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Sacha Distel
musicien français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Sacha Distel, né le à Paris 13e et mort le au Rayol-Canadel-sur-Mer (Var), est un guitariste de jazz, compositeur et chanteur français.
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Biographie
Résumé
Contexte
Origines, enfance et jeunesse
D'origine juive russe par son père, Lionia (Léonide), né à Odessa[1] en 1894 et mort en 1970, Sacha Distel est aussi le neveu de Ray Ventura par sa mère, Andrée Ventura (1902-1965), d'origine juive, turque par son père, pianiste et ancienne lauréate du Conservatoire[2].
Son père arrive en France en 1917, au moment de la révolution russe, pour y rejoindre son frère qui y possède une usine de produits chimiques. Il fait des études d'ingénieur chimiste avec l’intention de travailler dans l'usine de son frère mais celui-ci, en raison de difficultés financières, part vivre au Mexique. Son père devient alors garagiste, puis commerçant en produits électroménagers[3] possédant deux magasins, l'un à Paris 8e, rue de Surène et l'autre à Saint-Ouen-sur-Seine[4].
Ses parents travaillant tous les deux, il est mis au jardin d'enfants à l'âge de 3 ans et entre au cours préparatoire huit jours après[5]. Il vit alors dans le 16e arrondissement de Paris, 34, rue Erlanger[6].
Il apprend le piano très jeune. Bien qu'il l'admire, il ne voit alors jamais son célèbre oncle Ray Ventura, souvent parti en tournée, sauf lorsque celui-ci installe son orchestre à Paris. Sacha Distel intègre, le temps d'un dimanche après-midi, son orchestre, y jouant du saxophone miniature. Adorant chanter et en particulier imiter Maurice Chevalier, en 1939, il participe à l'âge de 6 ans à un radio-crochet qu'il remporte[7].
Sous l'Occupation, la police française arrête sa mère le [8], non pas parce qu'elle est juive, mais pour des raisons politiques[9]. Elle est emprisonnée à la prison du Cherche-Midi, mais n’est pas déportée. Lors de l'arrestation de sa mère, espérant pouvoir empêcher la police d'emmener celle-ci (il a alors 9 ans), il se met à jouer du piano et à chanter[10]. Sur l'initiative de son père, il est confié à Fernande Chaboche à La Baconnière[11]. Il est caché comme treize autres enfants juifs par Constant Domaigné au collège de l'Immaculée-Conception, rue Crossardière à Laval[12], où il est enregistré sous le nom d’Alexandre Ditel, afin d'éviter la curiosité des militaires allemands présents dans les locaux du collège. Il reste au collège jusqu'à la libération de Laval au début d'[13] où un jour son père vient le chercher[14] et retrouve sa mère lors de la libération de Paris[15].
Il entre au lycée Janson-de-Sailly, puis au lycée Claude-Bernard, où il est un élève moyen[16].
Grâce à son oncle Ray Ventura, Sacha Distel s’intéresse progressivement au jazz. Il assiste aux diverses répétitions et enregistrements de l'orchestre de celui-ci : Les Collégiens. En 1947, lors du tournage du film Mademoiselle s'amuse, dont son oncle est le producteur, il demande à Henri Salvador, guitariste de cet orchestre que l'on retrouve dans le film, de lui donner des leçons de son instrument, ayant deviné que c'était un puissant moyen de séduction auprès des femmes[17]. Henri Salvador l'envoie s'acheter une guitare à Montreuil chez le luthier Di Mauro[18] et il devient son élève[19]. À la rentrée scolaire 1947, il crée avec cinq camarades de son lycée Claude-Bernard les Noise Makers[20], un orchestre aux sonorités jazz Nouvelle-Orléans, dont il est le guitariste[21], répétant dans l'appartement familial de la rue Erlanger[22].
Ray Ventura, qui a eu vent de cela, lui propose de venir à une soirée à l’Alhambra l’hiver de 1948. Dizzy Gillespie y joue avec son orchestre. Entouré par Bruno Coquatrix, Paul Misraki, et André Hornez, Sacha découvre le bebop. Dans la salle, c'est une bataille d'Hernani[8].
