne prouve un rattachement avec la famille féodale de Meaux qui est éteinte.
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Premier comté de Meaux
vers 750 : Helmgaud
787 : Richard, présent lors de l'inventaire en l'abbaye Saint-Wandrille de Fontenelle après le mort de l'abbé Witlaic
799-813 : Helmgaud II fils de Gauzhelm, lui-même fils d'Helmgaud Ier ; Il fut missi dominici de Charlemagne aux côtés de l'évêque Jessé d'Amiens ; il assista notamment au sacre de Charlemagne (d'après Les Annales regni Francorum de 799) et fut envoyé en 802 en ambassade auprès d'Irène, impératrice d'Orient, et auprès de Michel Ier Rhangabé vers 812-813[1]
862-877 : Louis II le Bègue († 879) roi de France (877-879)
?-886 : Thibert (ou Teutbert), comte de Madrie, fils ou petit-fils de Nivelon, sa fille épouse Pépin Ier d'Aquitaine[2]
886-888 : Thibert (Teutbert ou Tetbert) († 888), tué à Rouen, frère d'Anscharic évêque de Paris[2]
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Premier comté de Champagne (888-1125)
Résumé
Contexte
Comtes herbertiens
Comtes thibaldiens
À la mort de Thibaut III de Blois et Ier de Champagne, les deux comtés constituant la Champagne furent séparés entre ses fils.
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Second comté de Meaux (1089-1125)
Résumé
Contexte
En héritant du comté de Troyes de son oncle en 1125, Thibaud IV de Blois unifie la Champagne de manière définitive et en devient le véritable premier comte.
- Voir ensuite la liste des comtes de Champagne.
Généalogie simplifiée des comtes de Meaux (v.900–1125)
Liens de parenté entre les différents comtes de Meaux du Xe siècle à 1125
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Vicomté de Meaux
- Les comtes de Meaux étaient assistés par des vicomtes de Meaux[3], au moins depuis 1081/1098 Ils étaient aussi seigneurs de La Ferté-Ancoul/-sous-Jouarre (voir des précisions à cet article), et de la fin du XIe siècle jusqu'à la Révolution les vicomtes sont dans la descendance des anciens maîtres de La Ferté-sous-Jouarre : familles de La Ferté-Ancoul, puis d'Oisy (Simon), de Montmirail (Jean de Montmirel et sa fille Marie ; ils avaient aussi Condé, longtemps associé désormais à La Ferté-Ancoul et Meaux), de Coucy (Enguerrand III ; Enguerrand V), de Béthune-Locres, de Bar (Robert de Marle et sa fille Jeanne), de Luxembourg-Saint-Pol (Louis et sa petite-fille Marie), de Bourbon-Vendôme (Charles, duc de Vendôme et grand-père du roi Henri IV) puis de Bourbon-Condé (Louis).
- Puis le Henri II de Condé (1588-1646 ; 26e vicomte de Meaux) cède la/le vicomté (mot épicène à l'époque) au duc de Sully, Maximilien de Béthune, issu des Béthune-Locres qu'on vient de rencontrer (l'évaluation était très faible 15 000 livres seulement, sauf bien sûr s'il s'agit du revenu et non du capital de la vicomté : cf. les pages Google et La fortune de Sully, p. 112, par Isabelle Aristide). Ce dernier la laisse à son fils cadet François duc d'Orval (1602-1678 ; frère de Maximilien II) et à son petit-fils Philippe († ; fils de François ; il est dit avoir cédé de son vivant la vicomté à son cousin germain Maximilien III), puis à la postérité de Maximilien II, les ducs de Sully Maximilien III François (1615-1662), Maximilien IV Pierre (1640-1694), Maximilien V Pierre-François-Nicolas (1664-1712), Maximilien VI Henri (1669-1729 ; sans postérité : il y a une vacance à sa mort), Maximilien VIII Antoine-Armand d'Orval (1730-1786 ; dit le vicomte de Meaux dès sa naissance[4] ; père de Maximilien IX Alexis (1750-1776) et Maximilien X Gabriel-Louis (1756-1800)).
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référence
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