Plaisir (Yvelines)
commune française du département des Yvelines De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Plaisir est une commune française située dans le département des Yvelines, en région Île-de-France.
Plaisir | |||||
L'hôtel de ville. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Yvelines | ||||
Arrondissement | Versailles | ||||
Intercommunalité | Saint-Quentin-en-Yvelines | ||||
Maire Mandat |
Joséphine Kollmannsberger (LR) 2020-2026 |
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Code postal | 78370 | ||||
Code commune | 78490 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Plaisirois | ||||
Population municipale |
31 375 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 1 680 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 49′ 06″ nord, 1° 56′ 50″ est | ||||
Altitude | Min. 92 m Max. 173 m |
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Superficie | 18,68 km2 | ||||
Type | Grand centre urbain | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune du pôle principal) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Plaisir (bureau centralisateur) |
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Législatives | Douzième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Yvelines
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | ville-plaisir.fr | ||||
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Plaisir est située dans la grande banlieue ouest de Paris, à 30 km de la Porte d'Auteuil et à 13 km à l'ouest de Versailles, dans la plaine de Versailles.
La moitié du territoire communal est constituée de forêts et de terres agricoles.
La commune est constituée de plusieurs hameaux répartis sur deux plateaux séparés, d'est en ouest, par la forêt domaniale de Bois-d'Arcy et son extrémité ouest dite bois de la Cranne, le parc du château de Plaisir et la forêt de Sainte-Apolline.
Sur le plateau le plus élevé, au sud du territoire communal et au nord d'une étendue appelée plaine de Neauphle traversée par la RN 12, se trouvent le hameau de la Mare-aux-Saules jouxtant Élancourt et le hameau de Sainte-Apolline, tous deux au sud de cette nationale, et les hameaux des Gâtines, du Buisson et de la Chaîne, tous trois alignés d'est en ouest au nord de ladite nationale.
Sur le plateau inférieur, au nord de la commune, se trouvent le vieux village, entouré, d'est en ouest, des quartiers ou hameaux de la Brétechelle, de l'Aqueduc de l'Avre, des Ébisoires, des Petits-Prés et de l'écart relativement peuplé de la Boissière.
La commune est traversée du sud au nord par le ru Maldroit qui prend sa source à Trappes, au lieu-dit du Puits à Loup à proximité de la porte de Pissaloup. Il traverse la plaine de Neauphle, passe à l'extrémité est du hameau des Gâtines, alimente le bassin de retenue du bois de la Cranne. Ensuite il traverse sous la RD 30, se divise en deux branches traversant le parc du château et de l'hôtel de ville, le vieux village. Il est rejoint par le ru de Sainte-Apolline avant de parcourir les deux hôpitaux, où il est partiellement canalisé et enterré, serpente dans une petite vallée entre Thiverval et Saint-Germain-de-la-Grange et se jette dans la Mauldre à Beynes. La ville compte également un étang dans la forêt de Sainte-Apolline.
La commune de Plaisir est située intégralement dans le sous-bassin du Maldroit inclus dans le bassin versant de la Mauldre géré depuis 1992 par le COBAHMA (comité de bassin hydrographique de la Mauldre et de ses affluents) sous l'égide du conseil général des Yvelines et pour lequel un schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) a été mis en œuvre (arrêté préfectoral du ).
Le quartier de l'aqueduc de l'Avre doit son nom à l'aqueduc qui alimente Paris en eau potable et traverse la ville d'ouest en est.
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 663 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Trappes à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 686,3 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
La commune est desservie par la route nationale N 12 (Paris-Brest), via Dreux (à caractéristiques autoroutières). Elle est traversée dans un « axe nord-sud » (ainsi qu'elle est appelée localement) par la route départementale D 30 qui relie Poissy et Feucherolles au nord au lieu-dit des Gâtines et prolongée au sud vers Élancourt et Saint-Quentin-en-Yvelines par la route départementale D 58. Dans l'axe est-ouest, Plaisir est traversée par la route départementale D 11 qui mène aux Clayes-sous-Bois et Saint-Cyr-l'École vers l'est et à Neauphle-le-Château vers l'ouest.
La commune est desservie par deux gares de la ligne N du Transilien :
Les trains semi-directs permettent de rejoindre Paris en 25 minutes.
