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2012 au Québec

événements survenus au Québec en 2012 De Wikipédia, l'encyclopédie libre

2012 au Québec
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Cet article traite des événements survenus en 2012 au Québec.

Faits en bref
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Événements

Janvier

Février

Mars

  • 24 mars : le député fédérale d'Outremont Thomas Mulcair est élu chef du NPD avec 57,2 % du vote contre l'ex-président du parti Brian Topp avec 42,8 % du vote lors du congrès à la chefferie à Toronto en Ontario[25].
  • 25 mars :
    • La ville de Québec et Québecor annoncent une entente finale sur la construction d'un amphithéâtre de 18 000 places au coût de 400 millions $. La construction commencera en septembre et durera trois ans[26].
    • Le chanteur Jean-Marc Couture remporte le grand prix de Star Académie de l'année[27].
  • 31 mars : quelque 600 résidents de Neuville se rassemblent devant l'hôtel de ville de cette municipalité afin de protester contre la construction d'un aérodrome sur une ancienne terre agricole[28].
  • Fin mars : malgré les manifestations étudiantes qui continuent quotidiennement, le gouvernement reste sur ses positions[29].

Avril

Mai

  • 1er mai :
    • Le salaire minimum monte de 25 cents à 9,90 $[45].
    • La FECQ et la FEUQ font une contre-proposition au gouvernement. Elles demandent entre autres le gel des frais de scolarité pour deux ans. Le gouvernement reçoit cette demande plutôt froidement[46].
  • 3 mai : le député et ancien ministre Tony Tomassi annonce sa démission[47].
  • 4 mai : les associations étudiantes dont la CLASSE sont conviées à de nouvelles négociations avec le gouvernement à Québec. Les trois principales centrales syndicales y sont également invitées. Pendant ce temps, à Victoriaville, une manifestation étudiante dégénère en émeute alors que débute le conseil national du Parti libéral du Québec au Centre des congrès de cette ville. Il y a 110 arrestations[48],[49].
  • 5 mai : après 23 heures de négociations, le gouvernement et les associations étudiantes en viennent à une entente de principe. La hausse des droits de scolarité est maintenue mais est compensée par une diminution des frais afférents[50].
  • 7 mai : ce jour et les jours suivants, les assemblées collégiales et universitaires votent en majorité contre l'entente de principe et pour la reconduction de la grève[51].
  • 10 mai : des bombes fumigènes sont posées dans le métro de Montréal, perturbant le réseau pendant plusieurs heures. Quatre suspects seront par la suite arrêtés[52].
  • 11 mai : à la suite de la CLASSE et de la FECQ, la FEUQ rejette l'entente de principe signée la semaine passée. Elle demande également un moratoire sur la hausse des droits de scolarité[53].
  • 12 mai : les États généraux sur la souveraineté commencent leur tournée à Salaberry-de-Valleyfield[54].
  • 14 mai : la ministre de l'Éducation, du Loisir et des Sports, Line Beauchamp, annonce son retrait de la vie politique. Michelle Courchesne lui succède tout en gardant la présidence Conseil du Trésor[55].
  • 15 mai : Michelle Courchesne rencontre les leaders des associations étudiantes. Elle dit constater un durcissement de leurs positions[56].
  • 17 mai : le gouvernement dépose le projet de Loi 78 qui suspend les sessions d'hiver menacées jusqu'au mois d'août et qui restreint sévèrement le droit de manifestation. Ce projet de loi a pour but de mettre fin au conflit étudiant qui perdure depuis février[57].
  • 18 mai : critiqué par les centrales syndicales et par le Barreau du Québec, le projet de loi 78 est adopté à l'Assemblée nationale par 68 voix contre 48. La Coalition avenir Québec vote pour. La Fédération étudiante collégiale du Québec (FECQ) et la Fédération étudiante universitaire du Québec (FEUQ) annoncent qu'elles contesteront en cour la validité de la loi[58].
  • 19 mai : une nouvelle manifestation nocturne tourne à l'émeute à Montréal. Il y a 69 arrestations[59].
  • 20 mai : une nouvelle manifestation a lieu à Montréal. Il y a cette fois plus de 300 arrestations[60].
  • 22 mai :
    • La commission Charbonneau, dont le but est d'enquêter sur la collusion et la corruption dans l'industrie de la construction, commence ses travaux[61].
    • Près de 250 000 personnes marchent dans les rues de Montréal pour commémorer le centième jour du conflit étudiant et pour protester contre la loi 78[62].
  • 24 mai : la Cour suprême du Canada annonce qu'elle entendra la cause du dessinateur Claude Robinson contre Cinar, France Animation, Ravensburger Film et RTV, accusés d'avoir plagié sa bande dessinée avec une série d'animation, Robinson Sucroë[63].
  • 28 mai : les négociations reprennent entre le gouvernement Charest et les fédérations étudiantes[64].
  • 31 mai : les négociations sont rompues[65].

Juin

Juillet

Août

Septembre

  • 20 septembre : lors de sa première conférence de presse en tant que première ministre, Pauline Marois annonce l'annulation de la hausse des droits de scolarité. Elle décrète également la fermeture de la centrale nucléaire de Gentilly-2[107].
  • 22 septembre : quelques centaines de personnes manifestent pour la gratuité scolaire à Montréal[108].
  • 23 septembre : un cardiologue de Saint-Jérôme, Dominique Ouimet, est porté disparu dans les Himalayas au Népal, à cause d'une avalanche, en ramassant des fonds pour la fondation de l'Hôpital régional de Saint-Jérôme[109].
  • 26 septembre : Louis Roy annonce qu'il démissionne de la présidence de la CSN. Il n'était à la tête du syndicat que depuis seize mois. Jacques Létourneau le remplace par intérim[110].
  • 28 septembre : Raymond Bachand se lance dans la course à la direction (en) du Parti libéral[111].
  • 29 septembre : dans un rapport obtenu par Le Devoir, Hydro-Québec recommande la fermeture de la centrale nucléaire de Gentilly-2[112].
  • 30 septembre : près de mille personnes manifestent à Bécancour contre la fermeture de la centrale nucléaire de Gentilly-2[113].

Octobre

Novembre

Décembre

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Naissances

Décès

Sources et références

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