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Paris-Nice 2015

73e édition de Paris-Nice De Wikipédia, l'encyclopédie libre

Paris-Nice 2015
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La 73e édition de Paris-Nice a eu lieu du 8 au . C'est la deuxième épreuve de l'UCI World Tour 2015.

Faits en bref

L'épreuve a été remportée par l'Australien Richie Porte (Sky)[1], vainqueur de la quatrième étape[2] et du contre-la-montre final[3], qui s'impose devant le Polonais Michał Kwiatkowski (Etixx-Quick Step), lauréat du prologue[4], et le Slovène Simon Špilak (Katusha), tous les deux pour trente secondes mais départagés aux dixièmes de secondes.

Grâce notamment à sa victoire lors de la troisième étape[5], l'Australien Michael Matthews (Orica-GreenEDGE) remporte le classement par points[6] tandis que le Belge Thomas De Gendt (Lotto-Soudal) gagne celui de la montagne[7] et que Kwiatkowski finit meilleur jeune[8]. Enfin, la formation britannique Sky, qui place un autre coureur dans les dix premiers du classement final, s'adjuge le classement par équipes[9].

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Présentation

Résumé
Contexte

Parcours

Comme c'est le cas depuis 2010, la course au soleil démarre dans les Yvelines, cette fois-ci par un prologue de 6,7 km à Maurepas. Les trois étapes suivantes s'annoncent favorables aux sprinteurs et propices aux bordures. La quatrième étape fait figure d'étape-reine avec une arrivée au col de la Croix de Chaubouret (10 km à 6,7 % de moyenne), première ascension de 1re catégorie de l'épreuve. Après une étape longue de 192,5 km assez vallonnée ponctuée d'un final en bosse, les coureurs arrivent à Nice via une étape comprenant trois ascensions de 2e catégorie et trois de 1re catégorie. La course se conclut par un contre-la-montre sur les pentes du col d'Èze[10],[11],[12].

Équipes

En tant qu'épreuve World Tour, les dix-sept WorldTeams participent à la course. L'organisateur Amaury Sport Organisation a communiqué la liste des trois équipes invitées le . Il s'agit des trois équipes continentales professionnelles françaises, à savoir Bretagne-Séché Environnement, Cofidis et Europcar[13].

Vingt équipes participent à ce Paris-Nice - dix-sept WorldTeams et trois équipes continentales professionnelles :

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Favoris

Le tenant du titre, le Colombien Carlos Betancur (AG2R La Mondiale), est absent de l'épreuve. Mais son équipe sera tout de même candidate à la victoire finale, avec les Français Jean-Christophe Péraud, troisième en 2013, et Romain Bardet, le duo ayant très bien fonctionné lors du Tour de France 2014. Le dauphin de Betancur, le Portugais Rui Costa (Lampre-Merida) sera lui présent, tout comme son coéquipier l'Espagnol Rafael Valls, vainqueur en février du Tour d'Oman, sur lequel il a reçu le soutien efficace de Costa. Plusieurs coureurs complets seront de redoutables concurrents pour la victoire finale : l'Américain Tejay van Garderen (BMC Racing), dans le top 5 de l'épreuve en 2012 et 2013 et deuxième du Tour d'Oman, le Polonais, champion du monde sur route, Michał Kwiatkowski (Etixx-Quick Step), le Néerlandais Wilco Kelderman (Lotto NL-Jumbo), quatrième du dernier Critérium du Dauphiné et qui a montré sa bonne forme sur le Tour d'Andalousie, ainsi que le trio de la formation Sky composé de l'Australien Richie Porte, vainqueur en 2013, et des deux Britanniques Bradley Wiggins, lauréat la saison précédente et champion du monde du contre-la-montre, et Geraint Thomas, récent vainqueur du Tour d'Algarve. l'Américain Andrew Talansky (Cannondale-Garmin) a terminé deuxième de la course au soleil en 2013 et vainqueur du Critérium du Dauphiné en 2014, mais est dans une forme incertaine, Paris-Nice étant sa course de reprise.

Certains grimpeurs viseront aussi le classement général. Ce sera le cas notamment de l'Italien Fabio Aru (Astana), à la tête d'une équipe qui sera composée aussi de l'Espagnol Luis León Sánchez, qui s'est imposé en 2009 et a terminé deuxième en 2010, et le Danois Jakob Fuglsang, du Polonais Rafał Majka (Tinkoff-Saxo) et du Français Warren Barguil (Giant-Alpecin).

