Liste des drapeaux des régions et territoires français
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Les drapeaux des régions et territoires français sont pour l'essentiel basés sur les blasons des anciennes provinces de France mais ils n'ont pour la plupart pas de statut officiel, une grande partie des collectivités territoriales préférant utiliser des logotypes ou des drapeaux portant leur logotype.
Les drapeaux régionaux basés sur les armoiries traditionnelles, même non officiels, ont été utilisés en 2010 par la Monnaie de Paris pour une série de pièces de 10 € de collection[1].
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Régions métropolitaines
Résumé
Contexte
Les drapeaux utilisés par les conseils régionaux sont indiqués en grisé.
Davantage d’informations Région actuelle, Ancienne région ...
Initialement, le drapeau était composé du nouveau blason de la région imprimé sur fond blanc ()[2]; il est ensuite reproduit sous forme de drapeau héraldique en [3].
Gwenn ha Du («blanc et noir») Dessiné entre 1923 et 1925: l'hermine est celle du blason du duché de Bretagne, les neuf bandes symbolisent les pays qui composent la Bretagne.
Kroaz Du («croix noire») est l'un des drapeaux utilisés par les Bretons depuis le Moyen Âge, particulièrement comme pavillon maritime. Il existe plusieurs versions où la croix est accompagnée d'une ou plusieurs mouchetures d'hermine.
Basé sur le blason de l'Alsace. Il s'agit d'une fusion des armes de la Haute et de la Basse-Alsace. Une version juxtaposant les armes de la Haute et de la Basse-Alsace existe également.
Rot un Wiss («rouge et blanc») Couleurs traditionnelles de l'Alsace. Le drapeau du Reichsland d'Alsace-Lorraine y ajoute une croix de Lorraine.
Non officiel. Basé sur les couleurs panafricaines, il ressemble au drapeau du Suriname. Ce serait le poète militant Sonny Rupaire qui l'aurait crée en s'inspirant de l'origine africaine d'une majorité de la population guadeloupéenne. Il est utilisé principalement par des mouvements syndicaux, politiques ou culturels indépendantistes ou autonomistes. Il est également connu pour son utilisation par des artistes guadeloupéens, en opposition à celui basé sur les armoiries de la Guadeloupe, jugé d'origine coloniale.
Drapeaux français et indépendantiste kanak, ce dernier étant reconnu depuis 2010 aux côtés du premier, chacun étant chargé de représenter une des deux légitimités définies dans l'accord de Nouméa[11].