Janvier: le roi Louis XI ordonne que chaque barbier, médecin ou chirurgien «ait chez soi, en manière de codex, le calendrier de l'année», principal instrument de l'astrologie médicale[1].
Par la même ordonnance, le roi Louis XI redonne aux barbiers l'autorisation de pratiquer les soins dentaires, qui leur avait été refusée à la demande des chirurgiens[2].
Le médecin et chirurgien ottomanSerafeddin Sabuncuoglu (1385-1468) compose son traité de chirurgie, le Cerraḥîyet-i İlḫânîye («Chirurgie impériale»), «dernière grande encyclopédie médicale du monde islamique[3]».
Pietro Barbier (né à une date inconnue), apothicaire à Trévise, piazza delle Erbe, fournisseur de plusieurs monastères et de l'hôpital Santa Maria dei Battuti de 1426 à sa mort[9].
Antonio Fasseto (né à une date inconnue), chirurgien de l'hôpital Santa Maria dei Battuti, futur hôpital civil(it) de Trévise[9].
1465-1467: Antonio Bernareggio (né à une date inconnue), médecin au service des ducs de Milan[10].
«La Faculté: Un peu d'histoire. Le Moyen Âge», sur le site de la faculté d'odontologie de l'université de Lorraine, s. d. [lire en ligne(page consultée le 23 avril 2018)].
Paul Delaunay, La Vie médicale aux XVIe, XVIIeetXVIIIesiècles, Genève, Slatkine Reprints, (1reéd. 1935), 556p. (ISBN2-05-101732-8, lire en ligne), p.15, 132, 253, 265 et 387.
(en) David Michael d'Andrea, Civic Christianity in Renaissance Italy: The Hospital of Treviso 1400-1530, Rochester, University of Rochester Press, coll.«Changing Perspective on Early Modern Europe» (no5), , 214p. (ISBN978-1-58046-239-6, ISSN1542-3905, lire en ligne), «Pietro Barbier», p.91, «Antonio Fasseto», p.90.
Marilyn Nicoud, Les Régimes de santé au Moyen Âge: Naissance et Diffusion d'une écriture médicale en Italie et en France (XIIIe – XVesiècle), vol.1, Rome/Paris, École française de Rome, , 1112p. (ISBN978-2-7283-0814-9, lire en ligne), p.564, n.165.