Débuts comme guitariste de jazz
Dès le lendemain, Sacha Distel tente le tout pour le tout, en essayant de rallier les Noise Makers à sa nouvelle passion. Cette tentative scelle la fin de l’orchestre et donne naissance à deux groupes concurrents : les « Irréductibles » du style New Orleans de Guy Wormser et les « Aficionados » du cool jazz et du be-bop menés par Sacha Distel. En rencontrant Hubert Damisch, saxophoniste et fan de cool jazz (devenu depuis un historien de l'art), Sacha Distel monte le groupe qui lui permet d’entrer dans la cour des grands. Avec l’aide de Jean-Marie Ingrand (bassiste), Mimi Perrin (pianiste) et Jean-Louis Viale (batterie), ils décrochent à la Nuit du jazz du Coliséum le prix du meilleur petit orchestre moderne[8] (Hubert Damisch et Sacha Distel récoltant, quant à eux, des prix en tant que saxophoniste ténor et guitariste). Le café-restaurant Sully d’Auteuil les engage pour jouer tous les samedis après-midi, Jean-Louis Durand lui propose de l’accompagner pour une tournée en Bretagne. Pour Sacha Distel, une fois obtenu le baccalauréat, c’est le début de la carrière de musicien, qui commence l’année d’après. Il a 19 ans lorsque Ray Ventura l'expédie à New York, où il achète une guitare électrique, pour y apprendre l'anglais et découvrir le métier d'éditeur musical[23]. Il revient des États-Unis ivre de jazz, tout pétri de la musique noire du Birdland et de Greenwich Village. Il en rapporte aussi une guitare électrique. Lors de ce séjour, il a fréquenté Audrey Hepburn[24].
À son retour, il commence par être guitariste de jazz dans les boîtes de Saint-Germain-des-Prés et du Quartier latin, notamment le Caveau de la Huchette. En 1955, il enregistre avec Lionel Hampton l'album French New Sound et avec John Lewis, le pianiste du Modern Jazz Quartet, Afternoon in Paris[8],[note 1]. En 1956, Sacha Distel est considéré comme l'un des meilleurs guitaristes de jazz français[19]. Il joue avec Stéphane Grappelli, Roger Guérin, Bernard Vitet, Maurice Vander, Michel Portal, et bien d'autres. Il accompagne Juliette Gréco, Sarah Vaughan et découvre Frank Sinatra.
Chanteur et homme du show business
Scoubidou et autres succès
Ce travail d'accompagnateur de chanteurs l'encourage à se lancer lui-même dans la chanson. Le titre Scoubidou le lance définitivement en 1959[25]. Ce titre est au départ une pochade introduite dans un récital présenté au Casino d'Alger, en , avec un trio de jazz. Le refrain, « Des pommes, des poires et des scoubidous-bidous », inspiré du scat « shoo-bee-doo-be-doo »[26], devient rapidement populaire[27].
La Belle Vie
En 1961, une mélodie, Marina (La Belle Vie) que Sacha Distel compose à la demande de Roger Vadim pour l'un des sketches du film Les Sept Péchés capitaux rencontre un beau succès[note 2]. Les succès s'enchaînent : Personnalités en 1959, Mon Beau Chapeau en 1960[note 3], puis Quand on s'est connus.
Consécration
Sacha Distel vit une idylle de l'été 1958 au printemps 1959 avec Brigitte Bardot, rencontrée une première fois en 1956 dans le studio musical à Paris rue rue Jean-Giraudoux après le tournage de Et Dieu... créa la femme dont il est chargé de surveiller l'enregistrement de la bande sonore du film[28].
Couronné en 1959 par le Grand Prix de l'Académie Charles-Cros, il débute à l'écran dans le film Les Mordus de René Jolivet. Pendant le milieu des années 1960 et la période yé-yé en France, Sacha Distel se fait discret sur les scènes hexagonales et se construit avec succès une carrière internationale. Il est très apprécié dans les pays anglo-saxons. Il s'investit également comme animateur à la télévision française[29],[30]. À partir de 1963 (et jusqu'en 1971), il anime des émissions de variétés à la télévision, notamment les Sacha Show de Maritie et Gilbert Carpentier, émission qui avait notamment pour auteurs Serge Gainsbourg et Jean Yanne. Il chante entre autres avec Joe Dassin L'équipe à Jojo (1970), Henri Salvador, Mireille Mathieu et Joe Dassin dans un pastiche des Platters où ils interprètent la chanson Only You dans les années 1970[réf. nécessaire].

