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Sarre-Union

commune française du département du Bas-Rhin De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Sarre-Union est une commune française située dans le département du Bas-Rhin, en région administrative Grand Est.

Faits en bref Administration, Pays ...

La ville est issue de la fusion de deux communes : Bouquenom et Neuf-Sarrewerden le  ; elle fait partie, depuis sa création, de la région historique et culturelle d'Alsace.

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Géographie

Résumé
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Localisation

La commune de Sarre-Union se situe dans la région naturelle de l'Alsace bossue, partie alsacienne du plateau lorrain depuis 1793.

Géologie et relief

La commune se compose de 206,71 hectares de territoires artificialisés (13,39 %), 1 005,43 hectares de territoires agricoles (65,12 %) et 332,30 hectares de forêts et milieux semi-naturels (21,52 %)[1].

Espaces naturels[2] :

Vallée de la Sarre, de l'Albe et de l'Isch, le marais du Francaltroff[3].
Paysage agricole et forestier diversifié d'Alsace Bossue[4],
Bois de Bodenwald à Keskastel, Schopperten et Sarre-Union[5].
Vallée de la Sarre de Sarre-Union à Keskastel[6],
Prés-vergers d'Alsace Bossue[7].
Petits Jardins (rue des)[8].

Sarre-Union est située sur un territoire vallonné, d'une altitude comprise entre 200 et 300 m, datant pour l'essentiel du Trias moyen, qui se caractérise notamment par le calcaire coquillier du Muschelkalk. On trouve aussi quelques marnes et dolomies légèrement plus récentes. Enfin, le cours de la Sarre a apporté des alluvions récentes sur son passage[9].

Hydrographie et les eaux souterraines

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

La commune est dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Sarre, le ruisseau du Moulin, le ruisseau le Langetzelgraben, le ruisseau du Vieil Étang, le ruisseau le Leylach[10] et le ruisseau le Metzlachgraben[11],[Carte 1].

La Sarre, d'une longueur totale de 129,2 km, est un affluent de la Moselle et donc un sous-affluent du Rhin, qui coule en Lorraine, en Alsace bossue et dans les Länder allemands de la Sarre et de Rhénanie-Palatinat[12]. Les caractéristiques hydrologiques de la Sarre sont données par la station hydrologique située sur la commune de Diedendorf. Le débit moyen mensuel est de 7,37 m3/s[Note 1]. Le débit moyen journalier maximum est de 270 m3/s, atteint lors de la crue du . Le débit instantané maximal est quant à lui de 286 m3/s, atteint le même jour[13].

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Réseau hydrographique de Sarre-Union[Note 2].

Un plan d'eau complète le réseau hydrographique : l'étang de Surbronnen (0,6 ha)[Carte 1],[14].

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de 1 °C)[16].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 995 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Berg », sur la commune de Berg à km à vol d'oiseau[17], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 801,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,4 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −16,8 °C, atteinte le [Note 3],[18],[19].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[20]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

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Urbanisme

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Typologie

Au , Sarre-Union est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[22]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sarre-Union[Note 4], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[23],[24]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Sarre-Union, dont elle est la commune-centre[Note 5],[24]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (25,5 %), prairies (24,7 %), forêts (21,3 %), cultures permanentes (14,7 %), zones urbanisées (8,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,7 %), terres arables (0,2 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communications et transports

Réseau routier

Sarre-Union est traversée par la route D 1061 reliant Phalsbourg à Sarrebruck. La route D 8 relie la commune à l'axe de la route D 919 au nord, et à Sarrebourg en suivant la Sarre au sud-est. Outre les routes départementales, la ville dispose d'une gare routière, correspondant à la sortie Sortie 43 de l'autoroute A4 qui traverse également la commune.

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Gare de Diemeringen.