La commune est desservie par les lignes 6, 8, 9, 10, 20, 44, 50, AQ, BL, JV, TG du réseau de bus de Saint-Quentin-en-Yvelines, par les lignes 7, 12, 19, 27 et M du réseau de bus Centre et Sud Yvelines, par les lignes 4, 15, 17, 78 et 475 du réseau de bus Île-de-France Ouest et par la ligne 100 du réseau de bus de Poissy - Les Mureaux. De plus, la ville assure un transport individuel intra-muros pour les personnes handicapées en véhicule adapté pour le prix d'un ticket de bus.
Au , Plaisir est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 1], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 3],[9]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].
Le nom de la localité est attesté sous la forme Placidio au VIIe siècle, Placicium au VIIIe siècle[12], Pleassiacum dès 1236. La forme latine Pleassiacum dure jusqu'à la fin du XVe siècle. Pendant qu'en vieux français, il passe de Plesiz en 1351, à Plesir en 1470, se maintient définitivement sous la forme de Plaisir au XVIIe siècle.[réf. nécessaire]
Il pourrait dériver du latin placicium, il plaît, ou bien de plescicium, place forte.
L'origine du lieu-dit est très ancienne. Placidio peut signifier le domaine de Placidius et remonterait ainsi à l'époque gallo-romaine. Aucune trouvaille ne vient confirmer cette hypothèse.[réf. souhaitée]
Autres hypothèses : rapprocher Plaisir de Plessis (du bas latin plexiacum, signifiant enclos, qui a donné plaissié au Moyen Âge, signifiant lieu fortifié). Plaissier–, 'courber, ployer', "entourer de clôtures de branches entrelacées": c'était là un moyen assez primitif d'enfermer le château dans un système défensif et des seigneurs de plus ou moins d'importance l'ont utilisé[13].
Plaisais, clairière où les terres cultivées sont délimitées par une ceinture d’arbres ou de buissons pour se protéger des animaux sauvages. Le Roman de Renard décrit ainsi la ferme d’un riche paysan : « La maison sise au milieu d’un plaisais (clôture faite de buissons entrelacés) est richement pourvue de tous les biens de la terre : vaches et bœufs, brebis, lait et œufs, et toutes sortes de nourriture ; de poules et de chapons y avait-il à foison. Renard y trouvera de quoi se satisfaire, si seulement il y peut entrer. Mais, je crois, et même je parie, qu’il cherchera longtemps. Car tout était entièrement clos, et le jardin, et la maison, de pieux aigus et gros et longs ; un ruisseau courait tout autour. Au dedans étaient arbrisseaux de toutes espèces. Vraiment, c’était une belle demeure » (cité par M.T. Lorrain : La France au XIIIe siècle, Paris, Nathan, 1975).
Une étude d'urbanisme explique : « À la fin de la deuxième guerre mondiale, Plaisir n'est encore qu'un petit village agricole constitué de plusieurs hameaux. »[18]. Au début des années 1960, la commune est encore éclatée entre le bourg de Plaisir et ses sept hameaux agricoles « éloignés les uns des autres et vivant sur eux-mêmes ».
À partir des années 1960, Plaisir subit une explosion de l'urbanisation. Celle-ci est attribuée à la création de la ville nouvelle de Saint-Quentin-en-Yvelines[19] et au premier schéma directeur d'aménagement et d'urbanisme de la région parisienne (SDAURP) de 1965. Pour Plaisir, le SDAURP se concrétise par la création de la zone opérationnelle d'habitat (ZOH, qui deviendra une ZAC) de Plaisir-Les Clayes (1966) qui prévoit l'implantation de 7 500 logements, des activités industrielles dans les quartiers des Ébisoires et Vicomtes et commerciales dont l'embryon de l'actuel centre commercial régional « Grand Plaisir ». À partir de 1965, les promoteurs privés achètent des terrains pour les lotir. La population de Plaisir est alors multipliée par sept en 15 ans (cf. démographie).
Cette urbanisation se déroule en plusieurs vagues spatio-temporelles :
Depuis les années 2000, la Ville souhaite stabiliser son urbanisation. Les chiffres des derniers recensements prouvent le ralentissement de l'évolution démographique et la maîtrise de l'urbanisation est désormais intégrée au PLU[22].
