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Sylvanès

commune française du département de l'Aveyron De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Sylvanès (Salvanez en occitan)[1] est une commune française située dans le département de l'Aveyron en région Occitanie.

Faits en bref Administration, Pays ...
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Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : l'abbaye de Sylvanès, classée en 1862.

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Géographie

Résumé
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Localisation

Sylvanès est situé dans le sud du département de l'Aveyron à 432 mètres d'altitude dans les contreforts des Monts de Lacaune au bord du ruisseau des Prats.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Camarès, Fayet, Gissac, Montagnol et Saint-Félix-de-Sorgues.

Communes limitrophes de Sylvanès
Gissac Saint-Félix-de-Sorgues
Camarès Thumb Montagnol
Fayet

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Sylvanès.

La commune est drainée par le Dourdou de Camarès, la Nuéjouls, le Cabot, le ruisseau de Prugnes, le ruisseau de Carrière Escure, le ruisseau de la Bataille, le ruisseau de la Combe, le ruisseau de Pessales, le ruisseau de Promillac, le ruisseau des Vernhes, le ruisseau du Fajas, le ruisseau du Mas Nau et par divers petits cours d'eau[2].

Le Dourdou de Camarès, d'une longueur totale de 86,8 km, prend sa source dans la commune de Murat-sur-Vèbre (81) et se jette dans le Tarn à Saint-Izaire, après avoir arrosé 13 communes[3].

La Nuéjouls, d'une longueur totale de 31,2 km, prend sa source dans la commune de Mélagues et se jette dans le Dourdou de Camarès à Sylvanès, après avoir arrosé 5 communes[4].

Le Cabot, d'une longueur totale de 10,3 km, prend sa source dans la commune de Montagnol et se jette dans la Nuéjouls à Sylvanès, après avoir arrosé 3 communes[5].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 040 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Brusque à km à vol d'oiseau[8], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 103,3 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Milieux naturels et biodiversité

Espaces protégés

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12]. Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé, le Parc naturel régional des Grands Causses, créé en 1995 et d'une superficie de 327 937 ha, s'étend sur 97 communes. Ce territoire rural habité, reconnu au niveau national pour sa forte valeur patrimoniale et paysagère, s’organise autour d’un projet concerté de développement durable, fondé sur la protection et la valorisation de son patrimoine[13],[14],[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Carte de la ZNIEFF de type 2 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Sylvanès comprend une ZNIEFF de type 2[Note 1],[16], le « Rougier de Camarès » (56 714 ha), qui s'étend sur 33 communes dont 32 dans l'Aveyron et 1 dans l'Hérault[17].

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Urbanisme

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Typologie

Au , Sylvanès est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[18]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[19],[20].

Occupation des sols

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Infrastructures et occupation des sols de la commune de Sylvanès.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (57,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (57,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (57,7 %), zones agricoles hétérogènes (37,4 %), prairies (4,9 %)[21].

Planification

La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Parc naturel régional des Grands Causses, approuvé le vendredi par le comité syndical et mis à l’enquête publique en décembre 2019. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural du PNR des Grands Causses, qui associe huit communautés de communes, notamment la communauté de communes Monts, Rance et Rougier, dont la commune est membre[22].

La commune disposait en 2017 d'un plan local d'urbanisme en révision[23]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[24].

Risques majeurs

Le territoire de la commune de Sylvanès est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques particuliers, les risques radon et minier[25],[26].

Risques naturels

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Zones inondables de la commune de Sylvanès.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement du Dourdou de Camarès. Les dernières grandes crues historiques, ayant touché plusieurs parties du département, remontent aux 3 et (dans les bassins du Lot, de l'Aveyron, du Viaur et du Tarn) et au (bassins de la Sorgues et du Dourdou)[27]. Ce risque est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du Plan de prévention du risque inondation (PPRI) du bassin du « Dourdou de Camarès amont»[28], approuvé le 6 décembre 2012[29].

Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité forte[30].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont liés à la présence de cavités souterraines localisées sur la commune[31],[32].