Réseau ferroviaire

Transports aériens

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Toponymie

  • Bouquenom
    • En ce lieu, dit-on, le chef Bucco ou Burco, diminutif de Burckardt, aurait établi sa demeure sous les hêtres (unter den Buchen). Mais au temps des Gallo-romains s’élevait aussi tout près, au Wasserwald, un autel dédié à Bucius, une divinité éponyme de Mercure, le dieu des commerçants et des voyageurs[29].
    • anciennes mentions : Buckenheym, Bockenheim (VIIe siècle, 1178), Buckenheimensis et Bouchenheim (1539), Boucquenom (1756[30], 1758[31], 1840[32]), Bouquemont (1840[33]), Boucquenome.
    • Buckenum[34] ou Buggenum en francique rhénan et Bockenheim[35] ou Buckenheim[36] en allemand.
    • Sobriquet des habitants : Staenboeck[37] (boucs de pierre).
  • Neuf-Sarrewerden (Ville-Neuve)
    • Neuf-Sarrewerden désigne le « nouveau Sarrewerden » ; Sarrewerden venant de Sarre, la rivière qui traverse le village et Werd, « île » qui désigne un îlot se trouvant à proximité[38].
    • anciennes mentions : Neusaarwerden (1702-1793), Neuf-Sarverden[39] (1756), Neuf-Sarwerden[40] (1840), Ville-Neuve de Sarrewerden.
    • Neu-Saarwerden ou Neusaarwerden en allemand.
    • Sobriquet des habitants : Schisskiwel[41] (pots de chambre).
  • Sarre-Union
    • issue de l'union de Bouquenom et Neuf-Sarrewerden, d'où le nom Sarre-Union.
    • anciennes mentions : Saar-Union (1794-1801), Saarunion (1801-1870).
    • durant les annexions allemandes : Saarunion (1871-1915) et Saarbuckenheim[42] (1915-1918, 1940-1945).
    • Saarunion en allemand.
    • Sobriquet des habitants : Klarbes et Grossmaul[43] (grandes gueules).

Histoire

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Les premières traces d'occupation du site de ce qui allait devenir la ville de Sarre-Union remontent à la période gallo-romaine. Des vestiges datant des IIe et IIIe siècles sont mis au jour, principalement des ateliers de poterie et de métallurgie[44],[45]. Le village de l'époque avait une surface estimée à une quarantaine d'hectares. De plus, une voie romaine traversait Sarre-Union[46].

La commune est connue au VIIe siècle sous le nom de Bockenheim, et devient en 1328 une ville libre sous l'impulsion du comte de Sarrewerden. À cette époque, la cité est fortifiée, ceinte d'un rempart comportant treize tours, dont certaines subsistent encore. Aux XVIe et XVIIe siècles, de nouveaux bâtiments sont construits, notamment ceux de la Grand-Rue actuelle[47].

Lors de la mort du dernier comte de Sarrewerden, Bouquenom est donnée en fief au comte de Moers, puis au comte de Nassau-Sarrebruck (1554-1559) partisan du luthéranisme et qui introduisit la Réforme.

La guerre de Trente Ans provoque d'épouvantables ravages et les continuels passages de troupes dévastent toute la région. Le château de Sarre-Union est détruit. En 1629, le duc François II de Lorraine prend possession de la ville et y rétablit la religion catholique. En 1697, Bouquenom et Sarrewerden sont rattachées directement à la Lorraine ; les Nassau décident de construire une nouvelle capitale, Neusaarewerden (La Ville Neuve). À la mort du dernier duc de Lorraine, Stanislas, en 1766, Bouquenom devient française. Dans le comté, le prince Louis de Nassau-Sarrebrück succède en 1768 à son père Guillaume Henri. Ses maladresses contribuent au rattachement du comté et de Neuf-Sarrewerden à la France. Pour des raisons confessionnelles, la région est rattachée au Bas-Rhin par un décret du . Les villes de Bouquenom et Neuf-Sarrewerden sont réunies par un décret de la Convention du sous le nom de Saar-Union, qui est francisé après la Première Guerre mondiale en Sarre-Union. Elle est chef-lieu de district de 1793 à 1795.

Au XIXe siècle, la ville devient, avec la révolution industrielle, une bourgade industrielle dont la population compte jusqu'à plus de 4 000 habitants. Les remparts sont démolis, des fabriques ouvrent et la ville est finalement raccordée au réseau des chemins de fer en 1872. La guerre franco-allemande de 1870 plaçe la cité dans le giron de l'Empire allemand jusqu'à son retour à la France en 1918. Enfin, après l'annexion de l'Alsace-Moselle par le Troisième Reich pendant la Seconde Guerre mondiale, Sarre-Union redevient définitivement française.

Après la guerre, de nouvelles industries s'installent sur place. La construction de l'autoroute A4, ouverte en 1976 à la hauteur de la ville et qui donne lieu à la visite du Président de la République Georges Pompidou, permet son désenclavement relatif.

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Politique et administration

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Tendances politiques et résultats

Liste des maires

La commune est l'ancien chef-lieu du canton et accueille le siège de la communauté de communes de l'Alsace Bossue.

Davantage d’informations Période, Identité ...

Jumelages

Politique environnementale

La station d’épuration de la Vallée de la Sarre-Sud est conçue pour traiter les eaux usées et pluviales des 9 communes de Bissert, Burbach, Diedendorf, Harskirchen, Rimsdorf, Sarre-Union, Sarrewerden / Bischtroff-sur-Sarre / Zollingen, Schopperten et Wolfskirchen.

La station d'épuration intercommunale a une capacité de 8 000 équivalent-habitants[57].

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Population et société

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Démographie

Évolution démographique

Pyramide des âges

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[58]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[59].