On peut également citer du côté des outsiders le Britannique Simon Yates (Orica-GreenEDGE), le Luxembourgeois Bob Jungels (Trek Factory Racing), l'Argentin Eduardo Sepúlveda (Bretagne-Séché Environnement) et le Suisse Mathias Frank (IAM)[14],[11],[12].

Plusieurs sprinteurs de renommée feront également le déplacement. Ainsi, on retrouvera entre autres les Français Arnaud Démare (FDJ), Nacer Bouhanni (Cofidis) et Bryan Coquard (Europcar), récent champion du monde de l'Américaine, l'Espagnol José Joaquín Rojas (Movistar), vainqueur sur le Tour d'Oman, les Allemands John Degenkolb (Giant-Alpecin), maillot vert en 2014 sur Paris-Nice et le Tour d'Espagne, et André Greipel (Lotto-Soudal), les Australiens Michael Matthews (Orica-GreenEDGE) et Heinrich Haussler (IAM), le Néerlandais Moreno Hofland (Lotto NL-Jumbo), lauréat d'une étape en 2014, le Belge Tom Boonen (Etixx-Quick Step), le Norvégien Alexander Kristoff (Katusha), qui a déjà levé les bras à quatre reprises en 2015, l'Italien Giacomo Nizzolo (Trek Factory Racing) et le Biélorusse Yauheni Hutarovich (Bretagne-Séché Environnement)[11],[12].

Le plateau est complété par des spécialistes du contre-la-montre. Les deux dauphins de Wiggins aux derniers mondiaux de la spécialité, l'Allemand Tony Martin (Etixx-Quick Step) et le Néerlandais Tom Dumoulin (Giant-Alpecin) seront présents, mais aussi le compatriote de ce dernier à savoir Lars Boom (Astana), l'Australien, recordman de l'heure, Rohan Dennis (BMC Racing) et le champion de France de la spécialité Sylvain Chavanel (IAM).

Enfin, parmi les puncheurs et coureurs de classiques, les Français Arthur Vichot (FDJ), troisième du classement général en 2014, Tony Gallopin (Lotto-Soudal), Thomas Voeckler (Europcar), Jonathan Hivert (Bretagne-Séché Environnement) et Julian Alaphilippe (Etixx-Quick Step), les Belges Philippe Gilbert (BMC Racing), et Stijn Vandenbergh (Etixx-Quick Step), l'Autrichien Bernhard Eisel (Sky), le Suisse Michael Albasini (Orica-GreenEDGE) et le Néerlandais Tom-Jelte Slagter (Cannondale-Garmin), double vainqueur d'étape en 2014, notamment feront partie des participants.

Primes

Les vingt prix sont attribués suivant le barème de l'UCI[15].

Position 1er 2e 3e 4e 5e 6e 7e 8e 9e 10e-20e Total
Classement général 16000 8000 4000 2000 1600 1200 1200 800 800 400 40 000
Par étape 4000 2000 1000 500 400 300 300 200 200 100 10 000
Classement par points Sprints intermédiaires (12) 100 75 25 2400 6600
Classement final 2000 1000 800 400 4200
Classement de la montagne Cols et côtes (24) 100 75 25 4800 9000
Classement final 2000 1000 800 400 4200
Classement du meilleur jeune Etapes 150 1200 2000
Classement final 800 800
Total 137 600
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Étapes

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Déroulement de la course

Résumé
Contexte

Prologue

Ce Paris-Nice débute par un prologue plat de 6,7 km, disputé dans les rues de Maurepas, dans les Yvelines.

Le Polonais, champion national de la spécialité, Michał Kwiatkowski (Etixx-Quick Step) remporte ce prologue[4], et s'empare ainsi des maillots jaune, vert et blanc[16]. Il devance de trente-et-un centièmes de secondes l'Australien, recordman de l'heure, Rohan Dennis (BMC Racing) et son coéquipier l'Allemand Tony Martin, champion de son pays du contre-la-montre, de sept secondes[27].

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1re étape

L'étape débute avec la côte de Bel Air (1,2 km à 5 %), classée en 3e catégorie et dont le sommet est au km 3. L'étape traverse ensuite les plaines exposées au vent de la Beauce. Les coureurs disputent en outre des sprints intermédiaires aux kilomètres 19 et 185,5. L'arrivée est jugée à Contres, après 196,5 km de course depuis Saint-Rémy-lès-Chevreuse, à travers les Yvelines, l'Eure-et-Loir, le Loiret et le Loir-et-Cher.

