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Maximilienne Guyon
peintre et graveuse française (1868-1903) De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Maximilienne Guyon, dite aussi Maximilienne Goepp (1868-1903) est une artiste, peintre de portraits, aquarelliste, graveuse, illustratrice et enseignante française de la Belle Époque.
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Biographie
Résumé
Contexte
Née en 1868, (Maximilienne) Marie Annette Guyon est élève de l'Académie Julian, Maximilienne Guyon suit l'enseignement des peintres Gustave Boulanger, Jules Lefebvre et Tony Robert-Fleury[1]. Par la suite, elle exerce à son tour comme enseignante, et se lie à la princesse Mathilde qui admirait ses aquarelles[2].
Son travail de peintre est remarqué au Salon à partir de 1888 ; cette année-là, lors de l'« Exposition de Blanc et Noir », elle reçoit la médaille d'or des pastels[3]. Lors de l'Exposition universelle de 1889, elle reçoit la médaille d'argent et se voit accorder une bourse de voyage[4].
Elle fait partie de la délégation de femmes françaises artistes présentées à l'Exposition universelle de 1893 à Chicago, regroupées dans le Woman's Building[5].
Plusieurs de ses dessins sont gravés pour illustrer Le Petit Piano, journal de lecture musicale, supplément de La Mode illustrée (1894). De 1895 à 1898, elle publie des œuvres qui sont gravées pour Le Monde illustré. Elle collabore également au Soleil du dimanche, aux numéros de Noël 1894 et 1897 de L'Illustration. « Maris Stella » est reproduite dans L'Estampe moderne de (Musée d'art de Dallas).
Elle a aussi produit des affiches et des illustrations pour des livres.
Son fonds d'atelier situé au 82 boulevard Bineau à Neuilly-sur-Seine fut dispersé aux enchères les 10 et [6].
Elle épouse en 1889 le peintre Georges Charles Albert Goepp (1860-?), avec qui elle a un fils, Albert Olivier Maxime Goepp (1890-?).
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Affiches
- Rhum des Ilets supérieur à tous les autres, lithographie, Paris, Courmont frères, 1897 - sur Gallica.
- Byrrh, s.d., concours d'affiche.
Livres illustrés

- Jean Rameau, Yan, 24 dessins, Paris, Paul Ollendorff, 1895 - sur Gallica.
- André Theuriet, Années de printemps, Paris, Paul Ollendorff, 1896.
- (en) Work of Honoré de Balzac, « Centenary Edition », illustr. de Jules Girardet et M. Guyon, 34 volumes, Boston, Little Brown, 1905.
Peintures
- 1888 : La Violoniste, huile sur toile, 220 x 135 cm[7]
- 1889 : Pierrot, présenté au Salon
- 1896 : La Diseuse de bonne aventure[8]
- 1899 : Une Rupture, huile sur toile, 280 x 200 cm, Salon de 1899
- 1903 : Portrait de Mme d'Hauterive, née Dumas, 101 x 64 cm, pastel, aquarelle, musée Alexandre-Dumas de Villers-Cotterêts
- [s.d.], Les Ramendeuses
- Femme Nue, collection Memory Foundation
- [s.d.], Jeune Fille accoudée, huile sur toile, 82 × 65 cm, ancienne collection Rothschild, musée municipal de La Roche-sur-Yon[9].
- [s.d.], Jeune Fille rousse tenant un livre, gouache sur papier collé sur carton, 73,2 x 60 cm, ancienne collection Rothschild, musée des beaux-arts et d'archéologie de Besançon[10].
- Femme Nue, collection Memory Foundation.
- Portrait de Mme d'Hauterive, née Dumas, musée Alexandre-Dumas de Villers-Cotterêts.
- Allégorie de l'hiver (La Neige), coll. priv..
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Notes et références
Liens externes
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