En 2022, la commune comptait 2 751 habitants[Note 6], en évolution de −3,98 % par rapport à 2016 (Bas-Rhin : +3,17 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

Évolution de la population  [modifier]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6922 7913 0043 4243 5313 9564 2573 7563 694
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
3 3783 4493 4983 3303 2203 2483 1953 1022 991
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 0073 0103 1342 7652 7482 5432 6322 5632 431
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 6452 9653 1303 1693 1593 3563 1853 1612 961
Davantage d’informations - ...
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[60] puis Insee à partir de 2006[61].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités

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Cavalcade de Sarre-Union le 28/02/2016 devant l'hôtel de ville.

Plusieurs associations sont présentes dans la commune et organisent des festivités[62]. La principale manifestation liée à la commune est depuis 2005 la fête d'automne, ou Fête de la pomme. Celle-ci se déroule à la fin de l'été ou en automne, et accueille un marché artisanal, des artistes ainsi que diverses animations[63].

La cavalcade (carnaval), est organisé par le comité des fêtes vers la fin de l'hiver[64]. Il est précédé par le kappensitzung (fête qui annonce le début de la saison du carnaval) en fin janvier[65] organisé par le Festivités Club[66].

Sports et loisirs

L'équipe de football locale, l'US Sarre-Union, promue en 2011 en championnat de France Amateur (4e division française), a réussi à se maintenir à ce niveau depuis, malgré un budget restreint.

Le 19 janvier 2016, l'US Sarre-Union réalise l'exploit d'éliminer le club de ligue 2 Niort 1 à 0 en seizième de finale de coupe de France.

La commune dispose d'un stade omnisports, d'un boulodrome, d'un centre équestre ainsi que d'un complexe sportif situé sur l'emplacement de l'ancienne corderie Dommel.

Enseignement

Sarre-Union fait partie de l'académie de Strasbourg. Les habitants de la ville et des communes voisines ont accès aux différents niveaux de l'enseignement primaire et secondaire au travers de quatre établissements publics[67] :

  • Lycée d'enseignement général et professionnel Georges-Imbert ;
  • Collège Pierre-Claude ;
  • École maternelle Le Petit-Prince ;
  • École élémentaire (primaire).

Il est à noter que les élèves ont la possibilité d'effectuer un cursus bilingue français-allemand de l'école maternelle au collège[68],[69]. En outre, une option de langue et culture régionale est proposée aux collégiens.

Santé

Professionnels et établissements de santé[70] :

  • L'ancien hôpital local a été transformé en EHPAD[71].
  • Hôpitaux à Sarre-Union, Sarralbe, Sarreguemines.
  • La commune accueille en outre plusieurs cabinets médicaux.
  • Pharmacies à Sarre-Union, Diemeringen, Sarralbe.

Cultes

De nombreuses confessions disposent d'un lieu de culte :

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Économie

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Agriculture

Située dans une région rurale disposant d'une forte tradition agricole, la commune comporte depuis le XIXe siècle de nombreuses industries.

  • Culture et élevage associés.
  • Culture de céréales (à l'exception du riz), de légumineuses et de graines oléagineuses.
  • Culture de légumes, de melons, de racines et de tubercules.
  • Culture de la vigne.
  • L'entreprise Jus de fruits d'Alsace du groupe Laiterie de Saint-Denis-de-l'Hôtel est implantée sur le territoire de la commune[75].
  • Culture de fruits à pépins et à noyau.
  • Élevage de vaches laitières.
  • Élevage de chevaux et d'autres équidés.
  • Élevage d'autres bovins et de buffles.
  • Exploitation forestière.

Tourisme

  • Hébergements et restauration à Hambach, Petersbach, Zetting, Sarreguemines, Mesenthal, Wingen-sur-Moder.

Entreprises et commerces

  • Commerces et services de proximité[76].
  • La distribution d'électricité pour les particuliers n'est pas assurée par EDF mais par une régie communale.
  • La commune est le siège historique de l'entreprise d'appareillage électrique Sarel, fondée en 1956[77] et rachetée par le groupe Schneider Electric en 1986 ; la marque continue d'être utilisée jusqu'en 2009. Un site de production (situé entre autres dans les anciennes casernes de la ville) et un centre logistique sont implantés sur le territoire communal.
  • Le secteur de la chaudronnerie est également présent avec les entreprises Ziemex (anciennement Ziemann-Hengel) et Bruder-Keller.

Les 305 établissements et entreprises actifs sur le territoire communal fin 2009 se répartissaient dans les domaines suivants :

  • Commerces, transports et services : 59,7 %
  • Services publics et santé : 20,7 %
  • Industrie : 7,9 %
  • BTP : 7,5 %
  • Agriculture : 4,3 %

Revenus de la population et fiscalité

Budget et fiscalité 2023

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Hôtel de ville (1684).