En 1960, Europe 1 dirige une enquête sur les goûts musicaux des jeunes. Ce dernier confirme la popularité de Sacha Distel auprès de vingt-six mille auditeurs entre 13 et 24 ans, puisque ce dernier arrive en tête du sondage[31].
Durant la décennie 1960, il connaît le succès avec deux titres cha-cha, Monsieur Cannibale et Scandale dans la famille, ainsi que L'Incendie à Rio, sous forme de samba de carnaval[20], se constituant un répertoire léger avec des chansons humoristiques, sans quitter son rôle de crooner. Sa version française de Toute la pluie tombe sur moi (chanson du film Butch Cassidy et le Kid) s'écoule à plus de 100 000 exemplaires en 1970[32].
En 1971, il interprète un rôle important dans le film de Philippe Labro Sans mobile apparent, mais ne reçoit pas ensuite de propositions d'autres films au cinéma.
Durant la décennie 1960, il change trois fois de maison de disques : Philips (1959-63), RCA (1963-66), Pathé-Marconi (1966-1974).
Succès et baisse de popularité
Dans les années 1970 et 1980, il connaît encore de beaux succès. Ses principaux tubes sont Ma première guitare (1972), Le soleil de ma vie (en duo avec Brigitte Bardot (1973), Accroche un ruban (1973), La vieille dame (1974), Vite chérie, vite (1975), Pour une nuit avec toi (1975), Toutes les mêmes (1976), Baby Star (1976), Le père de Sylvia (1976), Le Bateau blanc (1980), Ma femme (1982)[33]. Voulant moderniser son image et estimant que sa production est mal exploitée par Pathé Marconi[34], il signe pour la distribution chez Disques Carrère en 1975. Il doit encore par contrat un 33 tours à Pathé Marconi, et enregistre en un seul jour le 26 novembre 1974[35] un album de chansons brésiliennes, Un amour, un sourire, une fleur pour lequel il ne fait aucune promotion. (Au Royaume-Uni, le titre Toute la pluie tombe sur moi (Raindrops keep falling on my head) atteint la 10e place des ventes[36]. Il rechante sur scène avec Ray Ventura Qu'est-ce qu'on attend pour être heureux, dans les années 1970[37].
En 1978, il tente de suivre la vague disco comme Dalida et Claude François. Il sort l'album Forever and ever où il reprend la chanson Venus[38] , titre de 1969 de Shocking Blue, repris aussi par Bananarama.
Malgré de nombreux 45 tours et albums sortis sous le label Carrère, il peine à retrouver le succès des deux décennies précédentes. Ainsi, malgré la collaboration de Serge Gainsbourg et Claude Nougaro, l'album de mai 1980 Musique et couleurs[39] ne rencontre qu'un succès d'estime. Il retrouve les faveurs du public avec le 45 tours Le bateau blanc sorti en décembre 1980.
Les deux albums suivants, Venise (1983) et Et je pense à toi (1985, ce dernier contenant des titres inédits de Jacques Brel, Les crocodiles, et de Georges Brassens, Le myosotis), ne lui permettent pas de retrouver un écho plus favorable.
Il produit et anime ensuite l'émission La Belle Vie sur TF1, de 1984 à 1985[40].
Le à 3h20 du matin, au volant de sa Porsche 924 Carrera GT, il perd le contrôle de son véhicule et a un accident de la route sur la RN 7 dans la traversée du hameau de Maltaverne (commune de Tracy-sur-Loire, à proximité de Cosne-sur-Loire). Sa passagère, l'actrice Chantal Nobel, alors héroïne du feuilleton télévisuel Châteauvallon, est grièvement blessée, et restera handicapée à vie. Sacha Distel, légèrement blessé à la tête, est condamné à un an de prison avec sursis, pour blessures involontaires[41],[42].
Ses albums suivants, Jazzy (1988)[43] et Dédicaces (1992, dans lequel il reprend des succès de la chanson française), passent inaperçus.