Cette étape a été remportée par le Norvégien Alexander Kristoff (Katusha) devant les Français Nacer Bouhanni (Cofidis) et Bryan Coquard (Europcar)[17]. Durant cette étape le Belge Tom Boonen (Etixx-Quick Step) abandonne après une chute sur la clavicule. Son coéquipier, le Polonais Michał Kwiatkowski, reste maillot jaune à l'issue de cette étape[18].

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2e étape

L'étape est plate, avec un premier sprint intermédiaire au km 57,5. Après 119 km de course, les coureurs entament une boucle finale, puis km plus loin disputent un sprint intermédiaire, lors du premier passage sur la ligne d'arrivée. Dans la foulée, l'ascension de la côte de la Tour (4,1 km à 4,2 %), classée en 3e catégorie et dont le sommet est au km 131, est programmée. Le final est plat. L'arrivée est jugée à Saint-Amand-Montrond, après 172 km de course depuis le ZooParc de Beauval à Saint-Aignan, à travers le Loir-et-Cher, l'Indre et le Cher.

Le Français Arnaud Gérard (Bretagne-Séché Environnement) part en solitaire dès le premier kilomètre. Le peloton lui laisse sept à huit minutes d'avance jusqu'aux cent premiers kilomètres, puis la formation Cofidis décide de prendre les choses en main. Le coureur français est rattrapé peu après la descente de la côte de la Tour. L'étape se joue lors d'une sprint massif remporté par l('Allemand André Greipel (Lotto-Soudal) qui s'impose devant le Français Arnaud Démare (FDJ) et son compatriote John Degenkolb (Giant-Alpecin)[19]. Le Polonais Michał Kwiatkowski (Etixx-Quick Step) reste toujours leader du classement général[20].

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3e étape

Le début d'étape est légèrement vallonné, avec notamment un sprint intermédiaire (km 27,5) et la côte de la Croix du Chêne (2,1 km à 4 %), classée en 3e catégorie et dont le sommet est placé au km 53,5. Après environ 90 km de course, la route emprunte une montée qui se termine au km 97,5 par le col de la Bosse (2,4 km à 5,1 %), classé en 3e catégorie. S'ensuivra une longue descente et l'enchaînement de la côte de Vicq (1,6 km à 5,8 %), classée en 3e catégorie et dont le sommet est situé au km 117,5, et une bosse non répertoriée. La suite du parcours est légèrement vallonnée. Les coureurs entament une boucle finale au km 146,5. 13 km plus loin, le 2e sprint intermédiaire est programmé, lors du premier passage sur la ligne d'arrivée. L'arrivée est jugée à Saint-Pourçain-sur-Sioule, après 179 km de course depuis Saint-Amand-Montrond, à travers le Cher et l'Allier.

C'est l'Australien Michael Matthews (Orica-GreenEDGE) qui remporte cette étape au sprint devant les Italiens Davide Cimolai (Lampre-Merida) et Giacomo Nizzolo (Trek Factory Racing)[5]. Matthews s'empare grâce aux bonifications de la tête du classement général[21].

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4e étape

Le début d'étape est légèrement vallonné, passe par la côte du Cheval Rignon (5,9 km à 3,7 %), classée en 3e catégorie et dont le sommet est placé au km 42,5, une très courte descente puis grimpe jusqu'au sommet au km 54 du col du Beau Louis (6,1 km à 3,5 %), classé en 3e catégorie. Après une brève descente et une bosse jusqu'au sprint intermédiaire (km 59,5), la route descend jusqu'au ravitaillement (km 93). Une quarantaine de kilomètres légèrement vallonnés sont ensuite programmés, avant une montée où figurent le sommet de deux ascensions de 3e catégorie : la côte de Saint-Bonnet-les-Oules (2,8 km à 3,7 %), au km 140,5, et la côte de Saint-Héand (km à 5,1 %), au km 144,5. Ensuite, le parcours descend et emprunte la côte de la Gimond (1,8 km à 6,5 %), classée en 2e catégorie. Après le sommet (km 152), il continue de monter, est légèrement vallonné et descend assez longuement. Les coureurs enchaînent alors le col de la Gachet (km à 4,4 %), classé en 2e catégorie et dont le sommet est situé au km 175, et la côte de la Croix Blanche (1,8 km à 4,9 %), classée en 3e catégorie et dont le sommet est placé au km 178,5, avant de plonger vers le 2e sprint intermédiaire (nommé Souvenir Andrei Kivilev). Ils grimpent ensuite la régulière ascension de 1re catégorie du col de la Croix de Chaubouret (10 km à 6,7 %), en haut de laquelle sera jugée l'arrivée, après 204 km de course depuis Varennes-sur-Allier, à travers l'Allier et la Loire.