En 2023, le budget de la commune était constitué ainsi[78] :

  • total des produits de fonctionnement : 3 626 000 , soit 1 278  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 3 003 000 , soit 1 059  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 232 000 , soit 82  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 802 000 , soit 283  par habitant ;
  • endettement : 505 000 , soit 178  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 19,00 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 25,67 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 43,99 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 45,11 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 18,08 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 19 710 [79].

Emploi

En 2008, le taux de chômage dans la catégorie des 15-64 ans atteignait 12,1 %.

Le taux de Chômage à Sarre Union est, en 2022, de 6,9 % de la population active[80].

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Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Monuments historiques

Édifices religieux

Personnalités liées à la commune

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Plaque à la mémoire de Jean-Jacques et Antoine Schilt.

Héraldique

Davantage d’informations Blason, Détails ...
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Pour approfondir

Résumé
Contexte

Bibliographie

  • Claudine Dupont, 1944-1994 : il y a cinquante ans, la Libération, Musée régional de l'Alsace Bossue, Sarre-Union, 1994, 32 p. (publié à l'occasion de l'exposition Sarre-Union, 1944-1994 présentée au Musée régional de l'Alsace Bossue, Sarre-Union, en septembre-décembre 1994)
  • Dagobert Fischer, Sarre-Union, Sarrewerden et leurs environs : histoire de l'ancien comté de Saarwerden et de la prévôté de Herbitzheim, Res Universis, Paris, 1993, 211 p. (ISBN 2-87760-950-2) (titre original : Histoire de l'ancien comté de Saarwerden et de la prévôté de Herbitzheim, 1877)
  • Georges Irrmann, Saarunion Elsass à Sarre-Union (Bas-Rhin) : un siècle d'histoire en images, vol. 2, Artisans, commerçants et industries, associations, évènements et traditions, 2005, 159 p. (ISBN 2-913162-52-5)
  • (de) Joseph Levy, Geschichte der Stadt Saarunion, seit ihrer Entstehung bis zur Gegenwart, Buchdruckerei M. Hostetter, Vorbruck-Schirmeck, 1898, 479 p.
  • Colette Thomas, « Souvenir d'enfance de la guerre 1939/45 de Sarre-Union », in L'Alsace Bossue, revue des vallées de la Sarre, de l'Eichel et de l'Isch, 2004, p. 102-112
  • Jean-Louis Wilbert, Le vécu de la population de Sarre-Union et des environs, 1914, in Pays d'Alsace, 2014, no 248, p. 25-33 (1re partie) et no 249, p. 17-32 (2e partie)
  • Jacques Wolff, « L'apogée de la fabrique de couronnes en perles de verre 'Max Karcher' à Sarre-Union », in Annuaire du Musée régional de l'Alsace Bossue, 2000, no 14, p. 102-107
  • Jacques Wolff, « Sur les traces d'Albert Schweitzer à Sarre-Union », in L'Alsace Bossue, 2001, no 15, p. 148-161
  • Jacques Wolff, « Une déesse-mère à Sarre-Union », in L'Alsace Bossue, 2003, p. 9-13
  • Jacques Wolff, « Croyances et superstitions à Sarre-Union au XIXe siècle », in L'Alsace Bossue, 2003, p. 54-57
  • Jacques Wolff, « L'épuration à Sarre-Union », in L'Alsace Bossue, 2003, p. 166-171
  • Jacques Wolff, « Quelques adresses commerciales de Sarre-Union entre les deux guerres », in L'Alsace Bossue, 2004, p. 95-102
  • Dominique Toursel-Harster, Jean-Pierre Beck, Guy Bronner, Dictionnaire des monuments historiques d’Alsace, Strasbourg, La Nuée Bleue, , 662 p. (ISBN 2-7165-0250-1)
    Sarre-Union, pp. 385 à 390
  • Charles-Laurent Salch, Nouveau Dictionnaire des Châteaux Forts d'Alsace, Ittlenheim, alsatia, Conception et réalisation Lettrimage, , 384 p. (ISBN 2-7032-0193-1)
    Sarre-Union, p. 283, Dessins de relevés et d'illustration sont de Walter Herrmann, André Lerch, Christian Rémy. Images de synthèse de Fabien Postif et Photos de Dominique Martinez
  • Le cadran à une aiguille. Le combat des chèvres. La tête de Turc, sur patrimoine-horloge.fr/
  • Association d’Histoire et d’Archéologie de Sarre-Union - Musée Régional de l’Alsace Bossue, Jacques Wolff, Revue d’Alsace
  • Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
  • Inventaire national du patrimoine naturel de la commune

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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