En , il présente en direct sur FR3 l'élection de Miss France 1989[44]
Reprise des succès de Ray Ventura
Revenant à nouveau aux succès de Ray Ventura, Sacha Distel enregistre en 1993, à l'instar du Grand Orchestre du Splendid en 1977, un disque complet des reprises des chansons de son oncle, avec la participation d'Henri Salvador, Paul Misraki, Salvatore Adamo, Michel Fugain, Philippe Lavil, Guy Marchand, Francis Perrin, Claude Brasseur, Jean-Pierre Foucault, Michel Legrand, Gérard Holtz, Michel Drucker, Enrico Macias, Christian Morin, Popeck, Jean-Pierre Cassel, Darry Cowl, Jacques Martin, Carlos, Sim et Stéphane Grapelli[45]. Il sort deux albums, l'un en 1993 Sacha Distel et ses collégiens jouent Ray Ventura, l'autre Swinguer la vie (1995).
En 1998, il sort un nouvel album Ecoute mes yeux qui passe totalement inaperçu.
Fin de carrière
Il tient le rôle principal dans la comédie musicale Chicago à Londres en 2001. En 2003, il tente un autre retour dans la chanson française avec un double CD, En vers et contre vous, recueil de mélodies jazzy associant de nouvelles compositions et des reprises de standards[46], sans grand succès[30].
Mort
Sacha Distel meurt le à l'âge de 71 ans des suites d'un cancer du côlon[30],[47]. Il avait survécu précédemment à un cancer de la peau et à un cancer de la glande thyroïde[48]. Il repose dans la crypte familiale de la propriété de ses beaux-parents au Rayol-Canadel[49].
Vie privée

Par son charme et son physique de play boy, Sacha Distel a eu de très nombreuses aventures sentimentales, notamment avec Juliette Gréco, Jeanne Moreau, Brigitte Bardot et Annette Stroyberg. En 1961, il rencontre Francine Bréaud (7 juin 1934 - 29 décembre 2024[50]), championne de ski, qu'il épouse en 1963, à Megève, avec laquelle il a deux fils, Laurent en 1964, et Julien en 1967[40].
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Hommages et références
En a lieu au Palais des sports la première de Hit Parade, comédie musicale rendant hommage aux titres de Claude François, Dalida, Mike Brant et Sacha Distel.
En novembre 2021 sort un album d'une nouvelle formation des collégiens, Hommage à Ray Ventura et Sacha Distel avec un titre inédit de Sacha Tu ressembles à Paris, paroles de Claude Lemesle, musique de Sacha Distel[51].
Références littéraires
- Sacha Distel et Henri Salvador sont les deux seuls chanteurs de variété française à figurer dans le Dictionnaire du Jazz[52], chacun ayant bien connu Ray Ventura, Sacha Distel étant son neveu et Henri Salvador chanteur à ses débuts dans son orchestre.
- « Je me souviens de l'époque où Sacha Distel était guitariste de jazz. » - Je me souviens, 50, Georges Perec.
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Discographie jazz
Enregistrements :
- Night in Tunisia (avec Jaspar, 1955)
- Crazy Rhythm (avec Lionel Hampton, 1955)
- Modern jazz au club St-Germain (avec Bobby Jaspar, 1955)
- Afternoon in Paris (avec John Lewis, 1956)
- Two Guitar Blues (avec Jean-Pierre Sasson, 1956)
- Sacha Distel: Jazz d'aujourd'hui (avec Billy Byers, 1956)
- Olympia Orgy
- On serait des chats
- Round about Midnight
- N° 1 for Sacha
- Thanks Bill
- Avec ces yeux-là
- A piece of pizza
- Blues for Tiny
- Bobby Jaspar & Sacha Distel quintette (1957)
- Scotch Bop
- Everything happens to me
- Competition
- Sacha, Bill et Bobby
- No Sad Song for Sacha
- Stop and Go
- Hubert Fol & Sacha Distel Quintette : Jazz Boom (1954)
- Half Nelson
- I'll Remember April
- Sacha Distel : Les 7 Péchés capitaux / L'orgueil (1961)
- Marina
- Blue waltz de l'orgueil
- Sacha Distel: Back to jazz with Slide Hampton (1968)
- Felicidade
- The Good Life
- The Girl from Ipanema
- Francine
- Bird
- Living room
- Who can tell me why?