Problématiques sociologique et environnementale
Finalement, cette urbanisation s'est faite essentiellement entre le château et les lignes SNCF. Le nord est plus dense et le sud plus pavillonnaire. Des quartiers au sud et à l'ouest sont considérés comme « déconnectés du reste de la ville (la Mare aux Saules, les Gâtines, la Boissière). Leur fonctionnement est soit autarcique, soit tourné vers les communes limitrophes. », ce qui prolonge en fait le schéma ancien avec un bourg et des hameaux éclatés.
L'urbanisation s'est faite « sous la forme de ZAC juxtaposées les unes aux autres, sans lien entre elles, ni avec le centre-ville. »[23]. Il en résulte une nette séparation spatiale des classes sociales. Une étude menée pour le PLU en 2006 constate ainsi que Plaisir est « une ville patchwork où les quartiers se tournent le dos, et où il manque un centre-ville structuré et structurant. »[24].
Le fort développement du centre commercial Grand Plaisir procure d'importantes recettes fiscales à la ville, mais génère aussi quelques nuisances :
En 2006, une étude estime que, malgré l'urbanisation, Plaisir conserve « de vastes espaces agricoles et boisés [ayant] conservé leur aspect naturel », qui représentent 50 % du territoire de la commune et font de cette dernière « une ville à la campagne »[19]. Cependant, ces espaces verts sont « disséminés » sur la commune et « menacés par le mitage urbain »[25].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1945 | 1971 | Roland Reuillé | SFIO puis PS |
Suppléant de la députée Jacqueline Thome-Patenôtre |
1971 | 1973 | Victor Marc | PS | |
1973 | 1993 (démission) |
Jean Mouton | PS | |
1993 | Jacky Lecourtiller | PS | Chef d'entreprise, ancien adjoint | |
(démission) |
Joël Regnault | RPR puis UMP |
Agriculteur Député des Yvelines (12e circ.) (2011 → 2012) Conseiller général de Plaisir (1998 → 2004) | |
En cours | Joséphine Kollmannsberger | UMP-LR | Comédienne et metteuse en scène Conseillère départementale de Plaisir (2015 → ) 4e vice-présidente du conseil départemental (2015 → ) 1re vice-présidente de Saint-Quentin-en-Yvelines CA (2016 → ) |
Pour inciter les Plaisirois, particuliers et entreprises, à augmenter et préserver ce capital, elle organise chaque année un « Concours des jardins et balcons fleuris » en partenariat avec la société Truffaut et l'établissement horticole Arriat.
La ville a mis en place le tri sélectif depuis plus de 10 ans et cherche à l'améliorer régulièrement aussi bien par la sensibilisation du public que par la distribution de composteurs pour les particuliers. La société SEPUR, basée sur Plaisir depuis 1965, est chargée du ramassage des ordures ménagères deux fois par semaine ainsi que de chaque poubelle de recyclage une fois par semaine. La déchèterie ainsi que l'usine d'incinération des ordures ménagères sont situées sur la commune limitrophe de Thiverval-Grignon. De par la proximité de la société et des installations, les déplacements sont ainsi limités et les horaires de ramassage adaptés afin de limiter les nuisances sonores.
Ville | Pays | Période | ||
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Bad Aussee[28] | Autriche | depuis | ||
Baixa da Banheira (d)[29] | Portugal | depuis | ||
Geesthacht[30] | Allemagne | depuis | ||
Lowestoft[31] | Royaume-Uni | depuis | ||
Moita[29] | Portugal | depuis |
Les habitants sont appelés les Plaisirois.
Plaisir est la septième commune des Yvelines par sa population estimée à environ 32 000 habitants lors des recensements depuis 2004. Les Plaisirois constituent une population jeune et active : 30 % de ses habitants ont moins de 19 ans[32] et son taux de chômage n'est que de 8,2 % avec plus de 50 % d'actifs.
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[33],[Note 5].
En 2021, la commune comptait 31 375 habitants[Note 6], en évolution de −1,51 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2021 | - | - | - | - | - | - | - | - |
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31 375 | - | - | - | - | - | - | - | - |
En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (38 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,5 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 14 642 hommes pour 16 371 femmes, soit un taux de 52,79 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,32 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Hommes | Classe d’âge | Femmes |
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0,2 | 0,5 | |
4,2 | 9,1 | |
12,3 | 12,6 | |
21,3 | 19,2 | |
21,6 | 20,8 | |
18,1 | 17,7 | |
22,4 | 20,2 |
La commune relève de l'académie de Versailles.