L'étape a été remportée par l'Australien Richie Porte (Sky) qui s'impose devant son coéquipier le Britannique Geraint Thomas, qui finit dans le même temps, et le Polonais Michał Kwiatkowski (Etixx-Quick Step) qui termine à huit secondes du duo[2]. Ce dernier reprend la tête du classement général une seconde devant Porte[22].

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5e étape

L'étape commence par l'ascension du col de la République (12,2 km à 4,5 %), classé en 1re catégorie. Le parcours continue vers le sud-est, avec une descente jusqu'à Andance, au km 47,5. La route se dirige alors vers le sud, avec une longue zone de plat, en passant notamment par le premier sprint intermédiaire (km 81,5). L'étape est vallonnée à partir du col du Devès (4,1 km à 4,4 %), classé en 3e catégorie et dont le sommet est placé au km 125. La suite de la course comprend deux montées répertoriées, à savoir la côte de l'Aleyrac (6,2 km à 4 %), classée en 2e catégorie et dont le sommet est situé au km 148, et la côte de Buisson (1,8 km à 4,3 %), classée en 3e catégorie et dont le sommet est au km 184, ainsi que le 2e sprint intermédiaire, disputé au 164. Le dernier kilomètre est en montée, avec une pente moyenne de 4,4 %. L'arrivée est jugée à Rasteau, après 192,5 km de course depuis Saint-Étienne, à travers la Loire, l'Ardèche, la Drôme et le Vaucluse.

C'est l'Italien Davide Cimolai (Lampre-Merida) qui gagne cette étape au sprint devant le Français Bryan Coquard (Europcar) et l'Australien Michael Matthews (Orica-GreenEDGE)[23]. Le Polonais Michał Kwiatkowski (Etixx-Quick Step) conserve quant à lui sa place de leader du classement général[24].

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6e étape

Thumb
Michał Kwiatkowski pendant l'ascension du col de Vence.

Le début d'étape monte jusqu'au premier sprint intermédiaire (km 20). Après quelques kilomètres en faux plats descendants, le col de Vence (9,7 km à 6,6 %), classé en 1re catégorie, sera franchie au km 35. S'ensuivra une courte descente, une bosse non-répertoriée et une très longue descente. La route passe ensuite par une courte zone de plat, puis la côte de Levens (6,2 km à 5,5 %), classée en 2e catégorie et dont le sommet est au km 84, et continue de monter jusqu'à la zone de ravitaillement à Levens, au km 87. Puis, les coureurs enchaînent deux nouvelles ascensions de 2e catégorie : la côte de Châteauneuf (5,4 km à 4,4 %), dont le sommet est au km 100, et la côte de Coaraze (5,6 km à 5,9 %), dont le sommet est situé au km 116. Le parcours emprunte alors l'irrégulier col de Saint Roch (9,6 km à 4,6 %), classé en 1re catégorie et dont le sommet est placé au km 127,5, une longue descente et la côte de Peille (6,6 km à 6,8 %), classé en 1re catégorie. Une fois le sommet de cette dernière franchi (km 154,5), les coureurs plongent vers l'arrivée, en passant par le deuxième sprint intermédiaire à la Turbie, au km 166. L'arrivée est jugée à Nice, après 184,5 km de course depuis Vence, à travers les Alpes-Maritimes.

Sous l'impulsion du maillot à pois, le Belge Thomas De Gendt (Lotto-Soudal), une échappée prend forme dans les premiers kilomètres. Plusieurs groupes rejoignent l'avant de la course, qui compta jusqu'à une trentaine de coureurs dont un autre Belge Tim Wellens (Lotto-Soudal) et le Français Sylvain Chavanel (IAM) les deux mieux classés au général. Le maillot jaune, le Polonais Michał Kwiatkowski (Etixx-Quick Step) tente alors une offensive avec son équipe mais la formation Sky revient. Dans le col de Saint-Roch, il reste une vingtaine de coureurs dans l'échappée, Kwiatkowski accompagné de deux coéquipiers retentent de fausser compagnie à l'équipe Sky, seul le Français Tony Gallopin (Lotto-Soudal) arrive à s'accrocher aux trois coureurs de la formation Etixx-Quick Step. Ils finissent par rejoindre le reste des coureurs devant. Gallopin, en s'apercevant que Kwiatkowski n'est pas en si bonne forme, lance une attaque et creuse peu à peu l'écart. Le Danois Michael Valgren (Tinkoff-Saxo) essaie de le rejoindre mais sans succès. Pendant ce temps, les deux coureurs de l'équipe Sky, l'Australien Richie Porte et le Britannique Geraint Thomas ont rejoint le Kwiatkowski et le distance, mais ceux-ci chutent dans la descente. Il ne reste alors qu'un petit groupe de quatre coureurs à la poursuite de Gallopin. L'écart reste stable à une vingtaine de secondes. Le coureur français se dirige vers Nice en remportant l'étape[25]. Il endossent par la même occasion le maillot jaune de leader avec 36 s d'avance sur Porte à la veille de l'arrivée[26].