- Saki
- My guitar and all that jazz (1983)
- My Own Blues (1983)
- Jazz sur la Croisette (compilation avec Sacha Distel lors du Jazz festival de Cannes en 1958) - (INA Mémoire vive / Abeille Musique)
Quelques-unes de ses chansons à succès
- Scoubidou (des pommes, des poires...) (1959)
- Oh ! Quelle nuit
- La Belle Vie (aussi connue sous le titre anglais The Good Life) (1964)
- Ces mots stupides (1965) (en duo avec Joanna Shimkus)
- Scandale dans la famille (1965)
- La Petite Puce (mai 1966)
- Les Perroquets (mai 1966)
- L'Incendie à Rio (octobre 1966)
- Rebecca et moi (octobre 1966)
- Y en a qui font ça (octobre 1966)
- Monsieur Cannibale (1966)
- Elles sont futées (1966)
- La pétanque (1969)
- Toute la pluie tombe sur moi (1970)
- Ma première guitare (1972)
- Le Soleil de ma vie (en duo avec Brigitte Bardot) (1973)
- Accroche un ruban (1973)
- La vieille dame (1974)
- Pour une nuit avec toi (1975)
- Vite Chérie vite (1975)
- Toutes les mêmes (1976)
- Le père de Sylvia (1977)
- Le Bateau blanc (1980)
Singles
- La Mer (1991)
- Mesquita (1990)
- Michael et Raïssa (1989)
- Jazzy nostalgie (1988)
- Desperado (1986)
- Viva les bleus (1986)
- Jack et Jo (1985)
- Toi et moi ça ressemble à l'amour (1984)
- Je t'appelle pour te dire je t’aime (1984)
- Venise (1983)
- Parce que je t'aime (1983)
- Donne-moi la main encore (1982)
- Ma femme (1982)
- Le Soleil n'est jamais démodé (Toutes griffes dehors) (1982)
- Scoubidou (1981)
- Tu es sur ma liste (1981)
- Le Bateau blanc (1980)
- On n'est pas des grenouilles (1980)
- On ne peut plus se cacher (1979)
- Une fille beaucoup trop belle (1979)
- Venus (1978)
- Forever and Ever (1978)
- Fou d'amour (1978)
- Pour tes beaux yeux (1977)
- La Porte d'en face (1977)
- Pour une nuit avec toi (1976)
- Toutes les mêmes (1976)
- Babystar (1976)
- Vite chérie vite (1975)
- Quand on a une belle fille, on la garde pour soi (1975)
- Le voyage à Venise (1974)
- La vieille dame (1974)
- Accroche un ruban (1973)
- Le soleil de ma vie (1973) avec Brigitte Bardot
- Ainsi soit-il (1973)
- Wakadou Wakadé (1972)
- Chanson bleue (1972)
- Missié Missié (1972)
- C'est les vacances (1971)
- Moi j'aime pas ça (1971)
- Quand il y en a pour deux il y en a pour trois (1970)
- La Souris et le Rat (1970)
- Amour perdu (1970)
- Ça marche (1969)
- Fi...l...fi c'est fini (1969)
- Les bateaux s'en vont si loin (1969)
- La Pétanque (1969)
- Roméo et Juliette (1968)
- Allez donc vous faire bronzer (1968)
- Quel calamidad el amor (1968)
- Ces mots stupides (1967)
- Les Moustaches (1967)
- Sacha show (1966)
- La Petite Puce (1966)
- L'Incendie à Rio (1966)
- Petit oiseau bleu (1965)
- Chacun garde dans son cœur (1965)
- Love (1965)
- Scoubidou (1965)
- Scandale dans la famille (1965)
- La Chanson orientale (1964)
- Je sais que je t'aime (1964)
- Il tient le monde (1964)
- C'est pas vrai (1963)
- La la song (1963)
- Nous irons à Deauville (1963)
- Bossa nova (1962)
- L'Orgueil (1962)
- J'ai un rendez-vous (1962)
- Loin de toi (1962)
- Les Crocodiles (1962)
- Caterina (1962)
- Guitare et copains (1962)
- Le Boogie du bébé (1961)
- Madam' Madam' (1961)
- Samedi soir (1961)
- Personnalités (1959)
- Succès (1960)
- Mon beau chapeau (1960)
- Les Mordus (1960)
- Bye bye baby (1960)
- Gigi (1959)
- Sacha Distel à la guitare avec John Lewis (1959)
- Garde ça pour toi (1959)
- Scoubidou (1959)
- Altitude 10.500 (1959)
- Hommage à Django (1959)
- Oui oui oui oui (1959)
- Brigitte (1958)
- Sacha Distel chante (1957)
Albums[53]