De par sa population jeune, Plaisir abrite 32 associations sportives très variées. Les disciplines proposées vont des plus classiques : football, athlétisme, basket-ball… aux plus originales : Omkido, cerf-volant. Ultimate
Le Palais des Sports, inauguré en 2006, est un complexe omnisports qui a été bâti en lieu et place de l’ancien gymnase Pierre-de-Coubertin détruit par un incendie en . Il a été conçu pour accueillir les associations plaisiroises et les établissements scolaires de la ville. Avec une superficie totale de 6 139 m2, ce gymnase s’étend sur deux niveaux et est composé de sept salles, dont une salle multisports pouvant accueillir jusqu’à plus de 1 200 personnes, des salles de gymnastique, agrès et sol, de gymnastique volontaire, de boxe, de taekwondo, de karaté, de judo et jujitsu.
Ce Palais des Sports peut dorénavant accueillir des compétitions internationales et notamment en , la coupe du Président du Mondial de handball féminin[38].
La construction d’un terrain de football à sept, d'un couloir d’athlétisme ainsi que d’un plateau d’évolution de handball et de basket-ball, a également été réalisé derrière le palais des sports de la ville.
L'équipement sportif de la ville est donc le suivant :
4 gymnases :
Le Parc des sports et ses deux stades : Robert-Barran et Bernard-Giroux, complètent cet équipement pour la pratique notamment du football ou du rugby.
Une piscine intercommunale, située sur la commune des Clayes-sous-Bois où se pratiquent natation, aquagym et plongée sous-marine.
Un tennis-club de 16 courts en centre ville.
Le golf privé Isabella, de dix-huit trous, se trouve à l'extrémité ouest du hameau de Sainte-Apolline, au sud et le long de la RD 912, dans la partie de la forêt qui surplombe le hameau d'Ergal de Jouars-Pontchartrain.
Les activités de plein air suivantes sont pratiquées à Plaisir :
D'autres sports sont pratiqués par les Plaisirois et encadrés par les associations de la ville : le bowling, le cyclotourisme et le VTT, l'équitation, la marche nordique, la randonnée, le paintball, la voile.
Trois cultes sont pratiqués sur Plaisir :
La ville ne compte qu'un seul cimetière. Celui-ci étant arrivé à saturation, la municipalité a acquis en 2002 l'ancien cimetière de l'hôpital gérontologique de Plaisir-Grignon de 4 450 m2. Après réunification et réhabilitation, le nouveau cimetière a été inauguré le .
La commune compte six zones d'activités industrielles et commerciales, qui accueillent des entreprises de toutes tailles, ainsi que certains sièges sociaux, notamment ceux de Ikea France et JCDecaux.
Six centres commerciaux sont répartis sur la commune dont un régional : « Grand Plaisir ». Situé dans le nord de la commune et à proximité de la gare de Plaisir - Les Clayes, il couvre une superficie de plus de 100 000 m2. Fort d'une centaine de commerces variés (alimentation, vêtements, coiffeur, bijouterie, restauration, pharmacie de garde…), il accueille notamment Auchan, Ikea et Décathlon.
La ville regroupe sur son territoire :
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 37 286 €, ce qui plaçait Plaisir au 4 306e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[39].
Ce chiffre est inférieur à la moyenne départementale (40 650 €)[39].
Dans le cadre de l'agenda 21 local et de son atelier « Patrimoine bâti remarquable », les lavoirs sont aujourd'hui rénovés ou en cours de l'être. Ainsi, le lavoir de la rue Alexandre-Dumas fut remis en état en 2005[46] et le lavoir du bois de la Cranne au lieu-dit « le Petit Trou » en 2006[47].
En 2019 a lieu la découverte d’une fontaine enfouie dans le jardin de la mairie. La fontaine, un bassin d’environ 3 mètres de diamètre en béton, et dont le fond est couvert de petites mosaïques blanches, daterait de l’époque contemporaine. Non loin de la fontaine, les ouvriers ont également mis au jour un petit moulin de pierre, caché sous le lierre[48].
Les armes de Plaisir se blasonnent ainsi : d'azur aux deux lions affrontés d'argent supportant en chef une fleur de lys d'or. Ce blason, créé après guerre et enregistré par la commission départementale d'héraldique de Seine-et-Oise, s'inspire d'un sceau utilisé par la municipalité de Plaisir pendant la Révolution[53]. |
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