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7e étape

La dernière étape de cette course au soleil part de Nice pour un contre-la-montre sur les pentes du col d'Èze (9,5 km à 4,7 %), classé en 1re catégorie. Un chrono intermédiaire est placé au km 5,5.

Il est remporté par l'Australien Richie Porte (Sky) qui s'impose treize secondes devant le Slovène Simon Špilak (Katusha) et vingt-quatre sur le Portugais Rui Costa (Lampre-Merida)[3]

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Classements finals

Résumé
Contexte

Classement général final

L'Australien Richie Porte (Sky) remporte l'épreuve avec trente secondes d'avance sur le Polonais Michał Kwiatkowski (Etixx-Quick Step) qui lui devance le Slovène Simon Špilak (Katusha) qu'aux dixièmes de secondes[1].

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Classements annexes

Davantage d’informations Classement par points, Classement de la montagne ...
Davantage d’informations Classement du meilleur jeune, Coureur ...

UCI World Tour

Ce Paris-Nice attribue des points pour l'UCI World Tour 2015, par équipes uniquement aux équipes ayant un label WorldTeam, individuellement uniquement aux coureurs des équipes ayant un label WorldTeam.

Position[28],[29]1er2e3e4e5e6e7e8e9e10e
Classement général10080706050403020104
Par étape64211

Classement individuel

Ci-dessous, le classement individuel de l'UCI World Tour à l'issue de la course[30].

Classement par pays

Ci-dessous, le classement par pays de l'UCI World Tour à l'issue de la course[31].

Davantage d’informations Rang, Pays ...

Classement par équipes

Ci-dessous, le classement par équipes de l'UCI World Tour à l'issue de la course[32].

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Évolution des classements

Résumé
Contexte

Le classement général, dont le leader porte le maillot jaune, s'établit en additionnant les temps réalisés à chaque étape, puis en ôtant d'éventuelles bonifications (10, 6 et 4 s à l'arrivée des 8 étapes en ligne et 3, 2 et 1 s à chaque sprint intermédiaire). En cas d'égalité, les critères de départage, dans l'ordre, sont : centièmes de seconde enregistrés lors des contre-la-montre, addition des places obtenues lors de chaque étape, place obtenue lors de la dernière étape.

Le classement par points, dont le leader porte le maillot vert, est l'addition des points attribués à l'arrivée des étapes (15, 12, 9, et 7 points, puis en ôtant 1 pt par place perdue jusqu'au 10e, qui reçoit donc 1 pt) et aux sprints intermédiaires (3, 2 et 1 points). En cas d'égalité de points, les critères de départage, dans l'ordre, sont : nombre de victoires d'étape, de sprints intermédiaires, classement général.

Le classement de la montagne, dont le leader porte le maillot à pois, consiste en l'addition des points obtenus au sommet des ascensions de 1re (10, 8, 6, 4, 3, 2 et 1 pts), 2e (7, 5, 3, 2 et 1 pts) et 3e (4, 2 et 1 pts) catégorie. En cas d'égalité de points, les critères de départage, dans l'ordre, sont : nombre de premières places dans les ascensions de 1re, puis de 2e, enfin de 3e catégorie, classement général.

Le classement du meilleur jeune, dont le leader porte le maillot blanc, est le classement général des coureurs nés depuis le 1er janvier 1990.

Le classement par équipes de l'étape est l'addition des trois meilleurs temps individuels de chaque équipe. En cas d'égalité, les critères de départage, dans l'ordre, sont : addition des places des trois premiers coureurs des équipes concernées, place du meilleur coureur sur l'étape. Calculer le classement par équipes revient à additionner les classements par équipes de chaque étape. En cas d'égalité, les critères de départage, dans l'ordre, sont : nombre de premières places dans le classement par équipes du jour, nombre de deuxièmes places dans le classement par équipes du jour, etc., place au classement général du meilleur coureur des équipes concernées[15].

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Liste des participants

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Davantage d’informations AG2R La Mondiale ALM, Lampre-Merida LAM ...
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Notes et références

Articles connexes

Liens externes

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