- Jazz d'aujourd'hui (1956)
- Afternoon in Paris (avec John Lewis, 1956)
- Sacha Distel chante (1957)
- Gigi (avec Maurice Chevalier, Jane Marken et Marie-France (actrice)) (1959)
- En personne (1959)
- Danse party chez Sacha Distel (1959)
- Sacha N°2 (1960)
- Sacha Distel N°3 (1961)
- Everybody loves the lover (1961)
- From Paris with love (1962)
- Caterina (1962)
- Les filles moi j'aime ça (1963)
- Sacha Distel à l'Olympia (1963)
- Chacun garde dans son coeur (1964)
- Der vagabund aus Paris (1964)
- Sacha Distel (Et nous aussi mon frère) (1965)
- L.O.V.E. (1965)
- Sacha show à l'Olympia (1966)
- Sacha Distel (Signor Cannibale) (1966)
- Sacha show (1967)
- Noël (1968) réédité en CD en 1996 sous le titre Sacha Distel chante Noël
- Back to jazz with Slide Hampton (1969)
- The Good life (1969)
- Sacha Distel (La pétanque) (1969)
- Sacha Distel (Raindrops keep falling on my head) (1970)
- Close to you (1970)
- Andrew Fenner, Sacha Distel (1970)
- Sacha Distel (Amour perdu, Comme moi) (1971)
- More and more (1971)
- Chansons pour toi, album 73 (1973)
- La musique et l'amour (1973)
- Love music (1973)
- Pour une nuit avec toi (1975)
- Un amour, un sourire, une fleur (1975)
- Love is all (1976)
- Le père de Sylvia (1976)
- Forever and ever (1978)
- Star Discothek Sacha Distel (1978)
- From Sacha with love (1979)
- Musique et couleurs (1980)
- Julien Distel et Sacha : Scoubidou (1981)
- Sacha Distel (Perbacco disse bacco) (1982)
- My guitar and all that jazz (1983)
- Venise (1983)
- Move closer (1985)
- Et je pense à toi (1985)
- Jazzy (1988)
- Dédicaces (1992)
- Sacha Distel et ses collégiens jouent Ray Ventura (1993)
- Sacha Distel et ses collégiens - Swinger la vie (1995)
- Ecoute mes yeux (1998)
- Envers et contre vous/But beautiful (2003)
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Filmographie
En plus de cinquante ans de carrière, quelques films et des dizaines de shows télévisés.
- 1953 : Femmes de Paris de Jean Boyer (apparition, membre de l'orchestre de Ray Ventura)
- 1960 : Les Mordus de René Jolivet : Bernard
- 1960 : Zazie dans le métro de Louis Malle (apparition au sortir d'une colonne Morris)
- 1961 : Aimez-vous Brahms... (Goodbye Again) : dans son propre rôle
- 1962 : Les Sept Péchés capitaux (sketch : L'orgueil) de Claude Chabrol (Uniquement musique)
- 1962 : Nous irons à Deauville de Francis Rigaud : dans son propre rôle
- 1964 : La Bonne Soupe de Robert Thomas : Roger
- 1964 : La Bonne Occase de Michel Drach : dans son propre rôle
- 1970 : Le Voyou de Claude Lelouch : dans son propre rôle
- 1971 : Sans mobile apparent de Philippe Labro : Julien Sabirnou
- 1995 : Drôle de Noël pour Jeremy ! de François Hanss et Jérôme Revon (téléfilm musical diffusé le 24 décembre 1995) : dans son propre rôle
- 2001 : Absolutely Fabulous de Jennifer Saunders et Dawn French (série télévisée) (épisode : Paris) : dans son propre rôle[54]
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Autobiographies
- Sacha Distel, Les pendules à l'heure, Paris, Carrère, , 365 p. (OCLC 17711474)
- Sacha Distel, Profession musicien, Éditions de la Martinière, , 334 p.. Le livre est inachevé par la mort de l'artiste, mais publié avec une préface de la famille.
- Francine Distel, L'amour n'est pas si simple, Jean-Claude Lattes, , 232 p.. Ce livre complète la biographie de son mari inachevée par son décès.
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Notes et références
Voir aussi
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