Risques particuliers

La commune est concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[33].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon le dossier départemental des risques majeurs du département établi en 2013, la commune de Sylvanès est classée à risque moyen à élevé[34]. Un décret du a modifié la terminologie du zonage définie dans le code de la santé publique[35] et a été complété par un arrêté du portant délimitation des zones à potentiel radon du territoire français. La commune est désormais en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[36].

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Histoire

En 1136, Pons de L'Héras, assassin et voleur converti, fonde l'abbaye de Sylvanès qui connut une grande prospérité jusqu'au XVIe siècle. À la Révolution, l'abbaye fut définitivement désertée par la communauté monastique restante. En 1800 et jusqu'au début des années 1930, la commune est regroupée avec celle de Montagnol. L'abbaye servit de bergerie jusqu'en 1977 où elle fut restaurée pour devenir un centre spirituel et culturel. En 1994, l'Église de l'Étimasis est reconstruite sur le territoire de la commune.

Politique et administration

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Découpage territorial

La commune de Sylvanès est membre de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Belmont-sur-Rance. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[37].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Millau, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton des Causses-Rougiers pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la troisième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[38].

Élections municipales et communautaires

Élections de 2020

Le conseil municipal de Sylvanès, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[39] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[40]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 11. La totalité des onze candidats en lice[41] est élue dès le premier tour, le , avec un taux de participation de 73,28 %[42]. Michel Wolkowicki, maire sortant, est réélu pour un nouveau mandat le [43].

Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[44]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Monts, Rance et Rougier[45].

Liste des maires

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Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[48]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[49].

En 2022, la commune comptait 116 habitants[Note 2], en évolution de +6,42 % par rapport à 2016 (Aveyron : +0,37 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Davantage d’informations - ...
Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866
439385404415407420407429429
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
445503405382377407409408406
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
329310288273215205159144109
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique
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Économie

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Emploi

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En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 59 personnes, parmi lesquelles on compte 74,6 % d'actifs (72,9 % ayant un emploi et 1,7 % de chômeurs) et 25,4 % d'inactifs[Note 3],[I 2]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et département, alors qu'en 2008 il était supérieur à celui du département et inférieur à celui de la France.

La commune est hors attraction des villes[Carte 1],[I 5]. Elle compte 44 emplois en 2018, contre 49 en 2013 et 46 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 47, soit un indicateur de concentration d'emploi de 93,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,6 %[I 6].

Sur ces 47 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 31 travaillent dans la commune, soit 66 % des habitants[I 7]. Pour se rendre au travail, 63,8 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 34 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 8].

Activités hors agriculture

8 établissements[Note 4] sont implantés à Sylvanès au [I 9]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 50 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 8 entreprises implantées à Sylvanès), contre 27,5 % au niveau départemental[I 10].

Agriculture

1988200020102020
Exploitations13878
SAU[Note 5] (ha)715694599568

La commune est dans les Monts de Lacaune, une petite région agricole occupant le sud du département de l'Aveyron[52]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 6] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 2]. Huit exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 7] (13 en 1988). La superficie agricole utilisée est de 568 ha[54],[Carte 3],[Carte 4].

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Culture locale et patrimoine

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Patrimoine religieux

Abbaye de Sylvanès

L'abbaye de Sylvanès est une construction cistercienne bâtie à partir de 1136 par Pons de l'Héras, située non loin de Camarès et de Belmont-sur-Rance, dans l'ancien diocèse de Vabres. Après un siècle et demi de rayonnement, l'abbaye sombre dans une longue période de décadence. Abandonnée à la Révolution, seule l'église et l'aile est du cloître furent sauvegardées. Classée monument historique en 1862, il faudra attendre 1975 et l'arrivée du père dominicain et compositeur André Gouzes, ainsi que de Michel Wolkowitsky, actuel directeur, pour voir l'abbaye relevée de ses ruines.

