Manche, Mer Baltique, Mer des Caraïbes, Mer Caspienne, Mer Méditerranée, Mer du Nord, Mer Noire, Mer Rouge, Océan Arctique, Océan Atlantique, Océan Austral, Océan Indien et Océan Pacifique
Athlétisme, Aviron, Baseball, Boxe anglaise, Basket-ball, Bobsleigh, Canoë-kayak, Catch, Combiné nordique, Curling, Cyclisme, Escrime, Football
(Américain), Golf, Gymnastique, Haltérophilie, Handball, Hockey
(Sur gazon et Sur glace), Lutte, Natation, Patinage
(Artistique et De vitesse), Rugby
(À XIII et À XV), Ski, Sport automobile, Sports équestres, Sport hippique, Sports pluridisciplinaires
(Biathlon, Décathlon et Pentathlon moderne), Tennis
(), Tir
(À l'arc et Sportif), Voile, () et Water-polo
14 janvier: lors d’une conférence de presse à l’Élysée, le général de Gaulle rejette la candidature du Royaume-Uni au Marché commun et la création d’une force nucléaire multilatérale proposée par les États-Unis[3].
15 janvier: lois no 63-22 et 63-23 créant la Cour de sûreté de l’État[4]. Constituée de trois magistrats et deux officiers généraux, sa mission est de juger, en temps de paix, les crimes et les délits portant atteinte à la sûreté intérieure et extérieure de l'État, comme l'espionnage et le terrorisme.
28-29 janvier: conférence de Bruxelles. Sous la pression de la France, les six pays de la CEE ajournent sine die les négociations sur l’adhésion du Royaume-Uni[3].
Février
14 février: création de la DATAR, visant à décentraliser les entreprises[5].
1ermars - 4 avril: grande grève des mineurs. Malaise sur une possible restructuration du métier, devant les difficultés économiques. Après 35 jours de conflit très suivi, le gouvernement Pompidou finit par céder en accordant des augmentations de salaires, mais aussi l’ouverture de discussions sur la quatrième semaine de congés payés et sur la durée du travail[6].
29 juillet: lors d’une conférence de presse, Charles de Gaulle rejette la proposition américaine de fournir à la France les renseignements sur les tests nucléaires atmosphériques américains. Le 4 août, il confirme à Washington le refus de la France de signer le traité de Moscou sur les essais nucléaires[1].
12 septembre: Le ministre des finances Valéry Giscard d'Estaing présente en Conseil des ministres son plan de stabilisation, visant à lutter contre l'inflation par une restriction des crédits, un blocage des prix et un contrôle des changes[26].
15 septembre: banquet des «1 000»; 1 200 hommes politiques d'opposition (des communistes au centre-droit) se retrouvent lors d'un repas[11].
14 octobre-31 décembre: grande grève des mineurs de Trieux qui occupent le fond de la mine pendant 79 jours afin de protester contre sa fermeture. Ils obtiennent le droit de rester dans leur logements et un plan de reconversion[29].
27 novembre: manifestation contre la force de frappe organisée par la Communauté de l'Arche et la Fédération française contre l'armement atomique (FFCA) [11].