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Tirreno-Adriatico 2010
édition 2010 de Tirreno-Adriatico, course cycliste italienne De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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La 45e édition de Tirreno-Adriatico a eu lieu du 10 au . Il s'agit de la troisième épreuve du Calendrier mondial UCI 2010, après le Tour Down Under et Paris-Nice. L'Italien Stefano Garzelli (Acqua & Sapone) remporte l'épreuve pour la première fois, grâce à deux secondes gagnées lors des sprints intermédiaires de la dernière étape. Il termine dans le même temps que le vainqueur sortant, l'Italien Michele Scarponi, mais ils sont départagés avec le classement par points.
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Présentation
Résumé
Contexte
Participants
Équipes
Vingt-deux équipes participent à ce Tirreno-Adriatico, dont cinq équipes continentales professionnelles (Acqua & Sapone, Androni Giocattoli, CSF Group Navigare, ISD-Neri et Cervélo TestTeam)[1] :
Favoris
Si, pour certains, comme Franco Pellizotti, Vincenzo Nibali (Liquigas-Doimo), Cadel Evans (BMC Racing) et Andy Schleck (Saxo Bank), Tirreno-Adriatico est une course par étape de reprise (tout comme Paris-Nice, dont la 68e édition se tient au même moment), pour d'autres, ce n'est pas le cas. En effet, Alessandro Ballan (BMC Racing), Tom Boonen (Quick Step), Óscar Freire (Rabobank), Fabian Cancellara (Saxo Bank), Mark Cavendish (HTC-Columbia), Alessandro Petacchi (Lampre-Farnese Vini), Filippo Pozzato (Katusha), Edvald Boasson Hagen (Sky), Thor Hushovd (Cervélo TestTeam), Tyler Farrar (Garmin-Transitions) et Daniele Bennati (Liquigas-Doimo) voient en cette course une excellent préparation pour la saison des classiques (notamment Milan-San Remo)[2],[3].
Parcours
La course des deux mers partira de la Toscane avant de se terminer dans les régions plus "traditionnelles", l'Ombrie et les Marches[4].
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Récit de la course
Parcours et résultats
Classements finals
Classement général
Classements annexes
Autre classement
- Classement du fair-play (le vainqueur porte un maillot bleu, proche de celui de la Squadra)
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Résultats des étapes
Résumé
Contexte
1re étape
Cette étape de 148 km comprend deux Grands Prix de la montagne, le Rosigno Maritimo (km 79,5) et le Nibbiala (km 98,6), un sprint intermédiaire au km 129,9 et un final vallonné[5].
Dmytro Grabovskyy (ISD-Neri) s'échappe au km 12. Malgré ses 4' d'avance à 25 km de l'arrivée, il est repris à 15 km de la ligne par un peloton en décomposition, dont le rythme élevé a notamment lâché Mark Cavendish (HTC-Columbia). Pablo Urtasun (Euskaltel-Euskadi) attaque. Il est suivi par Niki Terpstra (Milram). Peu après que les 2 hommes soient repris par un peloton emmené par le Sky, Matti Breschel (Saxo Bank), Luca Paolini (Acqua & Sapone), Linus Gerdemann (Milram) et Pablo Lastras (Caisse d'Épargne) s'extirpent du peloton. Ils resistent aux équipes de sprinteurs et se disputent la victoire. Linus Gerdemann se montre le plus fort. Sa pointe de vitesse permet à l'Allemand de s'emparer du maillot bleu de leader.
2e étape
Cette étape part de Montecatini Terme, passe par un sprint intermédiaire au km 66,5 et un grand prix de la montagne, dont le sommet est au km 83,2, revient à Montecatini Terme pour un circuit autour de la ville d'un peu moins de 15 km comprenant une ascension (répertoriéé seulement lors du dernier tour). Cette étape devait sourire à un sprinteur, mais présentait une réelle chance pour les puncheurs[6].
3e étape
Cette étape, longue de 159 km, est difficile à accrocher pour les sprinteurs, puisqu'elle comprend l'enchaînement Papi-San Baronto.
L'Italien Daniele Bennati remporte l'étape et prend la tête du classement général[7].
4e étape
Avec cette étape se présente comme la première véritable occasion pour les leaders de créer des écarts au général. En effet, les 60 derniers km sont un enchaînement de petites ascensions et de portions descendantes. Avec, notamment une ascension dont le sommet est au km 201,2, et une côte, longue de 4 km à 7 % de moyenne avec des passages à 19 %, dont le sommet est à environ 3,5 km de l'arrivée.
Michele Scarponi (Androni Giocattoli) fait coup double lors de cette quatrième étape, puisqu'il s'impose à Chieti et s'empare du maillot bleu de leader[8].
À noter que l'Italien Francesco Reda (Quick Step), a chuté et souffre d'une fracture de la clavicule droite.
5e étape
Cette étape constitue l'étape-reine de ce Tirreno-Adriatico. Au programme : du plat lors des 120-130 premiers km, puis trois cols, Forca di Presta, Frontignano et Le Arette. S'ensuivent une quarantaine de kilomètres en faux plats, aussi bien montants que descendants. La fin de cette étape ressemble à la phase finale des classiques ardennaises, c'est-à-dire quelques petites côtes aux pourcentages démentiels, appelées aussi murs, et une fin en faux plat montant.
L'étape est remportée par l'Italien Enrico Gasparotto[10].
6e étape
Le théâtre des dernières bagarres pour le général a lieu sur 134 km, sous la forme d'un circuit de 20 km à répéter quatre fois. Cette boucle comprend notamment l'enchaînement du mur Santa Maria del Monte et de la côte menant à Macerata. La première ascension fait 1,5 km à 9,5 % de moyenne, avec des passages à 16 %[11].
7e étape
La dernière étape est remportée par le Norvégien Edvald Boasson Hagen. Stefano Garzelli remporte finalement le classement général[12].
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Points UCI
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Évolution des classements
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Notes et références
Liens externes
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