Logo monument historique Classée MH (1862)[55]

Église russe orthodoxe de l'Hétimasie

Située à 4,5 km de Sylvanès (43° 49′ 23″ N, 2° 58′ 10″ E), l'église russe orthodoxe de l'Hétimasie du Trône[56] a été construite en bois en octobre 1994 à la demande du Père André Gouzes. L'église est assemblée durant l'hiver 1993-94 dans la forêt de Kirov, à 790 km au nord-est de Moscou, selon une ancienne technique russe qui ne nécessite ni clou ni cheville puis elle est démontée et acheminée par train, camions et tracteurs et remontée sur son emplacement actuel. La SNCF a pris en charge la moitié du coût du transport entre la Russie et la gare de Millau. Cette église est le sujet d'un court-métrage de Vladimir Kozlov intitulé La petite sœur russe de Sylvanès.

Patrimoine naturel

  • Source minérale ferrugineuse.

Patrimoine culturel

Aujourd'hui, l'Abbaye de Sylvanès est devenue un Centre de renommée internationale qui propose d'importantes rencontres culturelles, spirituelles et musicales.

Bibliographie

  • (la) Pierre-Aloïs Verlaguet (Éditeur scientifique), Cartulaire de l'abbaye de Silvanès, Rodez, Commission des archives historiques du Rouergue, coll. « Archives historiques du Rouergue » (no 1), , XCVI-638 p., fac-sim. ; in-8° (ISSN 1245-9747, BNF 34130812)Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Geneviève Durand, L'Abbaye de Sylvanès : guide du visiteur, Carcassonne, Centre d'archéologie médiévale du Languedoc, coll. « Abbayes médiévales du Languedoc : Aveyron », , 31 p., ill. en noir et en coul., couv. ill. en coul. ; 21 cm (ISSN 0758-8305, BNF 34771800)Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Robert Aussibal, André Gouzes et André Kumurdjian (Photographe), Sylvanès, Saint-Georges-de-Luzençon, Éd. du Beffroi, coll. « Tourisme et culture en Aveyron », , 40 p., ill. en coul., couv. ill. en coul. ; 22 cm (ISBN 2-908123-05-3, ISSN 1242-5052, BNF 35551966)Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • André Gouzes et René Poujol (Collaborateur), Sylvanès : histoire d'une passion, Paris, Desclée de Brouwer, coll. « Le temps d'une vie », , 158 p., ill., couv. ill. en coul. ; 22 cm (ISBN 2-220-03194-2, ISSN 0763-5699, BNF 35413601)Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Paul Castaing, L'Église russe orthodoxe de Sylvanès, Aveyron : Église de l'Unité, l'Hétimasie du Trône, Camarès, les Éd. de l'Abbaye de Sylvanès, , 58 p., ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN 2-910248-10-0, BNF 37029430)Document utilisé pour la rédaction de l’article
  • Robert Aussibal, L'Abbaye de Sylvanès : architecture et symbolisme, Camarès, Abbaye de Sylvanès, Association des amis de l'Abbaye de Sylvanès, coll. « Les cahiers de l'Abbaye de Sylvanès » (no 4), , 176 p., ill., couv. ill. ; 24 cm (ISSN 1960-0186, BNF 35725830)
  • Ginette Bourgeois et Alain Douzou, Une aventure spirituelle dans le Rouergue méridional au Moyen âge : ermites et cisterciens à Silvanès (1120-1477), Paris, les Éd. du Cerf, coll. « Histoire », , 255 p., ill., couv. ill. en coul. ; 24 cm (ISBN 2-204-06186-7, ISSN 0769-2633, BNF 37075132)
  • Michel Wolkowitsky et René Poujol (préf. Frère André Gouzes), Sylvanès, l'aventure d'une vie : entretiens avec René Poujol, Paris, Desclée de Brouwer, , 252 p., couv. ill. en coul. ; 21 cm (ISBN 978-2-220-06328-7, BNF 42464811)
  • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. M. le Conseiller général), Lo Pont : Arnac, Brusca, Faiet, Gissac, Melagas, Montanhòl, Pèus-e-Cofolèus, Silvanés, Tauriac / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de Camarés, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 320 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-50-5, ISSN 1151-8375, BNF 37657611)

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Notes et références

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